Constat fait vendredi, après avoir vu le documentaire 'Notre corps" de Claire SIMON: les films que j'aime, ce n'est pas les films d'action, ni de science-fiction, de guerre, ... non, c'est les films qui me racontent une histoire, fictive ou réelle, d'ici ou à des milliers de kilomètres de là, d'hommes et de femmes qui me font oublier, pendant quelques heures, ma propre vie.
ça m'a renvoyée à cette réaction, un peu agacée d'une psychologue: "Ce n'est pas l'histoire d'autres personnes, réelles ou fictives que j'ai envie d'entendre mais la vôtre" . Peut-être n'est pas intéressante, sans aucun intérêt même cette vie? Avec l'impression d'avancer, jour après jour, sans grand chose de tangible au final.
Et ce soir, cette réaction d'un internaute par rapport aux gens qui procrastinent (ce qui est souvent mon cas): Procrastiner, "... c'est une peur... d'avancer et d'être jugé... c'est un sentiment de mal être général comme si on n'avait pas le droit d'exister..."
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