Je ne l'ai finalement pas entendue lorsque son cercueil est remonté le long de la nef centrale, trop concentrée à suivre les consignes de la maître de cérémonie qui veillait au bon déroulement. Et c'est aussi bien, car cet adadgion m'a toujours fait venir les larmes aux yeux
Dehors, il faisait relativement beau. C'est donc par une belle journée d'automne que nous avons accompli pour la dernière fois le chemin qui va de l'église au cimetière où ses arrières petits enfants ont jeté qui, des dessins, qui des fleurs colorées de chrysanthèmes sur son cercueil.
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2 commentaires:
Recevez,chère @nn@, mes condoléances aussi sincères que votre message est délicat.
Merci Luc, pour ces gentils mots.
Il avait beaucoup, beaucoup vieilli une fois passé le cap de ses 90 ans. Il était même devenu l'ombre de lui même ces derniers mois. Une quasi parfaite illustration de la chanson de Brel: "les vieux" qui vont du lit à la fenêtre, du lit au fauteuil et puis du lit au lit et où celui des deux qui reste se retrouve en enfer...
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