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mercredi 19 juillet 2023

Sortie photos... suite

Toujours à la recherche de la 4ème des reproductions de statues qui, dans le cadre du "Voyage à Nantes", font des pauses dans différents endroits de la ville, je suis allée à l'une des stations du "Navibus" de la ligne 2. On m'avait dit la veille que c'était lui qui transportait la statue de la Loire entre les stations "bas-Chantenay" (au nord Loire) et "Hangar à bananes" (en sud Loire).
Nouvel échec. J'ai en effet découvert que sur cette ligne (et toutes les autres lignes de Navibus ) circulent 2 navires. Et ce jour là, c'était le remplaçant! Un peu rageant d'avoir fait le déplacement pour rien, d'autant que ces 2 stations sont éloignées de chez moi, dans des secteurs de Nantes où je ne vais jamais (Bas de Chantenay) ou rarement (Hangar à bananes)
Mais tant qu'à avoir fait le trajet, j'ai décidé d'aller jusqu'au bout et pris la navette. Une belle occasion de voir la ville de Nantes*, sous un autre angle, impossible à avoir autrement qu'en bateau. L'air était d'eau, la lumière était belle, avec un beau ciel. On a même croisé de loin le Navibus de la ligne 1.

Une fois descendue près de la grande grue (la Titan grise) j'en ai profité pour faire un tour au hangar à bananes, fort silencieux à cette heure de la journée car c'est surtout la nuit qu'il s'anime grâce aux très nombreux bars. Et en revenant vers le centre ville, étape au niveau du jardin qui alimente, le temps du "Voyage à Nantes ", la cantine (du même nom). Les grandes bottes (héritage d'un précédent "Voyage à Nantes" sont toujours là, à l'entrée du jardin. Il y avait une jolie collection de plans de tomates anciennes, des plantes aromatiques, des fleurs de tournesol ...et aussi ces fleurs dont j'ai aimé les couleurs. 

* En fait le bout de l'ile Beaulieu, la pointe Ste Anne où se trouvaient autrefois les chantiers Dubigeon, une entreprise de construction navale qui a existé de 1760 à 1987.  

mardi 18 juillet 2023

Sortie photos...

J'étais partie pour immortaliser 2 nouvelles oeuvres du Voyages à Nantes, édition 2023. 
Chou blanc pour la 1ère car j'ai découvert sur place... que je n'étais pas au bon endroit. Quant à la seconde visible dans l'une des serres du jardin des plantes de Nantes... bof... J'ai vu pire*, mais aussi mieux, notamment cette année.

Du coup étant au jardin des plantes, j'en ai profité pour photographier plein de fleurs de saison, qui seront publiées le moment venu. Mais aussi le jet d'eau près de la gare: Exit le personnage rose de Jean Jullien qui faisait la planche et sur les pieds duquel trônait toujours une mouette. Retour au classique, ou plus exactement à un classique revu et corrigé car au mono-jet (dont l'intensité variait de hauteur) a succédé un jet tournoyant qui, au plus haut devient brume d'eau. Superbe! et très rafraîchissant, même si seules les mouettes et canards en profitent.  
* L'espèce de "morve" jaunâtre qui s'illuminait la nuit au coin d'un hôtel qui donnait rue Crébillon ou la salle d'eau en marbre de Carrare ou celle que j'avais surnommé "la pisseuse" m'avaient laissée plus que perplexe.

dimanche 12 avril 2020

Confinement 1 - J26

Texte rédigé en juillet 2023

Le 12 avril 2020
Photo de "gendarmes" en plein travail) réalisée le même jour que la précédente, (la rose visitée par un insecte).  

