
Que dire qui n'ait déjà été dit au sujet de cet ouvrage?
Que j'ai été beaucoup plus été sensible à l'amitié que continue à éprouver coute que coute Hassan pour Amir qu'au contraste que fait ressentir ce dernier entre un Kaboul idéalisé du temps où il était enfant et le Kaboul actuel.
Que Amir m'a agacé plus d'une fois, sauf quand il revient aux Etats-Unis et s'affirme enfin face à son beau-père en demandant calmement que son "neveu" soit appelé par son prénom et non sous le vocable injurieux de "hazara" dont j'ai découvert à cette occasion qu'il correspondait à une ethnie très mal perçue en Afghanistan.
Que, même si c'est une fiction, je me suis inquiétée au sujet de Hassan et de Sohrab, son fils: comment devenir homme et père compte tenu de ce qu'ils ont vécu dans leur enfance.
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