Bon et bien maintenant ne vous étonnez plus si parfois vous éprouvez ou avez éprouvé quelques difficultés lors de l'éducation de ces chers petits car, quand on y regarde de plus près, que découvre t on dans les histoires de ce cher Tonton Walt?
Une demoiselle qui ne respecte pas l'horaire de minuit qu'on lui a fixé pour rentrer au bercail (Cendrillon)
Un gamin qui n'arrête pas de mentir (Pinocchio)
Un éléphant alcoolique (Dumbo)
Une curieuse qui n'arrête pas de dormir (La Belle au bois dormant)
Une fugueuse (la Belle et le clochard)
Des héros voleurs (Aladin et Robin des bois)
Une toxico qui essaye tous les produits (gâteau, sirop, champignons) qui lui tombe sous la main (Alice)
Une nymphomane qui vit avec 7 hommes (Blanche Neige)
Un parricide (le roi lion)...
Qui veut en rajouter?
4 commentaires:
C'est malheureusement l'image de la société humaine prônée au plus haut niveau
Voir mon article sur Pinocchio
Oui, mais il y a toujours une morale à la fin. Non?
Une morale, oui, peut être. Je me souviens avoir lu, il y a longtemps, que Wald Disney était plutôt considéré comme un supo de facho.... Difficile à prouver. Enfin, oui, on peut dire que c'est à l'opposé de la subversion, effectivement. A quand une princesse avec trente kilos de trop, par exemple ?
* Je crois surtout caphadock que les enfants s'ennuieraient si le héros était trop lisse, et c'est un peu le cas de Tintin.
Demandez aux gens qui ils retiennent de la BD "Tintin", je suis certaine que ce serait d'abord le capitaine Haddock ou alors Milou dans sa jeunesse
* Exact Verveine, il y a toujours une "morale" à la fin de l'histoire, quitte à malmener un brin l'histoire originale (voir la petite sirène ou le bossu de Notre-Dame)
* Il faut que tu vois Schreck Françoise. Là l'héroïne réserve une surprise de taille et de poids et choisi à la fin de rester ogresse.
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