Qu'ajouter de plus qui n'ait été écrit sur le net au sujet de ce livre paru en France en 2005?
Que certains détails ont fait mouche auprès de moi.
Ainsi il est étonnant de lire en 2011, à un moment donc où beaucoup de choses évoluent dans l'Administration française des commentaires un peu amers sur l'évolution de la police suédoise à qui on demande d'être plus efficace, d'adopter des méthodes issues du secteur privé...
J'ai apprécié que "l'homme qui souriait" (un notable puissant, quasi intouchable car oeuvrant aussi dans le domaine artistique ou humanitaire...) puisse être démasqué par ce flic qui revient de loin car il sort d'une dépression de plus d'un an.
Et puis il ne m'a pas déplut de comprendre assez vite à quoi pouvait servir cette drôle de boîte en plastique trouvée dans le coffre du vieil avocat dont le meurtre a été camouflé en suicide, quelques semaines avant que son fils et associé ne soit purement et simplement assassiné dans son bureau parce qu'il a osé faire part de ses doutes à Wallander.
Pour conclure: mention particulière au choix de la photo qui illustre la couverture. Mais je n'écrirai rien de plus car c'est bien suffisant que j'ai cette détestable habitude de raconter la fin des films!
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