La première histoire est fictive... quoique... car même si elle se situe quelques part aux Etats-Unis dans l'entre deux guerre, après la grande Dépression, elle a quelque chose d'universel.
C'est l'histoire d'une amitié improbable et pourtant tellement réelle entre deux hommes (Georges et Lennie) très différents qui partagent le même rêve, celui d'avoir une petite maison à eux, où ils pourraient travailler pour eux et vivre tranquillement. Mais la fatalité, le "fatum" est là, et ce rêve là ne se réalisera pas.
C'est l'histoire d'une amitié improbable et pourtant tellement réelle entre deux hommes (Georges et Lennie) très différents qui partagent le même rêve, celui d'avoir une petite maison à eux, où ils pourraient travailler pour eux et vivre tranquillement. Mais la fatalité, le "fatum" est là, et ce rêve là ne se réalisera pas.
Il m'aura fallu des années pour arriver à lire "des souris et des hommes" ce très court roman d'environ 150 pages de John Steinbeck. A ma décharge, à peine au sortir de l'adolescence j'ai essayé de lire, sans jamais pouvoir l'achever, "les raisins de la colère" dans un vieille édition lu livre de poche où les yeux clairs d'Henry Fonda de la couverture contrastaient tant avec l'errance, l'éclatement et la déchéance de cette famille rurale broyée par la crise de 29.
Je n'aime pas la couverture de l'édition folio du livre "des souris et des hommes". Le détail d'un tableau de Thomas Hart Benton intitulé "the ballad of the jealous lover" qui a été choisi met l'accent sur la femme alors que ce qui importe c'est l'histoire de ces journaliers: George et Lennie, mais aussi les autres qui aspirent aussi à une autre vie sans oser y croire.
Et puis le trait est dur alors que le texte recèle de beaux moments poétiques comme tout au début avec la description de la rivière près de laquelle commence et finit le roman, mais aussi de la grange avant et après le meurtre accidentel de la femme de Curley par Lennie.
Le rêve et la poésie, éléments clés de ce récit... Ce n'est pas étonnant quand on connaît le point de départ du roman qui s'inspirerait d'un vers de Robert Burns : " The best laid schemes o'mice an'men gang aft a-gley" dont une possible traduction donnerait « Les plans les mieux conçus des souris et des hommes souvent ne se réalisent pas ».
Et puis le trait est dur alors que le texte recèle de beaux moments poétiques comme tout au début avec la description de la rivière près de laquelle commence et finit le roman, mais aussi de la grange avant et après le meurtre accidentel de la femme de Curley par Lennie.
Le rêve et la poésie, éléments clés de ce récit... Ce n'est pas étonnant quand on connaît le point de départ du roman qui s'inspirerait d'un vers de Robert Burns : " The best laid schemes o'mice an'men gang aft a-gley" dont une possible traduction donnerait « Les plans les mieux conçus des souris et des hommes souvent ne se réalisent pas ».
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