En 2023, il n'y a plus de poisson dans le réservoir du lac du grand Vioreau,  plus de poissons car plus d'eau. Le réservoir a en effet été vidé car le barrage qui assure la retenue d'eau avait besoin de travaux urgents
Mais pas sure du tout que, lorsque le lac sera de nouveau rempli (en espérant qu'il pleuve assez) la reprise des activité de plein air (et notamment nautiques) sur ce site créé par le Département de Loire-Atlantique en 

En effet, le potentiel biologique des eaux de Vioreau était déjà auparavant mauvais: niveau élevé de composés nutritifs tel que l'azoteprésence de cyanophytes qui la rendaient impropre en tant qu'eau potable. Et il aurait très probablement fallu limiter voire interdire les loisirs aquatiques (sauf compter que l'eau est opaque*. 
Pour compléter le "paysage", trois types de métaux (cadmiumnickel et plomb) sont présents dans le lac. Or ils font partie des substances dangereuses. Sans compter que d'autres métaux sont aussi présents épisodiquement (par ex du mercure en 

samedi 11 avril 2020

Confinement 1 - J25

Texte rédigé en juillet 2023

Le 11 avril 2020

Dans mes souvenirs, cette image a été réalisée lors d'une sortie, réalisée en  semaine, au réservoir d'eau du grand Vioreau. Ce lac artificiel avait été rempli au siècle dernier afin de garantir l'alimentation en eau et en toute saison de la partie est du canal de Nantes à Brest qui servait alors pour le transport de marchandises entre le bassin de la Loire et Brest. Maintenant il est surtout utilisé pour la navigation touristique.
Lorsque j'ai fait cette photo, il y a quelques années de ça, à une époque où on parlait beaucoup moins du changement climatique, j'avais remarqué que le niveau d'eau était bas, au point qu'en se baladant sur les berges sableuses, j'avais vu plusieurs squelettes de poissons. Mais il se pourrait que leur mort ne soit pas que liée à une baisse de niveau d'eau. 


vendredi 10 avril 2020

Confinement 1 - J24

Texte rédigé en juillet 2023

Le 10 avril 2020
Ah ce goéland sur les remparts de St Malo, qu'est ce qu'il pouvait crier fort! Oui crier, parce que autant les mouettes peuvent gentiment piailler, lui il crie, non il braille! 
Bon, pour de vrai, le goéland "pleure" ou "raille" et la mouette... et bien je n'ai pas trouvé. On peut juste écrire que les mouettes rieuses rient?
Une chose est certaine, si les goélands pouvaient avoir une image favorable lorsque adolescente j'avais lu le livre de Richard Bach "Jonathan Livingston le goéland" (avant, étudiante de voir le film), une fois adulte je n'ai plus trouvé aucun charme à ces oiseaux qui en plus pullulent dans les décharges à ciel ouvert.
Pour revenir au jour de la photo, j'avais eu de la chance de pouvoir avoir un bel  arrière-plan avec du ciel bleu car il faisait beau en arrivant à St Malo en fin de matinée. Mais une sournoise brume (dite de de mer) était tombée sur la ville durant l'heure du déjeuner (qui avait été composé de galettes et crêpes bien sur). Et du coup la visite de la ville s'était limitée à l'intra-muros. 

jeudi 9 avril 2020

Confinement 1 - J23

Texte rédigé en juillet 2023

Le 9 avril 2020
Cette photo date très probablement de l'une des toutes premières, voire de ma 1ère visite au site de la vieille mine d'étain d'Abbaretz. Rectificatif, l'une des 1ères fois que j'y suis retournée, bien des années après y être allée avec celui qui deviendra le père de mes enfants. Mais la partie du site où on était allés était trop humide alors on s'était rabattu sur le site de l'étang juste à côté (en fait le trou de l'ancienne mine qui s'est rempli d'eau)  
En prenant cette photo j'avais en tête une image de Edouard Boubat qui illustrait un livre de Christian Bobin: une petite fille qui s'était confectionné une couronne avec une longue traîne de feuilles mortes*. 
Ce jour là, je crois que j'étais à peu près seule seule à déambuler un peu partout sur le site et notamment dans les nombreux canyons et autres ravines de "sable" blanc qui donnait à certaines parties du site un aspect lunaire. Quelqu'un semblait cependant y vivre dans une vieille caravane sans eau (mis à part celle qui coulait dans un petit ru dont les bords étaient soit irisés, soit rougeâtres) ni électricité.
Ce n'est que quelques années plus tard que j'ai appris que l'eau du ru était imbuvable et que le site avait été fermé: trop dangereux à la fois à cause des éboulements imprévisibles de sable mais aussi à cause de la composition dudit sable qui contenait des résidus de métaux toxiques, lesquels étaient entrainés dans l'eau. 
La dernière fois que je m'y suis rendue, des travaux d'aménagement étaient en cours afin de le rendre en partie accessible ... avec obligation de suivre le sentier qui faisait le grand tour. Je comprends le souhait de sécuriser le site, mais craint qu'il ne perde le charme de son côté sauvage. 
*Bizarrerie de la mémoire qui m'a fait confondre "la petite fille aux feuilles mortes" avec celle qui orne la couverture de "une petite robe de fête"

