"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui" disait Pierre Desproges. Les deux tueurs étaient semblent ils de ces "n'importe qui". Et ils ne supportaient pas la manière le journal s'en prenait régulièrement à leur religion (mais s'il l'avait bien lu, pas qu'à elle). Quelques heures plus tard des regroupements spontanés ont eu lieu un peu partout en France. En hommage à ceux qui étaient morts. Mais aussi pour qu'au delà de "Charlie" la Liberté d'Expression puisse continuer d'exister.

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