samedi 31 août 2013

Le voyage à Nantes (2) Claude Ponti au jardin des plantes

Connaissez-vous Claude Ponti. Moi non, du moins jusqu'au moins de juin dernier où j'ai redécouvert l'art de cet auteur pour enfants. Redécouvert car comme il publie aux éditions "école des loisirs" j'ai très probablement eu entre les mains un certains nombre de ses ouvrages, sans forcément accrocher autant que par exemple avec Claude Boujon dont les dessins sont beaucoup plus simples et les histoires plus ancrées dans la réalité quotidienne sont pleines d'humour. 
Avec Claude Ponti, on est dans un autre registre où le dessin laisse beaucoup plus de place au rêve et à l'imaginaire.
Toujours est-il que le jardin des plantes de la ville de Nantes a fait appel à lui pour mettre en place un certain nombre d'oeuvres éphémères dans le cadre du "voyage à Nantes". Enfin quand j'écris éphémères, elles restent quand même visibles jusqu'au 20 octobre, alors que toutes les autres mises en scènes auront disparu le 1er septembre.
Au fil de ce billet, en voici donc quelques unes de ces créations regroupées sous le titre de "mimétisme ou imitation: l'avis des plantes" dans l'ordre où elles me sont apparues. Avec pour certaines des explications complémentaires pour mieux entrer dans l'univers de ce créateur:
- l'envol des livres, avec quelques uns de ce que j'ai appelé les nids à lecture, photographiés en juin dernier, puis en fin août, lorsque la végétation avait bien poussé
- M. Génie (dont les "cheveux" ont bien poussé au cours de l'été. Il faudra d'ailleurs que j'aille voir Mme Génie...
- les totémimiques dont certains avaient vraiment de bonnes bouilles
- les bancs processionnaires... Rien à voir avec les urticantes chenilles*. Non, là on vous invite juste à vous assoir en choisissant votre banc un peu comme Boucle d'Or chez les Ours puisque le 1er petit banc est à la taille d'un enfant de maternelle alors que sur le 4ème vos pieds se balanceront à plus de 15cm du sol! De là vous pourrez voir 
- LE banc, celui en dessous duquel vous passerez et sur lequel une géante a laissé son panier de provisions et un tricot inachevé. Entretemps vous aurez dépassé ces drôles d'enfants-champignons rieurs. Une création de...
- la polymorphiae exactisantae: une plante microscopique capable d'imiter n'importe quel objet vivant ou non. Sur place vous aurez même droit à la biographie de son auteur!
- Tout en haut du jardin, place au "labyrinthe des rêves et des cauchemars" où il faut oser se faufiler, sur fond d'une fresque qui illustre bien comment petits et grands peuvent passer de l'un à l'autre, le long des petits sentiers à taille d'enfant où "poussent" d'étranges créatures parfois grimaçantes.
- Avec l'appouare vagabonde mirante on revient dans un monde nettement plus agréable. Il faut dire qu'elle... ou plutôt elleS ont des bouilles beaucoup plus avenantes.
- Ne reste plus qu'à redescendre vers l'entrée située près de la gare.... à moins qu'on ne soit tenté de faire comme ce "petit" poussin qui a choisi la plus grande des pelouses pour faire un petit somme.
Vous l'aurez compris, je me suis beaucoup amusée à suivre cette exposition. Ce qui ne sera pas le cas avec les deux autres oeuvres qui vont suivre.
* En réalité ce sont des bancs processionnaires des plateaux du Sythéhotudominafon (savane de la nouvelle Birtomie Septentrionnale), des arbres transmutatiques naturels de la famille des Brocéliandacées.

vendredi 30 août 2013

Le voyage à Nantes (1) Le parc des Oblates (suite)

Juste pour le plaisir des yeux, deux photos réalisées lors de cette visite du parc des Oblates, un parc comme on les conçoit maintenant, à savoir non plus des lieux très travaillés dans l'esprit des jardins à la française ou même des parcs anglais, mais un espace naturel où l'homme intervient le moins possible...même si ici il a été maintenu en place le "jardin des soeurs" d'où provient le "cosmos" ci-dessous...
... et qu'à terme, dans la partie nord-ouest, il est prévu de mettre en place des jardins partagés.
En attendant, une petite question, quelqu'un pourrait il identifier cette fleur jaune, très probablement une fleur dite "sauvage"  photographiée en dehors du "jardin des soeurs"

