Affichage des articles dont le libellé est fleurs. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est fleurs. Afficher tous les articles

mercredi 8 avril 2020

Confinement 1 - J22

Texte rédigé en juillet 2023

Le 8 avril 2020
Joli souvenir d'un bouquet d'anniversaire offert par l'un de mes enfants, en je ne sais trop quelle année. J'avais apprécié les tournesols, des fleurs de saison puisque je suis née fin juillet, mais aussi les couleurs, dans les tons jaunes orangés avec lesquels contrastaient bien, si ma mémoire est bonne, des "chardons" dans des tons bleus. Un fort joli bouquet bien choisi.
Petit constat en passant: plus une femme vieillit, plus la tendance est forte de lui offrir des bouquets dans des tons pastels, même si elle n'a pas les cheveux gris ou blancs. A défaut de pousser Mamie dans les orties, on lui passe le message qu'elle prend de la bouteille (éventuellement en plus du poids) et qu'il faut devenir sage et renoncer aux couleurs vives.    

lundi 6 avril 2020

Confinement 1 - J20

Texte rédigé en juillet 2023

Le 6 avril 2020 

Une très classique fleur mauve, comme j'en ai croisé des dizaines au bord des chemins laissés non pas à l'abandon mais au naturel. Mais celle-là m'avait plu assez pour que je l'immortalise et qu'elle devienne une fleur intemporelle, quasi universelle. Le genre de petite fleur qui m'a beaucoup manqué en ce long mois de confinement strict où seuls les bords de Loire étaient accessibles puisque les parcs et jardins publics étaient fermés. Alors, à défaut de pouvoir profiter directement du printemps, je m'aérais en me promenant dans mes galeries photos accumulées sur le PC au fil des années. 

dimanche 5 avril 2020

Confinement 1 - J19

Texte rédigé en juillet 2023

Le 5 avril 2020 
Ici, aucun doute quant à la ville, ou plutôt le village vu sa taille, où la photo a été réalisée : La Gacilly. Probablement l'année où j'ai découvert le festival de la photo qui s'y tient tous les ans durant l'été.* 
J'ai cependant un micro doute quant à l'endroit exact: est-ce à l'entrée de la rue La Fayette (ce que laisserait à penser le mur sombre tout au fond) ou plus bas dans le village, à l'entrée de la "venelle des fleurs" ** ou bien encore les jardinières le long du pont qui enjambe l'Aff? 
* ce fut je crois la seule année où j'y suis allée en plein été car j'ai vite compris qu'il fallait privilégier le hors saison: c'est moins fleuri car l'été est passé par là mais c'est surtout beaucoup moins fréquenté! 
** J'ai découvert via le Net que son véritable nom est "venelle du Lihoué" Et je dois avouer que d'année en année, et encore plus depuis le confinement de 2020 qui a retardé les plantations puis les été chauds voire très chauds, elle port de moins en moins bien son surnom de "ruelles aux fleurs"  

jeudi 2 avril 2020

Confinement 1 - J16

Texte rédigé en juillet 2023

Le 2 avril 2020 

Quelque part dans un recoin de ma mémoire cette photo a été réalisée à St Malo*, en 2019, lorsque j'en avais profité pour faire connaître cette ville (ainsi que le Mont St Michel) à un nouveau Nantais qui, du temps où il avait été soit Normand soit Breton, n'y avait jamais mis les pieds. 
J'avais bien aimé le contraste entre la solidité des vieilles pierres intemporelles et les fleurs, fragiles et éphémères, qui ne durent que le temps d'un été.
Certains sont partisans de ne rien laisser pousser en de tels endroits. Mais de plus souvent les gens (dont je fais partie) sont favorables à laisser la Nature reprendre ses droits, quitte à l'aider un peu en plantant des fleurs à qui on demande de plus en plus d'être locales et de pouvoir s'adapter au réchauffement climatique. 
* Le hasard a voulu que je retombe sur cette photo qui cette fois là était géolocalisée et elle a été faite à... Concarneau 

