C'est un article de "20 minutes" qui confirme ce qu'on ressent tous depuis la mi mars, et plus précisément le 20: le printemps n'est pas là et il ne semble pas prêt d'arriver. La preuve, les petites clochettes du 1er mai ont bien du mal à pousser, ce qui n'est pas sans inquiéter les maraîchers nantais qui mettent sur le marché 85% de la production française.
Bon, depuis le temps qu'ils sont sur ce créneau, ils savent comment faire pour ralentir ou au contraire forcer les plantes afin qu'elles soient fin prêtes pour LA date fatidique. Sauf que là, avec le déficit de chaleur ET de soleil, les plantes ont du mal, beaucoup de mal à pousser. Du coup elles ont pris un retard d'environ une dizaine de jours sur le calendrier moyen. Pour les producteurs, ça va être tendu, très tendu avec au final un fort risque de devoir mettre sur le marché des brins aux hampes plus courtes que d'habitude.
Et le retard ne concerne pas que les petites fleurs blanches porte-bonheur. La fédération des maraîchers déclare en effet: "C'est surtout la lumière qui fait défaut. Il y a un déficit d'environ quinze jours". Pour les produits frais plantés en pleine champ comme la salade, la mâche, ou le poireau nouveau mais aussi ceux qui poussent sous serres (tomates, concombres, fraises) il faudra attendre un peu pour trouver des produits locaux que l'on ira acheter après avoir rangé les gros manteaux. Mais je n'ose pas trop râler car par ici on a encore échappé à la neige , ce qui n'est pas le cas de nos voisins normands pour qui une nouvelle alerte a été lancée.
Bon, depuis le temps qu'ils sont sur ce créneau, ils savent comment faire pour ralentir ou au contraire forcer les plantes afin qu'elles soient fin prêtes pour LA date fatidique. Sauf que là, avec le déficit de chaleur ET de soleil, les plantes ont du mal, beaucoup de mal à pousser. Du coup elles ont pris un retard d'environ une dizaine de jours sur le calendrier moyen. Pour les producteurs, ça va être tendu, très tendu avec au final un fort risque de devoir mettre sur le marché des brins aux hampes plus courtes que d'habitude.
Et le retard ne concerne pas que les petites fleurs blanches porte-bonheur. La fédération des maraîchers déclare en effet: "C'est surtout la lumière qui fait défaut. Il y a un déficit d'environ quinze jours". Pour les produits frais plantés en pleine champ comme la salade, la mâche, ou le poireau nouveau mais aussi ceux qui poussent sous serres (tomates, concombres, fraises) il faudra attendre un peu pour trouver des produits locaux que l'on ira acheter après avoir rangé les gros manteaux. Mais je n'ose pas trop râler car par ici on a encore échappé à la neige , ce qui n'est pas le cas de nos voisins normands pour qui une nouvelle alerte a été lancée.
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