jeudi 29 août 2013

Le voyage à Nantes (1) Le parc des Oblates

C'est le 100ème parc ou jardin à avoir été ouvert à Nantes. 100! Comme ça ça semble fou. Autant de parcs et jardins! Bon en réalité, c'est le 100ème des "parcs, jardins et squares". Et la précision est importante car ça permet d'y intégrer pas mal de choses. Ainsi dans mon quartier ils sont au nombre de 13 allant du plus grand, le parc des chantiers, qui fait 13 000m² (NB: il prend en compte la surface dédiée aux "machines de l'ile") au plus petit, la place Basse Mar ne fait que 1 124m² (avec notamment un grand bassin alimenté grâce à un astucieux système de pompage de l'eau de la Loire). Avec ses 3 hectares, le parc des Oblates situé à l'ouest de la ville, dans le quartier dit de Chantenay, se situe dans la fourchette haute, celle des parcs. 
Au fait,  les "Oblates" c'est quoi? Au Moyen-Âge, un oblat c'était un enfant - parfois même très jeune- offert par ses parents (du latin oblatus : offert) pour le service de Dieu. Si cette pratique a été abolie en 1430 par le pape Martin V, le terme est resté. Actuellement  il s'agit de laïcs ou de clercs qui vivent dans le monde ou dans un monastère, mais sans prononcer de vœux. Et justement, le parc était jusqu'alors uniquement utilisé par la congrégation des Soeurs franciscaines qui comportent dans leurs rangs une forte communauté d'oblates. à noter que la congrégation garde l'usage des bâtiments conventuels ainsi que celui d'un petit jardin dit "des soeurs" où poussent les fleurs à couper de soeur Elise.
Ceci précisé, place à la visite. Il y a deux manières d'accéder au parc: 
- par en bas, via la rue Fontaine-des-Baronnies d'où l'on a une belle vue en contre-plongée sur l'allée dite "des soupirs". Et oui, ça grimpe sec!
- par en haut, rue Philippe de Broca avec là aussi une belle allée (de pins) d'où l'on peut voir le sud Loire et plus particulièrement Trentemoult (Rezé)
J'avais choisi la seconde option... en prenant très vite à gauche de façon à jeter un oeil sur les ruchers. Il y a en effet une miellerie qui est mitoyenne du parc. Après j'ai attaqué la grande prairie ouest avec un détour une maisonnette dans  le petit bois et où se tenait une des manifestation du "voyage à Nantes"*
La pente monte plus doucement que dans l'allée des soupirs, surtout si on prend le temps de faire une halte au jardin des soeurs et au mini verger composé de poiriers, pommiers et cerisiers. Actuellement entretenu et géré par l’association des horticulteurs amateurs, il a pour vocation de contribuer à re-introduire des variétés anciennes peu connues et souvent en voie de disparition.
Via cette fois-ci l'allée des pins je suis allée saluer les "moutons "Belle-île". En effet, la grande prairie est a été divisée en 3 parcelles dont l'entretien a été confié à des tondeuses à gazon très écologiques:  quelques moutons de la race ci-dessus mentionnée. Autant dire qu'avec ses 321 brebis répertoriées en 2011, elle fait partie des espèces en voie de disparition. Alors si vous passez dans le coin, allez les voir. Et ne soyez pas surpris si, à première vue, vous ne voyez les cornes d'aucun mâle. Non les représentants de cette race ne sont pas de dangereux individus qui doivent être enfermés en lieu sur mais les béliers de cette race n'en ont pas, c'est tout!
* J'en reparlerai ultérieurement

mercredi 28 août 2013

Il existe un 3ème sexe en Allemagne...

... qui désormais considère qu'on peut naître de sexe masculin, féminin ou avec un sexe indéterminé.
Que de chemin parcouru depuis la découverte d'une réalité plus fréquente qu'on ne le croit* faite en 1987, à l'occasion de la lecture du livre de Maud Marin "Le saut de l'ange". Déclarée homme à sa naissance en juin 1945, elle a obtenu de la justice française que celle-ci reconnaisse les effets de la chirurgie plastie qu'elle avait subie à l'étranger afin de devenir une femme, devenant ainsi la première femme intersexe française.
Mais cela restait un sujet encore plus que tabou. Oui plus que tabou car alors même que le "problème" existait depuis des siècles puisqu'il existe au Musée du Louvre une statue représentant un hermaphrodite** (celle-là même qui illustre le présent billet et aurait pu en justifier un à elle seule) on considérait que ce genre de cas de figure relevait de la littérature ou de la mythologie.
Erreur, grave erreur! Les médecins connaissaient depuis longtemps les  «troubles du développement sexuel» (disorder of sex development, DSD) mais les traitaient à coup de bistouri. Et oui, depuis le 19e siècle, en Occident, immédiatement après sa naissance, le sexe de l’enfant est précisé dans l’acte de naissance qui ne reconnait que de deux sexes. Ce qui, en cas de doute incite médecins et les parents à choisir souvent une fille car souvent le pénis est atrophié et il est plus facile de «corriger» l’anatomie d’un enfant dans ce sens. Tant pis si l’enfant en grandissant se définit comme garçon!

