Il y avait la solution courageuse: m'attaquer à la lecture de ses mémoires et la solution fainéante. J'ai choisi la seconde et j'ai acheté cette BD lors de la visite d'une exposition au Musée Guimet. Et oui entre 90 pages (+ 6 pages de suppléments divers) et des milliers de pages, car la Dame était très prolixe, le choix était vite fait.
Qu'apprend t on dans ce 1er volume où les auteurs ont fait le choix de mettre les souvenirs anciens d'Alexandra en couleurs et les récents, ceux de Marie-Madeleine, en sépia?
Tout d'abord comment ce sont rencontrées Alexandra et Marie-Madeleine Peyronnet (qui a raconté dans un livre leur 10 années de vie commune) dans un hôtel d'Aix-en-Provence... avant que Marie-Madeleine devienne un peu en catastrophe la garde malade, dame de compagnie, chauffeur , cuisinière, secrétaire... d'une dame ayant un fichu caractère et de plus un tantinet comédienne. Exemple: si le 19 juin 1959, pour faire accourir Marie-Madeleine, elle se dit à l'agonie et ne plus en avoir que pour quelques heures... c'est pour mieux déménager 2 jours plus tard afin de retourner dans une maison qu'elle possède à Digne: "Samten Dzong".
Drôle de maison que la "forteresse de la méditation" car tel est son nom en français, puisque à leur arrivée, elle a fort triste allure, sombre, très sombre et est colonisée par les araignées, cafards, criquets, souris... que la femme de ménage avait interdiction de tuer. Et oui Alexandra est bouddhiste et toute vie est sacrée.
Il sera aussi question de Yogden qu'Alexandra a rencontré en 1914, lorsqu'il n'avait que 15 ans et qui lui servira de traducteur, secrétaire, cuisinier, blanchisseur... même bien après qu'elle l'ait adopté en 1929. Son décès brutal en 1956 bouleversera Alexandra.
Mais aussi, dans un style plein d'humour, du déroulement de leurs journées et des visiteurs avant que les auteurs nous laissent au milieu du gué.... avec Alexandra en fâcheuse posture puisque la corde utilisée pour franchir leMékong et espérer atteindre Lhassa s'est rompue... de quoi amplement motiver pour lire le volume suivant, même si on sait qu'Alexandra est bel et bien allée à Lhassa.
Qu'apprend t on dans ce 1er volume où les auteurs ont fait le choix de mettre les souvenirs anciens d'Alexandra en couleurs et les récents, ceux de Marie-Madeleine, en sépia?
Tout d'abord comment ce sont rencontrées Alexandra et Marie-Madeleine Peyronnet (qui a raconté dans un livre leur 10 années de vie commune) dans un hôtel d'Aix-en-Provence... avant que Marie-Madeleine devienne un peu en catastrophe la garde malade, dame de compagnie, chauffeur , cuisinière, secrétaire... d'une dame ayant un fichu caractère et de plus un tantinet comédienne. Exemple: si le 19 juin 1959, pour faire accourir Marie-Madeleine, elle se dit à l'agonie et ne plus en avoir que pour quelques heures... c'est pour mieux déménager 2 jours plus tard afin de retourner dans une maison qu'elle possède à Digne: "Samten Dzong".
Drôle de maison que la "forteresse de la méditation" car tel est son nom en français, puisque à leur arrivée, elle a fort triste allure, sombre, très sombre et est colonisée par les araignées, cafards, criquets, souris... que la femme de ménage avait interdiction de tuer. Et oui Alexandra est bouddhiste et toute vie est sacrée.
Il sera aussi question de Yogden qu'Alexandra a rencontré en 1914, lorsqu'il n'avait que 15 ans et qui lui servira de traducteur, secrétaire, cuisinier, blanchisseur... même bien après qu'elle l'ait adopté en 1929. Son décès brutal en 1956 bouleversera Alexandra.
Mais aussi, dans un style plein d'humour, du déroulement de leurs journées et des visiteurs avant que les auteurs nous laissent au milieu du gué.... avec Alexandra en fâcheuse posture puisque la corde utilisée pour franchir leMékong et espérer atteindre Lhassa s'est rompue... de quoi amplement motiver pour lire le volume suivant, même si on sait qu'Alexandra est bel et bien allée à Lhassa.
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