Texte rédigé en juillet 2023
Le 30 mars 2020
C'était il y a quasi une dizaine d'années de cela, à l'occasion d'une sortie photos dans le cadre du "Voyage à Nantes" : entre le bas du parking à l'est du château de Nantes et la station de tramway avait été installé un nouveau massif de fleurs. Des plantations a priori assez classiques. Sauf que parmi les fleurs il y avait des dahlias. J'avais alors pris conscience que, pendant des années, on n'avait plus vu ce type de plantes dans les parcs et jardins publics.
Et il en était un peu de même dans les jardins privés, par exemple celui de mes parents. Pourtant dans mes souvenirs les plus anciens, il y avait des massifs de dahlias où la petite fille que j'étais aimait se cacher, quitte à faire des détours pour éviter des toiles d'araignées. Mais des années plus tard, il me revient d'abord à l'esprit les immortelles (dont ma mère faisait des bouquet de fleurs séchées) et les zinnias et les reines marguerites de mon père que mon père arrosait chaque soir en revenant du travail.
Alors, le retour des dahlias à Nantes (mais aussi d'autres villes alentours): la redécouverte d'une plante d'été pas trop compliquée ou choix du service des espaces verts d'anticiper le changement climatique et de désormais privilégier des plantes rustiques susceptibles de ne pas trop souffrir des restrictions d'arrosage?
Alors, le retour des dahlias à Nantes (mais aussi d'autres villes alentours): la redécouverte d'une plante d'été pas trop compliquée ou choix du service des espaces verts d'anticiper le changement climatique et de désormais privilégier des plantes rustiques susceptibles de ne pas trop souffrir des restrictions d'arrosage?
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