mardi 7 avril 2020

Confinement 1 - J21

Texte rédigé en juillet 2023

Le 7 avril 2020
Il y a beaucoup plus de souvenirs liés à cette photo.
Déjà le lieu, le "parc oriental du Maulévrier", à une petite quinzaine de kms au sud-est de Cholet... mais à une bonne heure de route à partir de Nantes. Ce qui explique notamment pourquoi je m'y rends si peu souvent (sans compter qu'il s'agit d'un parc privé payant) ou plus exactement pas aussi souvent que je l'aimerais car il est très beau, quelle que soit la saison. Enfin l'hiver, je n'en sais trop rien car il est fermé au public du 15 novembre au 15 mars, et l'étang central est vidé pour des raisons de sécurité. 
Là c'était probablement un soir au printemps car les feuilles des arbres sont d'un beau vert clair, tout comme les rives de l'étang. Le printemps n'est pas ma saison préférée, même si c'est un grand moment que celui où les prunus* puis les azalées et rhododendrons sont fleuris. Non, je lui préfère l'automne où petit à petit les arbres prennent de belles couleurs allant du jaune au rouge. 
Dans l'un et l'autre cas, c'est toujours un peu un pari que celui d'arriver au bon moment car lorsque le printemps est frais et un peu humide, la montée en fleurs se fait attendre. Au contraire, lorsque l'été joue les prolongations (St Michel voire St Martin) il faut vraiment attendre le début novembre pour voir les arbres prendre leur parure finale. 
Je ne parle pas du parc durant l'été, parce que alors il n'y a pas ces superbes touches de couleurs des fleurs ou des feuilles, mais aussi parce que les visiteurs sont alors très, trop nombreux à mon goût.  Impossible à cette saison là de passer quelques minutes en paix sur la "colline de la méditation" à écouter le bruit de l'eau, le bruissement des feuilles, le chant des oiseaux...
Je garde cependant le souvenir de 2 visites en été, à l'occasion de nocturnes (avec parfois des spectacles) qui donnent l'occasion de visiter la partie basse du parc et de le re-découvrir: avec pour seules lumières quelques sites plus éclairés entre lesquels on se déplace avec juste des bougies individuelles dans de petits lumignons. Seul regret pour la Nantaise que je suis, en pareil cas, le parc ne rouvre au public qu'à la tombée de la nuit, et une fois la balade d'environ une heure achevée, il faut reprendre la voiture. 
* appelés aussi "cerisiers du Japon" . Ce sont eux qui donnent leur nom à "Hanami", cette fête que célèbre aussi le parc, comme au Japon, en permettant aux visiteurs de déjeuner sous les arbres en fleurs et bénéficier de spectacles notamment de musique avec des instruments traditionnels.  

lundi 6 avril 2020

Confinement 1 - J20

Texte rédigé en juillet 2023

Le 6 avril 2020 

Une très classique fleur mauve, comme j'en ai croisé des dizaines au bord des chemins laissés non pas à l'abandon mais au naturel. Mais celle-là m'avait plu assez pour que je l'immortalise et qu'elle devienne une fleur intemporelle, quasi universelle. Le genre de petite fleur qui m'a beaucoup manqué en ce long mois de confinement strict où seuls les bords de Loire étaient accessibles puisque les parcs et jardins publics étaient fermés. Alors, à défaut de pouvoir profiter directement du printemps, je m'aérais en me promenant dans mes galeries photos accumulées sur le PC au fil des années. 

