Du temps où nous vivions ensemble et que nous n'avions pas de jardin, souvent j'en achetais car s'il haïssait l'odeur des roses (au point de jamais en offrir sans jamais se poser la question de savoir si l'autre n'aurait pas aimé malgré tout en recevoir) il aimait l'odeur du mimosa, tout comme celle des freesias.
Le soir, un coup de téléphone me confirmait que tel serait (ou plutôt sera) effectivement le cas puisque le devenir de cette maison est désormais bien d'être vendue.
Le soir, un coup de téléphone me confirmait que tel serait (ou plutôt sera) effectivement le cas puisque le devenir de cette maison est désormais bien d'être vendue.
Et même si c'est dans la logique de ce que j'ai enclenché il y a bientôt 5 ans, il y a des choses qui "passent" mal.
2 commentaires:
Bien en pensée avec vous...
Merci cailloublanc.
Oui cela aura très certainement été le dernier "bouquet" coupé provenant de ce jardin car si j'ai demandé à garder l'appartement, la maison sera soit vendue soit je n'en serai plus co-propriétaire.
Je ne la regretterai pas: jardin trop grand et je me sentais désormais comme une étrangère dans cette maison
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