 Ce film, pourtant sorti en 1982, je ne me rappelle pas l'avoir vu sur grand écran. Donc sa première vision doit être postérieure à début 1987, date de l'acquisition d'une télévision que je ne regarde désormais plus guère.
Elle correspond à la version où l'on entend, en off, la voix d'Harrison Ford commenter l'action, et diffère donc de celle qui m'a été offerte quelques années plus tard en format VHS (et dont le réalisateur gardera le principe lors des sorties en DVD) que que je n'ai quasiment jamais regardé.
De peur d'être déçue?
Plus que jamais il s'agit donc d'impressions...
J'ai beaucoup aimé ce film pour l'ambiance cosmopolite de Los Angeles où se passe l'action, pour cette histoire très particulière qui tourne autour de la différence Homme/Robot (thème récurent chez Philip K. Dick dont j'ai lu pas mal de nouvelles après avoir vu ce film), la musique de Vangelis, Harrison Ford (qui n'était pas encore tombé dans ce travers de beaucoup d'acteurs qui ne savent pas se renouveler) et une actrice qui jouait le rôle de Rachel et que je trouvais très belle: Sean Young.
 
Ce film, pourtant sorti en 1982, je ne me rappelle pas l'avoir vu sur grand écran. Donc sa première vision doit être postérieure à début 1987, date de l'acquisition d'une télévision que je ne regarde désormais plus guère.
Elle correspond à la version où l'on entend, en off, la voix d'Harrison Ford commenter l'action, et diffère donc de celle qui m'a été offerte quelques années plus tard en format VHS (et dont le réalisateur gardera le principe lors des sorties en DVD) que que je n'ai quasiment jamais regardé.
De peur d'être déçue?
Plus que jamais il s'agit donc d'impressions...
J'ai beaucoup aimé ce film pour l'ambiance cosmopolite de Los Angeles où se passe l'action, pour cette histoire très particulière qui tourne autour de la différence Homme/Robot (thème récurent chez Philip K. Dick dont j'ai lu pas mal de nouvelles après avoir vu ce film), la musique de Vangelis, Harrison Ford (qui n'était pas encore tombé dans ce travers de beaucoup d'acteurs qui ne savent pas se renouveler) et une actrice qui jouait le rôle de Rachel et que je trouvais très belle: Sean Young.  Trois scènes m'ont particulièrement marquée.
* La première rencontre entre Rachel et Deckard, venu enquêter dans l'entreprise qui fabrique les répliquants que lui, « Blade Runner » doit « effacer ». Il est déjà très attiré par elle alors même qu'il va comprendre petit à petit qu'elle est aussi un réplicant et qu'il lui sera probablement demandé de la tuer. 
* La seconde scène a lieu dans l'appartement de Deckard où Rachel l'a suivi . Elle a à la fois très peur et envie de savoir la vérité qu'elle devine: elle est un réplicant .
Trois scènes m'ont particulièrement marquée.
* La première rencontre entre Rachel et Deckard, venu enquêter dans l'entreprise qui fabrique les répliquants que lui, « Blade Runner » doit « effacer ». Il est déjà très attiré par elle alors même qu'il va comprendre petit à petit qu'elle est aussi un réplicant et qu'il lui sera probablement demandé de la tuer. 
* La seconde scène a lieu dans l'appartement de Deckard où Rachel l'a suivi . Elle a à la fois très peur et envie de savoir la vérité qu'elle devine: elle est un réplicant .
 Plus que la scène où lorsqu'elle veut s'enfuir, où il la rattrape et l'embrasse, j'aime le moment où lui s'étant endormi, elle explore son appartement.
 
Plus que la scène où lorsqu'elle veut s'enfuir, où il la rattrape et l'embrasse, j'aime le moment où lui s'étant endormi, elle explore son appartement. 
 
Après avoir remarqué toute une série de vieilles photos sur un piano, extrait une partition, deviné que parmi les souvenirs que son «créateur » lui a été implantés en guise de mémoire, elle savait jouer du piano et commence à le faire après avoir dénoué ses cheveux.
* La dernière scène concerne Rutger Hauer. C'est lui le dernier réplicant encore vivant (Rachel étant mise à part). Après avoir poursuivi Deckard dans une lutte finale dans cet immense appartement situé dans un immeuble déserté par ses habitants, il va lui finalement lui sauver la vie. Alors que Deckard est suspendu au dessus du vide par sa seule main encore valide, il le hisse à côté de lui sur la terrasse de l'immeuble et lui parle. Il sait qu'il va mourir car les sentiments qu'il a éprouvés en tant que réplicant (alors qu'il n'est pas programmé pour) ont d'autant raccourci sa vie. Et il ne veut pas être seul à ce moment là. La pluie qui tombe se mêle aux larmes de douleur de Deckard dont l'une des mains a été brisée dans la lutte et à celles du répliquant.Ce dernier avant de mourir après avoir laissé s'envoler une colombe décrit la beauté des univers où il est allé et qu'il ne reverra jamais.
Qui est finalement le plus humain :
- le « Blade Runner » qui gagnait sa vie en tuant, apparemment jusque là sans aucun état d’âme, des « réplicants »
- le « Réplicant» qui, durant ce court laps de temps qui lui est donné de vivre (4 à 5 ans, sachant que les émotions qu’il peut éprouver raccourcissent d’autant le temps qui lui est octroyé) cherche à comprendre le sens de la vie que lui ont donnée les terriens ?
La pluie qui tombe se mêle aux larmes de douleur de Deckard dont l'une des mains a été brisée dans la lutte et à celles du répliquant.Ce dernier avant de mourir après avoir laissé s'envoler une colombe décrit la beauté des univers où il est allé et qu'il ne reverra jamais.
Qui est finalement le plus humain :
- le « Blade Runner » qui gagnait sa vie en tuant, apparemment jusque là sans aucun état d’âme, des « réplicants »
- le « Réplicant» qui, durant ce court laps de temps qui lui est donné de vivre (4 à 5 ans, sachant que les émotions qu’il peut éprouver raccourcissent d’autant le temps qui lui est octroyé) cherche à comprendre le sens de la vie que lui ont donnée les terriens ?
 
 





 
 


 




 Autre personnage féminin fort que
 Autre personnage féminin fort que 

 Il y a encore
Il y a encore 
 * et, tout comme dans beaucoup de contes pour enfants, la nécessité de se dépasser via un difficile apprentissage.
Tout cela on le trouve dès l'un de ses premiers films "mon voisin
* et, tout comme dans beaucoup de contes pour enfants, la nécessité de se dépasser via un difficile apprentissage.
Tout cela on le trouve dès l'un de ses premiers films "mon voisin 









 
 







 Et cela on le comprend très vite lorsque Gerbier qui a réussi à s'enfuir de la
 Et cela on le comprend très vite lorsque Gerbier qui a réussi à s'enfuir de la 


 Il laisse derrière lui, conservé par deux jeunes tchèques venus aider après la libération des camp, ce que l'on appellera:
Il laisse derrière lui, conservé par deux jeunes tchèques venus aider après la libération des camp, ce que l'on appellera:
 
 
 
 
