samedi 31 mai 2008
Destins d'Hommes (1) Alain-Fournier, l'homme d'un seul livre
jeudi 29 mai 2008
Renouer les fils :-)
mardi 27 mai 2008
Michel Legrand a fait battre mon cœur
Même si ce n'est a priori pas celle que l'on entend pendant cette mythique scène de jeux d'échecs/jeux de séduction entre Faye Dunaway et Steeve McQeen. Elles m'avaient tellement marquée l'une et l'autre, que je n'ai jamais voulu voir le remake réalisé des années plus tard avec Pierce Brosnan et Rene Russo.
lundi 26 mai 2008
Jacquot de Nantes
Mais l’univers n’était pas toujours aussi sombre chez Jacques Demy. Je pense notamment aux « Demoiselles de Rochefort » pour lequel le cinéaste fit repeindre une partie des immeubles de la ville.
Un film pétillant à l’image de ses deux actrices principales, Catherine Deneuve/Delphine et Françoise Dorléac/Solange, soeurs dans le film comme dans la vie.
Jacques Demy savait créer un monde en couleurs mais aussi en musique dont beaucoup de mélodies restent dans les mémoires. Pendant longtemps il me suffisait de fredonner quelques notes de « Nous sommes deux sœurs jumelles, nées sous le signe des Gémeaux »http://www.dailymotion.com/relevance/search/demoiselles%2Bde%2BRochefort/video/xs3zf_la-chanson-des-jumelles_music
ou « Nous voyageons de ville en ville… » ou encore « Je l’ai cherchée partout, j’ai fait le tour du monde… » pour que mes enfants continuent la chanson avec moi.
C’est rare un film dont la musique a autant marqué les esprits, mais il est vrai qu’il était aidé en cela par un mélodiste qui a réalisé beaucoup de musiques de films, voire l’intégralité de la bande son d’un film.
dimanche 25 mai 2008
... Maternité...
L'oeuvre, dont j'ai oublié l'auteur, 'intitule "Barque"; mais elle aurait tout aussi bien s'appeler "Maternité"
vendredi 23 mai 2008
Il pleut sur Nantes ...enfin pas tant que ça
Nantes? En réalité il n'y pleut pas si souvent que cela :-) ... Et pour beaucoup de nantais, Nantes c'est d'abord son château, celui des Ducs de Bretagne...
...d'où l'on voit cette tour, emblème des anciennes usines de la famille Lefèvre Utile d'où partaient ces délicieux petits beurre LU dont les gourmand(e)s grignotent toujours en priorité les 4 coins dorés.
Nantes a aussi appris à vivre avec son passé négrier qui lui permis de s'enrichir ainsi qu'en témoignent certains beaux hôtels particuliers nantais...
...autrefois implantés au bord au bord de la Loire, déclaré dernier grand fleuve sauvage de France.Même si beaucoup des anciens bras de la Loire ont été comblés à Nantes, l'eau y reste très présente: la Loire donc mais aussi l'Erdre. L'Erdre dont une partie de son ancien cours est désormais recouvert d'un ruban de bitume planté de magnolias. Ces derniers sont un symbole de cette ville riche en parcs et jardins: celui du jardin des plantes, celui du grand Blottereau ou celui du parc des expositions où se tient tous les 5 ans des Floralies internationales. Le reste du temps on peut y profiter selon la saison de ses jardins consacrés aux bruyères, aux iris et de la roseraie. Mais pour moi, Nantes c'est avant tout le quartier Graslin avec la rue Crébillon qui a donné le verbe "crébilloner", la brasserie "la cigale" avec ses plus que centenaires mosaïques et le cours Cambronne qu'elle jouxte
Post-Scriptum
Pour ceux et celles qui auraient envie de connaître Nantes autrement qu'en passant par l'Office du Tourisme il existe un petit livre: " le piéton Nantes" – par Nicolas de la Casinière qui incite à visiter la ville autrement.
Exemples: « les vaisseaux de pierre à l'échouage » sur les grandes demeures construites grâce au commerce triangulaire » ou « le silage de la gourmandise » ciblé sur quelques incontournables lieux nantais liés à l'alimentation comme la boutique du chocolatier Gautier-Débotté ou à d'autres plaisirs tels ceux de la lecture avec la librairie/maison d'édition l'Atlalante.
mercredi 21 mai 2008
"Je suis un petit taureau..."
mardi 20 mai 2008
Marilyn
lundi 19 mai 2008
Louise Brooks... éternelle Loulou
dimanche 18 mai 2008
...Rester zen...
samedi 17 mai 2008
...bientôt le grand silence...
vendredi 16 mai 2008
Jules, Jim … et Kate
S’il ne fallait garder qu’une scène de ce film, ce serait celle où Kate, déguisée en Kid moustachu, fait la course avec Jules et Jim sur un pont.
Cette scène est très révélatrice de la personnalité de Kate. Elle va gagner la course en trichant puisqu’elle démarre avant eux. Ils ne la rattraperont pas parce qu’elle aura toujours une longueur d’avance sur eux. Au sens propre comme au figuré. On n’attrape pas Kate, on ne la possède pas.Insaisissable Kate qui aura pour moi toujours les traits de Jeanne Moreau, si belle lors de leur première rencontre...
... qui voit les voit atteindre leur rêve, cette femme idéale dont ils avaient d’abord dessiné le visage à la craie sur une table d’un bistrot avant d’aller voir une statue qui lui ressemblait beaucoup sur une île grecque. Un rêve de craie, devenue rêve de marbre, puis rêve de chair, si proche mais qui leur restera insaisissable à jamais...Jeanne Moreau, éternelle Kate. Tout Louise Brooks restera à jamais « Loulou ».