Ils sont toujours aussi en forme nos octogénaires. Bon d'accord, Mimile, le héros de ce volume a droit à un petit séjour à l'hosto mais l'essentiel n'est pas là.
Un volume où on se marre toujours autant mais avec des passages plus graves avec les histoires
- à 10 & 20 ans de Berthe, la voisine dont, aux dires d'Antoine et Pierrot, mais aussi des gamins du village, il ne faut surtout pas acheter les oeufs
- et de Errol, un vieil Australien de l'âge de 3 héros, mais en beaucoup plus déglingué et qui cherche "The Biouche"
Peut-être plus que dans le précédent volume, les histoires s'entrecroisent, les histoires de ceux que Sophie baptise les 3 ânes en racontant via ses marionnettes comment les 3 grands copains d'enfance ont eu un comportement assez détestable avec Berthe lorsqu'ils étaient enfants.
Le seul qui ne s'en sort pas trop mal et échappe à l'écrasage d'oeufs sur la tête c'est Emile. Emile dont on a comprend pourquoi il a quitté le village à 20 ans pour aller s'entraîner au rugby aux antipodes. Et qui explique comment il a rencontré Errol, cet Australien, alors tout aussi baroudeur que lui, avant que,toujours à cause de lui, il ne devienne, ainsi que le décrit Pierrot: "un vieil Australien repoussant, farci de prothèses! on dirait qu'il a été mâché par Belzébuth"
Ne pas oublier les passages où, dans l'introduction, Pierrot est déguisé... en abeille quand il fait un coup médiatique contre le lobby des insecticides. Et quand Sophie rencontre le PDG des laboratoires Garan-Servier. Vraiment un sale c** celui-là (avec peut-être un début d'explication quand au comportement bizarre du père de Sophie avec ses parents)
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