dimanche 5 avril 2020

Confinement 1 - J19

Texte rédigé en juillet 2023

Le 5 avril 2020 
Ici, aucun doute quant à la ville, ou plutôt le village vu sa taille, où la photo a été réalisée : La Gacilly. Probablement l'année où j'ai découvert le festival de la photo qui s'y tient tous les ans durant l'été.* 
J'ai cependant un micro doute quant à l'endroit exact: est-ce à l'entrée de la rue La Fayette (ce que laisserait à penser le mur sombre tout au fond) ou plus bas dans le village, à l'entrée de la "venelle des fleurs" ** ou bien encore les jardinières le long du pont qui enjambe l'Aff? 
* ce fut je crois la seule année où j'y suis allée en plein été car j'ai vite compris qu'il fallait privilégier le hors saison: c'est moins fleuri car l'été est passé par là mais c'est surtout beaucoup moins fréquenté! 
** J'ai découvert via le Net que son véritable nom est "venelle du Lihoué" Et je dois avouer que d'année en année, et encore plus depuis le confinement de 2020 qui a retardé les plantations puis les été chauds voire très chauds, elle port de moins en moins bien son surnom de "ruelles aux fleurs"  

samedi 4 avril 2020

Confinement 1 - J18

Texte rédigé en juillet 2023

Le 4 avril 2020 
La mouette et le héron, le soir juste avant que le soleil ne se couche, d'où la dominante dorée de l'image. ça c'est le souvenir de l'heure, mais pour ce qui est du lieu et de l'année?
De mémoire, cette image a été prise dans le port de La Rochelle. Peut-être lors d'un bref séjour que j'y ai fait un automne, durant les vacances de la Toussaint. Sauf que lorsque je revois ce port où je suis retournée depuis lors à 2 ou 3 reprises, impossible de me rappeler la localisation de ce bassin. 
"J'ai la mémoire qui flanche, je n'm'souviens plus très bien... "

vendredi 3 avril 2020

Confinement 1 - J17

Texte rédigé en juillet 2023

Le 3 avril 2020 
Encore une ancienne photo. En la revoyant ma 1ère idée a été: 2015 ou 2016, sur l'île Beaulieu de Nantes, un soir en revenant du boulot. 
Et puis le doute... photo prise lors d'une balade automnale au parc de la Gaudinière?
Et désormais... Et si c'était lors de cette balade un peu nostalgique du côté de la maison des Sorinières où j'ai vécu pendant une bonne dizaine d'années?
La seule chose certaine: j'aime toujours autant le contraste entre la feuille rouge et le feuillage vert. Probablement parce que ce sont des couleurs complémentaires. 


jeudi 2 avril 2020

Confinement 1 - J16

Texte rédigé en juillet 2023

Le 2 avril 2020 

Quelque part dans un recoin de ma mémoire cette photo a été réalisée à St Malo*, en 2019, lorsque j'en avais profité pour faire connaître cette ville (ainsi que le Mont St Michel) à un nouveau Nantais qui, du temps où il avait été soit Normand soit Breton, n'y avait jamais mis les pieds. 
J'avais bien aimé le contraste entre la solidité des vieilles pierres intemporelles et les fleurs, fragiles et éphémères, qui ne durent que le temps d'un été.
Certains sont partisans de ne rien laisser pousser en de tels endroits. Mais de plus souvent les gens (dont je fais partie) sont favorables à laisser la Nature reprendre ses droits, quitte à l'aider un peu en plantant des fleurs à qui on demande de plus en plus d'être locales et de pouvoir s'adapter au réchauffement climatique. 
* Le hasard a voulu que je retombe sur cette photo qui cette fois là était géolocalisée et elle a été faite à... Concarneau 

