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En fait, ces fameuses photos de shibari (qui suscitent d'autant plus de commentaires que leur auteur ne se cache pas d'avoir couché avec chacune des modèles, même d'un jour, avant de les attacher puis les photographier) on les trouve aux 2/3 de l'exposition. Mais avant, il y aura eu l'introduction de l'exposition avec ... des fleurs, dont certaines sont fort sensuelles et avec un peu (ou beaucoup, ça dépend des personnes) d'imagination, on y devine une représentation du sexe féminin .
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Après ces photos, on trouve les ciels, car pas un jour ne se passe sans que Araki immortalise celui du jour, une manière de dialoguer avec son épouse qui pour lui y est et qu'il rejoindra.
L'exposition s'achève sur "Tokyo Tombeau" qu’il a conçue lui-même. C'est toute une série de photos déjà faites mais accolées les unes au autre en un long ruban (un maki) à dérouler. Une sorte de testament visuel mais qu'il présente aussi comme les images qu'il continuera de faire dans l'eau-delà.
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