Suite des "aventures" de Lucius Modestus qui continue régulièrement de passer de la Rome antique au Japon actuel dont il ramène une solution à un problème posé par ses contemporains. Un procédé répétitif mais que l'auteur semble loin d'avoir épuisé car il y aura encore 3 volumes après celui-ci! Pas sur que je les achète...
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De retour à Ostie en 137. Il reçoit une lettre du futur successeur d'Hadrien qui se languit en Panonie (sur les bords du Danube) où il n'arrive pas à se faire un bain chaud où se délasser. Lucius trouvera la solution à son problème auprès d'un bucheron japonais qui utilise un baquet en bois dont il chauffe l'eau grâce à une petite chaudière individuelle.
Dans la dernière histoire, c'est son ami Marcus qui lui demande de l'aider en acceptant de construire des thermes pour le collège des severi augustales, d'ancien affranchis ayant fait fortune, ce qu'il finira par accepter de faire. Entretemps il aura rencontré au Japon, un jeune architecte obligé lui aussi d'accepter l'offre de travail d'un parvenu désireux de rénover les très vieux "bains du clair de lune".
Dans ce 3ème tome de "Romae Thermae", c'est ce chapitre qui est le plus intéressant, notamment dans les notes annexes que l'auteure ajoute à la fin de l'histoire. On y apprend ainsi que la société romaine était divisée en hommes libres, hommes libérés, esclaves et étrangers.... avec à chaque fois moins de droits. Et qu'il existait un corps formé d'anciens affranchis ayant fait fortune qui célébraient le culte de l'empereur Auguste (d'où leur nom). Mais à leur sujet, j'en apprendrai plus sur le net:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Seviri_augustales
1 commentaire:
J ai lu le premier tome. Intéressant mais pas au point de lire toute la série
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