Passé le choc de la 1ère fois, j'ai été régulièrement déçue lors des éditions suivantes. A se demander si la mémoire ne magnifierait pas les souvenirs. J'ai eu aussi l'impression que le nombre de participants, notamment internationaux était moins important. Il faut dire que financer un long voyage en avion avec toutes les plantes (qui resteront sur place) et toute l'équipe nécessaire pour assurer sa mise en place et son entretien durant une dizaine de jours, sans pouvoir espérer de retombées financières directes, cela donne à réfléchir.
Pour cette édition, un certain nombre de personnes se sont organisées pour permettre, quelques jours avant, voire durant les Floralies elles-mêmes, une sorte de "Off des Floralies" via différentes manifestations comme le fleurissement de statues (celle de Anne de Bretagne près du château des Ducs ou de Aristide Briand sur la place du même nom) que je n'ai pu immortaliser les fleurs s'étant très vite dégradées compte tenu de la chaleur... ou des mosaïques fleuries (qui ne m'ont guère convaincue)
Plus réussis, à mon goût étaient la création d'un cheminement piétonnier fleuri rue Scribe ainsi que les fleurissements des entrées du passage Pommeraye, de la fontaine de la Place Royale ou ... plus caché, du passage Chatelaine qui illustrent le présent billet.
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