mardi 31 mars 2020

Confinement 1 - J14

Texte rédigé en juillet 2023

Le 31 mars 2020 
Une fois de plus, aucune idée de la date de réalisation de la photo*. Probablement une bonne dizaine d'années. La seule chose certaine c'est que c'était lors de ma seconde visite du parc du Puy du Fou.
La 1ère fois j'avais été assez emballée... même si un des "spectacles" m'avait semblé assez orienté, à savoir une sorte de crypte dédiée aux martyrs chouans. Mais le parc est en Vendée et cette partie du parcours avait semble t il disparu lorsque j'y suis retournée. Sauf que la seconde fois, d'autres spectacles étaient apparus, superbes au niveau chorégraphie, mais comportant des aspects TRES orientés religion catholique que ce soit autour de la légende de St Philbert de Granlieu (apparu pour faire fuir les vilains vikings) ou dans le Colysée où lors de la course de chevaux, seul pouvait gagner le soldat romain converti au catholicisme et qui concourait avec un équipage de chevaux blancs. 
Cet oiseau figurait dans le spectacle consacré au vol des rapaces qui passaient au milieu des spectateurs, lesquels devaient rester calmes et silencieux. Impressionnant!
*
En cherchant bien sur mon PC, je pourrais la retrouver, mais je préfère me concentrer sur les souvenirs et les impressions qui ont accompagné la photo 

dimanche 29 mars 2020

Confinement 1 - J12

Texte rédigé en juillet 2023

Le 29 mars 2020

La photo a été faite dans l'un de ces jardins créés à la fin du 20ème siècle à Paris. Ouvert au public en 2004, il s'intitulait initialement  « jardin de la ZAC-Didot "; il porte désormais le nom de "Jardin Françoise Héritier"*. 

Je l'avais découvert par hasard en suivant une petite ruelle qui donne sur la rue Pernety et était ressortie rue Losserand. Une bien belle intuition. 
J'avais beaucoup aimé ce petit poumon vert loin de l'asphalte, des  voitures, du bruit... avec une petite partie "jardin des voisins" et sa  parcelle créée pour les enfants de l'école toute proche. C'est là que j'ai découvert ce joli hôtel à insectes.
J'y suis retournée quelques années plus tard et apprécié de voir que les arbres et arbustes avaient pris entretemps une belle ampleur.
*
philosophe féministe (1933-2017).

samedi 28 mars 2020

Confinement 1 - J11

Texte rédigé en juillet 2023

Le 28 mars 2020
Là encore je me rappelle l'endroit de la photo et à peu près la période de l'année où elle a été faite. Mais pas de l'année. L'endroit, c'était le parc de la Gaudinière, Le moment, c'était au printemps, à la saison où les fleurs de jonquilles et narcisses couvrent certaines grandes zones du parc car des milliers de bulbes de fleurs y ont été autrefois plantés. 

Sauf que cette année là, je me souviens y être arrivée trop tard, la quasi totalité des fleurs étaient fanées. Ma déception était grande car je gardais le souvenir ébloui d'y être allée dans les années 80. Je gardais en mémoire une photo où ma belle-mère et moi étions, avec nos gros manteaux d'hiver (car ce jour là il ne faisait pas vraiment un temps de printemps) devant des carrés de pelouse piquetés de milliers de tâches jaunes. 
Alors, faute de fleurs jaunes, on s'était (avec le photographe qui m'accompagnait) "vengés" en photographiant plein de fleurs de camélias - même si la collection est loin d'être aussi riche que celle du jardin des plantes- et un des cygnes alors en pleine toilette, avec de jolies gouttes d'eau accrochées à son plumage. 

vendredi 27 mars 2020

Confinement 1 - J11

Texte rédigé en juillet 2023

Le 27 mars 2020
Cette image là, si je ne me rappelle pas de l'année où elle a été réalisée, je me souviens fort bien du lieu et de son contexte.