lundi 30 mars 2020

Confinement 1 - J13

Texte rédigé en juillet 2023

Le 30 mars 2020
C'était il y a quasi une dizaine d'années de cela, à l'occasion d'une sortie photos dans le cadre du "Voyage à Nantes" : entre le bas du parking à l'est du château de Nantes et la station de tramway avait été installé un nouveau massif de fleurs. Des plantations a priori assez classiques. Sauf que parmi les fleurs il y avait des dahlias. J'avais alors pris conscience que, pendant des années, on n'avait plus vu ce type de plantes dans les parcs et jardins publics.  
Et il en était un peu de même dans les jardins privés, par exemple celui de mes parents. Pourtant dans mes souvenirs les plus anciens, il y avait des massifs de dahlias où la petite fille que j'étais aimait se cacher, quitte à faire des détours pour éviter des toiles d'araignées. Mais des années plus tard, il me revient d'abord à l'esprit les immortelles (dont ma mère faisait des bouquet de fleurs séchées) et les zinnias et les reines marguerites de mon père que mon père arrosait chaque soir en revenant du travail. 
Alors, le retour des dahlias à Nantes (mais aussi d'autres villes alentours): la redécouverte d'une plante d'été pas trop compliquée ou choix du service des espaces verts d'anticiper le changement climatique et de désormais privilégier des plantes rustiques susceptibles de ne pas trop souffrir des restrictions d'arrosage?

mardi 24 mars 2020

Confinement 1 -J8

Texte rédigé en juillet 2023

Le 24 mars 2020

Il est des photos qui, lorsqu'on les revoient, génèrent des sentiments mitigés.
Il y a tout d'abord cette question angoissante: où diable a t elle été prise, à Rennes, dans le jardin des parents? à Paris dans le jardin des plantes, à Bouguenais, sur le site de la Roche Ballue? Mais il y a aussi une grande satisfaction à revoir cette photo, au final intemporelle, celle d'un cerisier en fleurs: une image typique du printemps. Quoique, au printemps il y a aussi les poiriers et les amandiers qui ont des fleurs blanches, celles de pêchers, des prunus ... étant roses... et celles des pommiers roses et blanches. 
Et il y a 2 souvenirs qui me reviennent:
- le très grand cerisier du jardin de mes parents, celui qui surplombait le petit bâtiment qui abritait des clapiers et le poulailler. J'étais trop craintive pour oser dépasser la 1ère grosse ramification, sauf lorsque je voulais m'installer sur le toit d'où l'on voyait les champs à perte de vue. Lorsque la floraison touchait à sa fin, j'avais les jours de grand vent, me mettre sous les branches et laisser pleuvoir sur moi des milliers de pétales blancs. 
-la balade faite durant une pause déjeuner, le long de ce que j'appelais la  route des fleurs, c'est sous ce nom qu'elle figurait sur un carte IGN. Il y avait de très nombreux vergers de cerisiers. Hélas je ne la retrouve pas. Le seul indice qui me revient à l'esprit, c'est que j'avais déjeuné dans la voiture , à proximité du Manoir de Agnès Sorel... que je n'ai jamais visité durant les 5 années passées en Seine Maritime. 

lundi 23 mars 2020

Confinement 1 -J6

Texte rédigé en juin 2023

Le 23 mars 2020

Il faisait beau et très chaud lorsqu'on a visité ce jour là la ville de la Bisbal (Catalogne) qui est réputée pour ses nombreuses boutiques consacrées à la céramique. Si j'en ai photographié un certain nombre, c'est surtout cette rose qui a retenu mon attention tant était beau le dégradé de couleurs sur ses pétales. 
Un seul regret, la fleur était située dans un jardin clos par une grille, impossible donc de vérifier si elle sentait aussi bon que je la trouvais belle. 

