Suite à un peu de "ménage" dans les albums photos, il en est ressorti quelques unes qui ne pouvaient se rattacher aucun billet mais présentaient quand même un certain intérêt. Les voici donc.
Avec une question pour la première: quelqu'un pourrait il m'indiquer la rue où se dresse cet hôtel particulier qui m'avait un peu tapé dans l'oeil à cause de la juxtaposition de deux types de décorations: d'un côté une frise grecque qui court sous le grand balcon, et de l'autre des statues qui semblent issues d'un croisement entre un masque de Batman et les gargouilles du building Chrysler de New York.
C'est dans le dédale des rues du quartier St Germain. En outre, compte tenu des autres photos prises ce jour-là, ça se situe probablement à moins d'un kilomètre du petit jardin qui jouxte l'église de St Germain où l'on peut photographier la statue de Bernard Palissy. Mais c'est tout ce dont je me souviens.


La première est située rue Saint-Louis en l'île (et oui, il n'y a pas que le glacier Berthillon dans le coin). Au 51 pour être précise. Même que lorsqu'il a fallu l'immeuble avec cette fenêtre sur un plan, j'ai béni l'application qui via Google Map permet de vous balader au fil des rues.
Quant à la seconde, elle fait partie des belles façades de l'hôtel Sully. Un hôtel que l'on ne peut voir que si, lorsqu'on explore le quartier du Marais, on ose se faufiler dans les passages qui permettent, à partir de la rue St Antoine et en passant de cour en cour, de regagner la place des Vosges.
Les deux photos qui suivent ont retenu mon attention pour des raisons différentes.


Enfin, LA dernière fenêtre! La fenêtre? Mais il aurait fallu pouvoir aussi photographier la porte juste en dessous et qui vaut elle aussi le détour! Si vous passez rue Monsieur Le Prince, allez la voir. Elle se situe au 14.
Grâce au net j'ai appris ceci: "Cet immeuble de quatre étages plus combles, en briques et pierres, style
Napoléon III, possède une porte en bois sculptée à arc brisé en lancette, sur lequel s'appuient deux sculptures féminines, l'une représentant une libertine et l'autre une studieuse. Un mascaron orne la pointe de la lancette. Le tympan en bois est percé d'une fenêtre avec appui en fer forgé. Le compositeur Camille Saint-Saëns habita dans cet immeuble de 1877 à 1889, de même que l'homme de lettres noir américain Richard Wright de 1948 à 1959. Des plaques commémoratives ont été posées sur l'immeuble. Paul Léautaud y vécut aussi quelques mois en 1892, dans une chambre de bonne."
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