Le lieu: c'était dans le petit jardin du passage Ste Croix, à Nantes.
Le contexte: c'était une oeuvre peinte exposée dans le cadre du Voyage à Nantes* qui se tient chaque année durant l'été. En m'agenouillant pour être près du sol, j'avais profité d'un parterre fleuri pour offrir un "avant-plan" au martin pêcheur..   
* Il faudrait que je retrouve la catalogue de cette année là pour pouvoir en créditer l'auteur

jeudi 26 mars 2020

Confinement 1 - J10

Texte rédigé en juillet 2023

Le 26 mars 2020
Cette photo là je me rappelle fort bien de l'endroit où elle a été faite : à l'abbaye de St Félix de Monceau (34)*... et de la date: en mai 2015!
Et la photo m'avait renvoyé des années en arrière, lorsque je voyais ce type de papillon dans le jardin de mes parents. Du moins les années où ils ne traitaient pas trop leurs jeunes plans de carotte que la chenille de ce papillon affectionne particulièrement, au grand dam des jardiniers.                         

J'avais découvert le site via un photographe amateur du Sud qui y avait bossé avec un modèle. Il avait fallu un peu insister pour qu'il me donne le nom, une discrétion un peu ridicule de sa part s'agissant d'un monument historique ouvert au public. 
J'avais apprécié l'abbaye, tout en haut d'une colline d'où l'on voyait très loin. L'avantage de l'avoir visité hors saison, c'est que j'étais quasi seule ... l'inconvénient, c'est que je n'avais pas pu entrer dans la partie centrale de l'abbaye, à savoir l'église. 
*https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-F%C3%A9lix-de-Montceau

mercredi 25 mars 2020

Confinement 1 -J9

Texte rédigé en juillet 2023

Le 25 mars 2020

Bien difficile, non impossible de me rappeler où ce nénuphar a été photographié: dans le bassin du jardin des plantes de Nantes? dans celui du jardin de la Rochelle ... ou dans le très grand bassin du parc de la tête d'or qui en contient des dizaines de variétés:
- de toutes les couleurs en allant du blanc au rose soutenu en passant par les roses et les jaunes
- certaines n'ayant qu'un rang de pétales et d'autres beaucoup plus nombreux, comme ici.


mardi 24 mars 2020

Confinement 1 -J8

Texte rédigé en juillet 2023

Le 24 mars 2020

Il est des photos qui, lorsqu'on les revoient, génèrent des sentiments mitigés.
Il y a tout d'abord cette question angoissante: où diable a t elle été prise, à Rennes, dans le jardin des parents? à Paris dans le jardin des plantes, à Bouguenais, sur le site de la Roche Ballue? Mais il y a aussi une grande satisfaction à revoir cette photo, au final intemporelle, celle d'un cerisier en fleurs: une image typique du printemps. Quoique, au printemps il y a aussi les poiriers et les amandiers qui ont des fleurs blanches, celles de pêchers, des prunus ... étant roses... et celles des pommiers roses et blanches. 
Et il y a 2 souvenirs qui me reviennent:
- le très grand cerisier du jardin de mes parents, celui qui surplombait le petit bâtiment qui abritait des clapiers et le poulailler. J'étais trop craintive pour oser dépasser la 1ère grosse ramification, sauf lorsque je voulais m'installer sur le toit d'où l'on voyait les champs à perte de vue. Lorsque la floraison touchait à sa fin, j'avais les jours de grand vent, me mettre sous les branches et laisser pleuvoir sur moi des milliers de pétales blancs. 
-la balade faite durant une pause déjeuner, le long de ce que j'appelais la  route des fleurs, c'est sous ce nom qu'elle figurait sur un carte IGN. Il y avait de très nombreux vergers de cerisiers. Hélas je ne la retrouve pas. Le seul indice qui me revient à l'esprit, c'est que j'avais déjeuné dans la voiture , à proximité du Manoir de Agnès Sorel... que je n'ai jamais visité durant les 5 années passées en Seine Maritime. 

lundi 23 mars 2020

Confinement 1 -J6

Texte rédigé en juin 2023

Le 23 mars 2020

Il faisait beau et très chaud lorsqu'on a visité ce jour là la ville de la Bisbal (Catalogne) qui est réputée pour ses nombreuses boutiques consacrées à la céramique. Si j'en ai photographié un certain nombre, c'est surtout cette rose qui a retenu mon attention tant était beau le dégradé de couleurs sur ses pétales. 
Un seul regret, la fleur était située dans un jardin clos par une grille, impossible donc de vérifier si elle sentait aussi bon que je la trouvais belle.