Seulement voilà, enfant ma mère n'a jamais voulu me couper les cheveux jusqu'à l'âge de 11 ans. Ils étaient donc très longs (je m'asseyais dessus) raides mais aussi rares, fins... en résumé: fragiles. Et les brosser correspondait à une séance de torture qui, même encore maintenant, fait que je déteste aller chez le coiffeur.
Du coup quand j'ai commencé à les perdre par poignées, peu de temps avant de partir en colonie de vacances, la décision a été prise: ils seraient coupés courts, très courts. Au point que le soir mon père en revenant le soir du travail m'a croisée sans me reconnaître.
Alors quand je vois de pareils cheveux... je rêve...
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