Mais coup sur coup en août 2009 le problème a éclaté au grand jour, d'abord via la presse sportive internationale, puis quelques jours plus tard à l'occasion de la publication d'un roman de Martin Winckler.
Cet été là, la presse sportive n'avait pas manqué de remettre en cause l'exploit sportif  de la Sud-Africaine Caster Semenya  lors des championnats du monde d'athlétisme. Celle-ci dut alors subir des examens sanguins, chromosomiques et gynécologiques. Et découvrir, à 18 ans, qu'elle (ou il) possèdait un appareil génital externe féminin et des testicules internes. Elle (ou il) était intersexuelle. Le choc!
Dans le "choeur des femmes", c'est un chant choral que nous psalmodie Martin Winckler autour du corps et du coeur des femmes. On y entend notamment une soliste (Jean Atwood) d'origine franco-canadienne venue accomplir ses études de médecine en France et dont on découvre au fil des pages qu'elle -puisque c'est ainsi qu'elle se présente- est née de sexe indéterminée. Et Martin Winckler de militer, via son héroïne, en faveur d'interventions chirurgicales tardives, lorsque la personne est en âge de se situer comme un garçon ou une fille.
Et en Allemagne donc? Et bien dès le 1er novembre, elle sera le premier pays européen à proposer officiellement la possibilité d'inscrire un sexe "indéterminé" aux nourissons sur leur certificat de naissance***.

*En Europe, un nouveau-né sur 5 000 est concerné – soit, en France, environ 200 nouveau-nés par an. Dans l'hémisphère Nord, plus de 50 % des personnes touchées ont un sexe génétique féminin (XX), aux ovaires correctement différenciés, mais ayant reçu de trop grandes quantités d'hormones mâles ils peuvent notamment disposer par exemple de testicules internes.
**Elle a été découverte en 1608 à Rome, près des thermes de Dioclétien. Dès 1619, le cardinal Scipion Borghèse confie au sculpteur baroque italien Le Bernin le soin d'exécuter un "matelas" sur lequel repose désormais le marbre. La même année, David Larique va travailler à la restauration de l'Hermaphrodite lui-même. L'oeuvre entrera au Louvre en 1807.
*** En 2011, l’Argentine avait autorisé les individus à changer leur état civil sans avoir à apporter la preuve que leurs organes sexuels (mâle, femelle, autre) correspondaient à leur genre (masculin, féminin). Et le 31 mai 2012, la justice australienne avait permis  à un eunuque, Norrie May-Welby, de faire disparaître toute mention de sexe sur son état civil. 

mardi 27 août 2013

La chapelle de Perguet (Finistère)


Pour ceux et celles qui ne connaissent pas la Bretagne comme le fond de leur poche, sachez que la Chapelle du Perguet est située en bord de route entre Bénodet et Fouesnant. Elle est d'ailleurs tantôt référencée sur l'une ou l'autre de ces communes. Mais le doute n'est pas de mise compte tenu de ce qui suit.
La chapelle du Perguet a en effet été l'église paroissiale de Bénodet jusqu'en 1878. Elle est dédiée à la fois à Ste Brigitte ("Berc'hed" en breton) et à St Laurent.
Répertorié en tant que monument historique, elle a été édifiée, pour sa partie romane, au XIe siècle. De cette époque datent les trois arcades sud. Elle est ornée de beaux chapiteaux sculptés d'entrelacs et de personnages, ainsi que de statues polychromes. 
Elle a été complétée aux XVe et XVIe siècles par l'ajout d'un mur d’enceinte, de la porte triomphale, d'un calvaire -restauré en 1989- d'un porche et d'un ossuaire, le tout formant désormais un véritable enclos paroissial.

