Dans le livre en cours ("Journal d'un corps" de Daniel Pennac) l'auteur compare la quantité de produits de toilette et de beauté de sa femme (beaucoup, étalés partout sur le rebord du lavabo et bien au delà...) et le sien (un seul: un carré de savon de Marseille qui lui sert pour tout depuis qu'il est tout petit). Tout bien réfléchi, le contenu de mon armoire de toilette est probablement plus proche de celle du héros que de celle de sa femme car je suis plutôt une adepte du "le moins c'est le mieux". Tel était l'état de mes réflexions en étalant ce matin la protection a minima: une crème de jour... tout en cherchant à identifier l'odeur qui en émanait.


Et ce matin: "Euréka j'ai trouvé!". Je me mets sur la figure une crème qui sent comme la pommade adorée des mamans, des "nounous", des crèches et autres haltes-garderies lorsque les "pitchounes": le "Mitosyl"! Bon, il y a plus "glamour" comme parfum (soupir) ... à moins qu'elle ne contienne une substance similaire qui lui donne cette odeur. Qu'est ce que dit la notice du "Mitosyl"déjà? "C'est une pommade protectrice et cicatrisante qui contient de l'oxyde de zinc et de l'huile de foie de poisson riche en vitamine A. Elle est utilisée pour traiter les irritations de la peau, notamment les rougeurs des fesses du nourrisson."
Ah c'est ça! Bon! Je garde ou je jette? Je garde! Et même que j'en mets un peu sur le dessus des mains qui est un peu sec et devient aussitôt lisse et doux. Et on verra quand le tube sera fini.
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