

Des spectacles portés en quasi totalité par des danseuses si l'on met à part les valseurs liés aux chars "Timburtoniens" et ce jeune homme qui accomplissait les mêmes gestes que ces "soeurs" indiennes. Un "Guillaume" local qui aurait troqué l'Espagne et le flamenco pour l'Inde à laquelle renvoyait le cinéma bollywoodien?


Il y avait donc les mélodies de l'Inde...
...mais aussi celles des Antilles sur lesquelles se démenaient ces demoiselles habillées de tenues colorées parfaitement adaptées à la météo et aux températures qui règnent habituellement sur l'ouest en ce milieu de printemps.



C'est pourquoi il faut donc saluer bien bas la performance de la jeune femme dont la parure était composée de quelques centimètres de tissu et de plumes.* Probablement un clin d'oeil à la prochaine coupe du monde qui se tiendra au Brésil.


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