
Il y a de nombreux fort beaux passages, parfois effrayants, :
- page 94, sur la (re) découverte de sa sensualité
- page 134, sur l'ivresse de l'apprentissage, seul, d'un autre pays, avec la crainte qui l'accompagne et la mélancolie par rapport au cocon familial d'avant
- page 210, avec la description de son banquier, un américain moyen qui n'est autre que le versant masculin d'une "Desesperate housewife" du milieu des années 50
- page 218, avec la manière pour une femme de "... faire des hommes ce que l'on veut en faire: des victimes, des comptes en banque, de futurs maris soumis et avertis de ce qui leur en coûtera de la moindre incartade..."
Parfois ce sont des chapitres entiers qui retiennent l'attention commes le 44 & le 45 consacrés au "bal de printemps", plein de rituels qui montrent qu'on appartient à une communauté.
Au final un livre qui a donné très envie de poursuivre l'étude de cette période en se plaçant cette fois-ci du côté d'April, la jeune femme noire qui a suspendu ses études pour devenir institutrice et lire "la couleur des sentiments" de Kathryn Stockett.
Au final un livre qui a donné très envie de poursuivre l'étude de cette période en se plaçant cette fois-ci du côté d'April, la jeune femme noire qui a suspendu ses études pour devenir institutrice et lire "la couleur des sentiments" de Kathryn Stockett.
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