C'est l'histoire d'un petit séjour express à Paris, le temps notamment de visiter quelques expositions et si le temps si prête quelques lieux plus ou moins connus. Mais aussi acheter du thé "Mariage Frères" qu'on ne trouve pas chez mon fournisseur habituel de la rue de la Fosse*.
Parmi les expositions, priorité sera donnée non pas aux Grandes expositions, celles du Grand Palais ou du Musée d'Orsay qui drainent des milliers de visiteurs qui fait que l'on attend des heures pour ne pas forcément voir grand chose, mais aux petites expositions plus confidentielles dans des lieux moins connus, avec une super priorité pour celles qui arrivent en fin de course et seront terminées en juin, lors du prochain séjour.
Exit donc, au moins temporairement, "l'ange du bizarre" au Musée d'Orsay (même s'il ne m'aurait pas déplu de voir "le cauchemar" de Füssli) et "Marie Laurencin" au musée Marmottan. Place à "Atsushi Tani: histoire de l'oeil" et aux vitraux de Diego Tomelli au ... Musée de l'érotisme. Ainsi qu'à "Laure Albin-Guillot (1879-1962), l'enjeu classique" au Musée du Jeu de paume. Et enfin, dans le quartier de la gare d'Austerlitz, au lieu-dit "les Docks" au sein de la cité de la mode et du design à l'exposition: "Mannequin - Le corps de la mode"
Parmi les lieux à visiter: le Sacré-Coeur, histoire de me consoler d'être tombée à Lyon sur une basilique de la Fourvière express (car le site balayé par un vent glacial dissuadait de profiter de la vue) et de surcroît non visitable (mis à part la crypte) car en plein travaux en rénovation.
Compte rendu de tout ça dès que possible...
*PS du 21 avril
Exemple des thés qui manquent à l'appel, "le thé des pharaons" (Somptueux mariage de thé vert de l’Inde et de fruits du delta du Nil.) et les vrais Darjeeling comme le "Master" (Très grand mélange des thés de l'Himalaya - Darjeeling des récoltes de printemps, d’été et d’automne. Riche en arôme, goût équilibré.) Il s'y ajoutera le "Sakura white tea" (Thé blanc parfum fleurs de cerisier... avec une pointe d'amande)
jeudi 18 avril 2013
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2 commentaires:
Marie Laurencin un régal pas si douce qu'on pourrait le croire, un don pour l'esquisse entre autre et surtout un parcours de vie intéressant Espère que cela vous plait
J'aimais Marie Laurencin... à cause de Guillaume Apolinaire. Mais aussi de son style de dessin que je retrouve dans plusieurs de vos oeuvres.
Du coup je me suis promis d'aller la voir. Mais pas cette fois-ci car j'ai mis l'accent sur les expositions qui s'achevaient
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