De cette enfance française, il a laissé des traces dans la région de Couëron où il a grandi car le marais local où s'abrite une riche faune ailée est connu sous le nom de "marais audubon".
On pense que c'est là, dans les marais qui bordent le fleuve, qu'il a observé identifié et dessiné ses premiers oiseaux. Une passion naissante qui va s’enrichir au contact de Charles-Marie d’Orbigny, médecin de famille, féru de sciences naturelles, qui deviendra en 1836 le premier conservateur du Muséum de La Rochelle.
Se souvenant de cette enfance quasi-nantaise, près de 200 ans plus tard, le Muséum d'histoire naturelle de Nantes lui consacrera une exposition
Et désormais ce sont d'immenses toiles inspirées de ses dessins, qui filtrent la lumière du jour sur les baies virées de ce muséum.
On les voit mieux sur cette photo là* qui, en plus fait moins "carte postale" et les met de fait plus en valeur
* tirée de la galerie consacrée à Nantes de
http://www.pbase.com/mwhabib/nantes&page=5
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