samedi 21 mars 2020

Confinement 1 -J4

Texte rédigé en juin 2023

Le 21 mars 2020
Ma fleur préférée: l'Iris

Celui-ci a très probablement été photographié au parc floral de la Beaujoire, à l'époque où j'essayais d'y aller chaque année au moment où ils étaient en fleur*. J'avais commencé par ceux qui étaient dans les tons bleus. Puis j'vais découvert que chaque iris avait non seulement sa couleur, mais aussi son odeur. J'y ai passé des heures.  
*Désormais, le grand carré près de la fontaine en bas, près de l'Erdre, ne contient plus que de la pelouse. Déjà j'avais remarqué que la zone avait beaucoup souffert lors du Covid où les jardiniers étaient restés chez eux. Mais en y réfléchissant bien les choses avaient commencé à se dégrader lorsque la ville de Nantes avait banni l'usage des produits phytosanitaires. Une bonne idée pour la planète... et une mauvaise pour les amateurs d'iris dont une plante les rhizomes ne supportent pas d'être noyés sous la végétation. 

vendredi 17 mai 2019

Floralies - Hall Spiritualité (6) avec... quelques bandeaux

Ces bandeaux là n'ont rien à voir avec ceux utilisés par les porteurs de cheveux plus ou moins longs. Non ce sont ceux qui apparaissent sur ce blog ou sur Facebook et qui donnent une 1ère image de celui ou celle qui alimente le blog ou le compte. Il serait d'ailleurs plus que temps que je change celui de "Ephémères"
Ci dessous voici quelques variations florales allant du rose soutenu au blanc.
 
 

vendredi 10 mai 2019

Floralies - Hall Spiritualité (1) avec... Bouddha



Et si, pour rendre compte des Floralies internationales de Nantes (édition 2019),  je commençais par la fin... à savoir le grand hall consacré à la "Spiritualité"? En effet, cette année, ce sont les images réalisées dans ce hall là, censé conclure un parcours sur la thématique "des fleurs à vivre" et qui débutait avec l'innocence et s'achevait avec justement la spiritualité et un immense arbre que j'ai  commencé à travailler les photos ramenées de cette journée passée au Floralies.
Début de la visite avec deux photos de Bouddha. La suite des billets ne comportera que des photos regroupées autour de thématiques.... et très peu de texte, parce que les Floralies, pour le visiteur lambda, c'est d'abord un plaisir visuel
A noter, la petite citation de Montaigne qui illustre le dossier "scénographie" visible sur le Net*
" Si la vie n'est qu'un passage, sur ce passage au moins semons des fleurs"
*http://www.comite-des-floralies.com/uploads/fichiers/Floralies-Dossier-scenographie-2019-FR.pdf

jeudi 9 mai 2019

Floralies... en ville

 2019... mes 5ème Floralies Internationales de Nantes. Sachant que l'événement se tient tous les 5 ans, cela fait très exactement 25 ans que j'ai découvert, éblouie, cette manifestation. La 1ère fois j'avais emmené ma petite dernière, dans sa poussette. Et elle avait été fort, fort patiente. Mais il faut dire que sa grand-mère maternelle qui m'avait accompagnée, s'était fort gentiment occupée d'elle, ce qui lui avait permis d'éviter les halls bondés de monde.
Passé le choc de la 1ère fois, j'ai été régulièrement déçue lors des éditions suivantes. A se demander si la mémoire ne magnifierait pas les souvenirs. J'ai eu aussi l'impression que le nombre de participants, notamment internationaux était moins important. Il faut dire que financer un long voyage en avion avec toutes les plantes (qui resteront sur place) et toute l'équipe nécessaire pour assurer sa mise en place et son entretien durant une dizaine de jours, sans pouvoir espérer de retombées financières directes, cela donne à réfléchir.
Pour cette édition, un certain nombre de personnes se sont organisées pour permettre, quelques jours avant, voire durant les Floralies elles-mêmes, une sorte de "Off des Floralies" via différentes manifestations comme le fleurissement de statues (celle de Anne de Bretagne près du château des Ducs ou de Aristide Briand sur la place du même nom) que je n'ai pu immortaliser les fleurs s'étant très vite dégradées compte tenu de la chaleur... ou des mosaïques fleuries (qui ne m'ont guère convaincue)
Plus réussis, à mon goût étaient la création d'un cheminement piétonnier fleuri rue Scribe ainsi que les fleurissements des entrées du passage Pommeraye, de la fontaine de la Place Royale ou ... plus caché, du passage Chatelaine qui illustrent le présent billet.