jeudi 31 mai 2012
Fleurs de Mai (2)
mercredi 30 mai 2012
Fleurs de Mai (1)
Où les fleurs volent au vent si jolie mignonne,
Où les fleurs volent au vent si mignonnement..."
Cette chanson enfantine est elle toujours de mise? Oui si j'en crois les fleurs photographiées ce week-end dans deux des parcs de Nantes: le jardin des plantes et le parc des expositions. Au menu: des pavots, des iris et... des roses.
Priorité aujourd'hui aux pavots.
Il est bien loin le temps où les seuls pavots que l'on trouvait, c'était les coquelicots dont le rouge vif tranchait si bien sur les blés.... quand ils n'envahissaient pas avec les pétales si fragiles, la moindre ruine, le moindre bord de fossé.
Désormais ils s'invitent dans les grandes villes qui non seulement ne combattent plus coute que coute leurs robes rouges mais les mettent en valeur dans les massifs en jouant avec la diversité de leurs couleurs: jaune, orangé, rose et même blanc.
Là il y aura juste, un bouton poilu qui commence à laisser entrevoir la couleur de la future robe de la fleurs,une photo qui regroupe 3 pavots, chacun à un stade de sa floraison... et tout à la fin, un pavot au sein duquel virevoltait un visiteur.
mardi 29 mai 2012
B comme ... (3)
lundi 28 mai 2012
Echos... (10)
dimanche 27 mai 2012
B comme ... (2)
Pour revenir à la chanson de Georges Brassens, qui oserait aujourd'hui utiliser dans une chanson ce mot rare qu'est celui de "pampre"? Mais il est vrai que les jeunes filles d'aujourd'hui n'ont plus besoin d'aller se baigner nues en espérant qu'il fasse grand vent.
samedi 26 mai 2012
Vroum, vroum... (2)
Ce fut la seule et unique fois donc où je l'ai conduite car peu de temps après mes parents m'ont offert MA voiture. Une Renault 5* à deux portes qui était plus ou moins rose métallisé (même si sa couleur officielle c'était "perle"). Moins d'un an après la naissance du premier enfant elle sera remplacée par notre 1ère familiale: une Renault 21 blanche, beaucoup plus confortable à laquelle succédera à la naissance de n°3 un Renault Espace.
Je serai alors loin, très loin de la 1ère voiture de mon père dont je me souvienne: une Panhard avec laquelle, de loin en loin, il emmenait la petite famille à la mer, les jours de grande marée, pour ramasser de coques. Les moteurs étaient beaucoup plus simples que maintenant, avec beaucoup moins d'électronique. C'est d'ailleurs ce qui a sauvé mon père le jour où ma grande soeur a perdu la clé de la voiture alors que nous étions à la plage, à plus d'une heure de route de chez nous. Il serait en effet désormais impossible de faire démarrer sa voiture comme il le fit ce jour-là: en crochetant le contact grâce à une épingle à cheveux de mes soeurs!
* Photo tirée de https://en.wikipedia.org/wiki/Renault_5
vendredi 25 mai 2012
B comme ... (1)
1ère retenue, une femme, qui a beaucoup fait rêver mon 1er ami: Barbara, surtout après qu'il ait assisté à un concert où elle avait chanté pour les spectateurs assis au 1er rang: "Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous"!
C'est dans le disque du même nom que figure la chanson qui suit. Elle n'est pas forcément celle que je préfère d'elle car il y a aussi "Pierre", "l'aigle noir", "Göttingen", "Dis quand reviendras-tu" etc... Mais je l'aime beaucoup.
En l'écoutant je ne peux m'empêcher à tous les hommes amoureux, qu'ils aient on non rencontré la femme (brune) de leurs rêves.
A noter que si la chanson est souvent rattachée à Barbara, c'est Georges Moustaki qui est l'auteur de la mélodie et de ces très jolis vers:
"...J'ai habillé la dame brune dans mes pensées
D'un morceau de voile de brume et de rosée.
J'ai fait son lit contre ma peau pour qu'elle soit bien,
Bien à l'abri et bien au chaud contre mes mains..."
jeudi 24 mai 2012
Musiques du festival de Cannes (5)
Encore une musique qui m'a fait craquer... au point d'acheter le double CD juste à cause de CE morceau.
Et que l'actrice principale est belle. Et ses robes... Qu'est ce que je regrette ma silhouette européenne qui m'interdit ce genre de tenues!
J'ai aussi acquis le DVD, mais j'ai peur de revoir ce film qui m'avait plu tout en me laissant perplexe.
mercredi 23 mai 2012
Musiques du festival de Cannes (4)
C'est Microcosmos, sorti en 1996, que j'ai découvert le travail de Bruno Coulais, dont j'ai aussi beaucoup apprécié les B.O.F. de "Himalaya, l'enfance d'un chef" et "Le peuple migrateur".
Certains morceaux m'ont d'ailleurs très surprise, comment cette voix féminine qui, sur une mélodie plutôt "opéra", accompagne la lente et longue scène d'amour torride entre ... deux escargots!
mardi 22 mai 2012
A Lyon, le "bouchon des filles"
lundi 21 mai 2012
Lyon-Nantes
Avec une question: par où passer?
Il y a le trajet le plus rapide (6h58) ... mais aussi le plus long en kilomètres car il fait redescendre par... St-Etienne... et aussi le plus cher car il n'y a quasiment que de l'autoroute
Et il y a le trajet le plus court mais qui est plus long en temps (9h20) car il prend les petits chemins plus ou moins sinueux où le 90 est de mise.
Alors???
Alors, étant seule cette fois-ci à conduire puisque la gente demoiselle n'a pas encore deux ans de permis et ne peut donc se mettre au volant d'une voiture de location*, ça pourrait bien être un mixte avec
- du rapide au départ de Lyon car je garde un très mauvais souvenir de la traversée du Massif Central où la pauv' pitite Clio avait souffert l'an dernier dans les fortes pentes... et là on passerait plus au nord de ce massif, par Mâcon et Moulins
- du rapide en retrouvant le trajet autoroutier à partir de Montluçon
Mais le GPS que l'on m'a offert en mars dernier pour ma fête fournira peut-être une autre solution.
Réponse jeudi en cours de journée et d'ici là le blog - qui a pourtant beaucoup de retard dans la publication des billets- est "fermé"
* Et oui, j'ai eu pitié de la Clio essence qui avec ses 190 000kms commence à se faire vieille pour envisager une longue randonnée de 1 500kms en deux jours alors ce sera train à l'aller et voiture au retour
dimanche 20 mai 2012
Musiques du festival de Cannes (3)
Le présent billet a aussi été l'occasion de découvrir le titre anglais du film: "the Promise". Et des promesses il y en aura plusieurs dans le film: promesse du mari de revenir plus tard chercher le piano, du futur amant de lui "échanger" le piano, petit bout par petit bout contre des "faveurs", de l'héroïne à son mari pour ne plus revoir son amant, de l'amant pour quitter sa propriété en emmenant avec lui l'héroïne et son piano.
samedi 19 mai 2012
Musiques du festival de Cannes (2)
Un film de 1976 que je n'ai pas vu non plus à sa sortie, à cause de mes réticences à aller voir des films de Scorcese que je trouvais trop violentes.
Je viens juste de découvrir que la musique a été écrite par Bernard Herrmann que l'on connait plus pour sa longue collaboration avec Hitchcock. Cette musique fut la dernière sur laquelle il travailla avant sa mort. Le film lui est d'ailleurs dédié.
vendredi 18 mai 2012
Musiques du festival de Cannes (1)
1er film retenu: "le 3ème homme", sorti en 1949, dont j'avais complètement oublié à quel point le réalisateur (Carol Reed) avait opté pour des cadrages penchés. A l'image de cette époque où beaucoup de certitudes ont basculé? Tout comme le héros qui découvre que son ami est devenu un salaud qu'il finira par "trahir"
jeudi 17 mai 2012
Histoires de "petites" robes d'été
Une tentative pour faire oublier que j'avais acquis la certitude que je n'étais plus à ses yeux que la mère de nos enfants et que nous étions un couple qui ne communiquait plus? La preuve: l'ensemble était bleu marine, une couleur que je ne portais plus depuis près de 25 ans alors que quelques semaines auparavant j'avais acheté une robe rouge carmin ainsi qu'une veste et une jupe avec des fleurs dans un dégradé de tons rouge et rose.
mercredi 16 mai 2012
"Gringos Locos" de Yann et Schwartz
Pas sur par contre que l'éditeur ait envie d'imprimer la tome 2 des aventures du trio...
mardi 15 mai 2012
Vroum, vroum...(1)
lundi 14 mai 2012
Quelques fleurs du parc de Procé à Nantes
dimanche 13 mai 2012
... Comme un petit coquelicot de ...
- que l'auteur des paroles de cette chanson enregistrée en 1951 n'est ni Mouloudji ni Francis Lemarque comme j'ai pu le lire mais... Raymond Asso (qui a écrit notamment pour Edith Piaf, les Frères Jacques...)
- que la musique a été composée par Claude Valéry
- que Mouloudji avait un prénom: Marcel
"Le myosotis, et puis la rose,
Ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !
Mais pour aimer les coqu'licots
Et n'aimer qu'ça... faut être idiot !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà :
Quand j't'aurai dit, tu comprendras !
La premièr' fois que je l'ai vue,
Elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu d'un champ de blé.
Et sous le corsag' blanc,
Là où battait son coeur,
Le soleil, gentiment,
Faisait vivre une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.
C'est très curieux comm' tes yeux brillent
En te rapp'lant la jolie fille !
Ils brill'nt si fort qu'c'est un peu trop
Pour expliquer... les coqu'licots !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà
Quand je l'ai prise dans mes bras,
Elle m'a donné son beau sourire,
Et puis après, sans rien nous dire,
Dans la lumière de l'été
On s'est aimé ! ... on s'est aimé !
Et j'ai tant appuyé
Mes lèvres sur son coeur,
Qu'à la plac' du baiser
Y avait comm' une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.
Ça n'est rien d'autr' qu'un' aventure
Ta p'tit' histoire, et je te jure
Qu'ell' ne mérit' pas un sanglot
Ni cett' passion... des coqu'licots !
Attends la fin ! tu comprendras :
Un autr' l'aimait qu'ell' n'aimait pas !
Et le lend'main, quand j'lai revue,
Elle dormait, à moitié nue,
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu du champ de blé.
Mais, sur le corsag' blanc,
Juste à la plac' du coeur,
Y avait trois goutt's de sang
Qui faisaient comm' un' fleur :
Comm' un p'tit coqu'licot, mon âme !
Un tout p'tit coqu'licot."
samedi 12 mai 2012
4 ans plus tard... perplexité
Pour la petite histoire, ce visage est celui de l'une des statues placées en haut du Parc de Procé. Elles figuraient autrefois sur la place du Trocadéro à Paris. Celle-ci, avec sa couronne de blé, représente probablement l'Agriculture, les 3 autres étant consacrées à la Forêt, à la Botanique et à la Sculpture.
vendredi 11 mai 2012
Panne de courant!
mercredi 9 mai 2012
"Les jambes des femmes...
Cet hommage à la gente féminine* me trottait dans la tête alors que, allant à un rendez-vous, je foulais le trottoir nantais en appréciant qu'enfin la douceur soit revenue. J'avais pu laisser dans les tiroirs les bas, profitant ainsi au maximum de l'air qui glissait le long de mes jambes. Une caresse presque aussi douce que celle du chat quand il vient me frôler pour chiner croquettes ou caresses.
Et oui, après avoir porté pendant des années presque exclusivement des pantalons, depuis maintenant un peu plus de 6 ans, ces derniers sont quasiment absents de ma garde-robe. Je sais, c'est moins pratique ou confortable... Quoique...quoique...
Avec une robe, pour peu qu'avec l'âge on ait pris quelques rondeurs, on est beaucoup moins serrée (sauf à opter pour une robe fourreau ou une jupe droite). Plus de risque d'avoir le bouton qui saute ou la fermeture qui lâche. Et quand le tissu est blanc, fin, voire très fin, aucune obligation de devoir opter pour le micro string pas confortable du tout ou la culotte de mémère.
Et puis comme il y a bien longtemps que, pour cause de genoux qui ressemblent plus aux articulations des percherons qu'à celles des purs-sang, j'ai renoncé aux jupes et robes courtes, le risque est limité d'être indécente lorsque je suis assise ou que je me penche un peu sans plier les genoux.
Reste durant les mois d'été le problème du vent,"le vent fripon" cher à Georges Brassens. Mais là encore, il suffit d'une longueur raisonnable de tissu, notamment quand le tissu est léger, voire aérien... Et de se méfier des bouches de métro. Et oui, j'ai largement passé l'âge de Marylin dans "7 ans de réflexion"
* Au moins le 3ème de François Truffaut si l'on y ajoute les échanges de Charles Denner (déjà lui) avec la 1ère victime de "la mariée était en noir" qui a enregistré le bruit des bas de sa fiancé lorsqu'elle croise et décroise les jambes et les confidences de Jean-Louis Trintignant qui, dans "Vivement dimanche!" déclarer adorer se poster derrière le soupirail de sa boutique pour regarder les jambes des passantes
mardi 8 mai 2012
Lever de soleil sur la Loire
Projet non mené à terme pour cause de déménagement,mais reconduit dans le logement suivant, un T3 disposant de fenêtres au nord et au sud, en ciblant cette fois-là les couchers de soleil. Le temps a passé. Il s'est avéré qu'un tel projet était difficile à mettre en oeuvre car il aurait supposé pas mal de disponibilité pour se poster au même endroit, jour après jour (mais à des horaires variant au fil des saisons, or je dors désormais rarement dans le T3) afin de photographier l'horizon durant les quelques minutes durant lesquelles le soleil disparaît. Et puis j'oublie un facteur essentiel: la météo! Parce que certains soirs, il n'est pas du tout évident de voir le soleil derrière la couche de nuages!
Moralité: j'ai renoncé, jusqu'à nouvel ordre, à ce projet et quand je suis au T3, je ne photographie plus guère les levers ou couchers de soleil, sauf quand ils présentent un intérêt particulier, par exemple quand le ciel et les nuages prennent des couleurs un peu atypiques, comme ce matin du 22 septembre 2008 où il s'est écoulé 11 minutes entre la 1ère et la dernière photo.
lundi 7 mai 2012
Le jardin des plantes de Nantes par une nuit d'octobre
En résumé: si un jour cette manifestation se renouvelle, je ne manquerai pas d'y retourner car c'est vraiment une expérience passionnante que de visiter un parc que l'on croit bien connaître de nuit, il prend alors un tout autre relief. En fait, le temps de la balade, on a l'impression d'une plongée dans un autre monde.
dimanche 6 mai 2012
vendredi 4 mai 2012
Lumières sur la Loire
La poursuite du tri des vieilles photographies a permis de remonter en surface ces deux images toutes deux réalisées le même jour, le 9 février... 2008.
La première a été réalisée de la fenêtre de ma chambre, peu de temps avant de partir travailler et la suivante à la fin d'une promenade que j'avais effectuée durant l'après-midi, entre le pont Willy Brandt et celui de Bellevue.