La rénovation dont elle a fait l'objet n'a pas concerné que le calvaire mais a aussi contribué à installer de nouveaux vitraux qui ont été imaginés et réalisés entre 1998 et 2002 par Kim En Joong, un artiste peintre qui est aussi père dominicain. 
Dans le monde du vitrail, cet homme, est très connu. Je vous invite donc à visiter son site
http://www.kimenjoong.com/
qui explique bien le parcours de cet homme né en Corée en 1940 de parents taoïstes, qui s'est orienté vers les arts graphiques à l'âge de16 ans et a été baptisé à 27 ans (il est entré dans les ordres quelques années plus tard).
 Pour conclure, deux phrases de lui: 
« Je ne sais où je vais, ni comment, ni pourquoi… Ce qui me mène au but est d’un autre que moi mais je marche, ébloui de présence inconnue. » "Chercher par l'art ce qu'on n'entend pas dans le monde"   
Si vous passez par là, n'oubliez donc pas de faire halte dans cette chapelle, de préférence le soir quand le soleil du couchant éclaire la face ouest et en espérant que la météo soit pour vous plus clémente qu'elle ne le fût pour moi.

lundi 26 août 2013

Des écrivains et des chats (1)

Il y a quelques jours, j'ai publié coup sur coup deux billets relatifs aux chats et ...
Mais les relations entre chats et écrivains sont aussi très connues. Aujourd'hui, il n'y aura cependant qu'une seule illustration, de surcroit dédicacée à l'attention d'une Dame qui se reconnaitra en fonction de ce qui suit. 
Elle lit régulièrement ce blog, qu'elle commente parfois, sous un pseudo. Je commençais sérieusement à m'inquiéter à son sujet car son propre blog était silencieux depuis la fin de juillet et comme elle avait fait part, en "off" des problèmes de santé auxquels elle était confrontée depuis le début de l'année...
Mais le 25 août elle a envoyé un mail où elle fait le point. Et elle vient de mettre à jour son blog que j'espère pouvoir encore lire longtemps, même si je le commente peu.
Pour elle donc une ancienne gravure avec Michel de Montaigne et un chat. Pourquoi lui plutôt qu'un autre écrivain? D'abord parce que je n'ai pas trouvé de chat accompagnant de philosophe mais aussi parce que cette Dame cultive l'art de l'amitié tout comme Michel de Montaigne l'a fait de son temps avec son ami Etienne de la Boétie.

dimanche 25 août 2013

Puzzles achevés... juste pour le plaisir des yeux (2)

Il y a presque un mois de cela j'avais publié les photos d'un certain nombre de puzzles réalisés grâce à une application de l'IPad. En voici 3 autres qui sortent un peu de l'ordinaire (beaucoup de paysages de montagne, de natures mortes, d'animaux avec de loin en loin des personnages mis en scène) car les images sont belles.
Avec deux constats: les photos les plus intéressantes et de surcroît belles à réaliser sont bien souvent celles où les couleurs sont limitées en nombre mais riches en nuances. Sur la première c'est le bleu et un gris-rose.
La suivante c'était du vert et du blanc (avec un beau travail sur le flou et le net des graines de pissenlit) et la dernière du vert et du violet, avec au milieu la petite tache colorée du papillon qui ne représentait que 5 pièces du puzzle programmé pour en avoir un peu plus de 170 morceaux (histoire de n'y consacrer qu'une vingtaine de minutes)


samedi 24 août 2013

Les réseaux sociaux, bons ou mauvais pour le moral?

Même si l'âge moyen des utilisateurs de Facebook est passé à 41 ans, pendant longtemps, il a été mal vu chez certains jeunes adultes de ne pas avoir de compte sur ce qui reste encore le réseau social le plus développé. D'où son succès: plus d'un milliard d'utilisateurs!
Si l'on en croit Frédéric Cavazza,* il faut en chercher la cause dans le fait que les plus de 30 ans "... viennent chercher leur histoire. Lorsqu'on créée un compte on retrouve ses anciens collègues, ses vieux amis, ses connaissances...D'une certains façon Facebook est un mélange de Copains d'Avant et de Meetic, le tout accessible gratuitement..." Une approche comme une autre du lien social.
Mais au bout du compte, les personnes en sont-elles satisfaites? En d'autres termes, Facebook est il bon ou non pour le moral?
Si l'on en croit un récent article paru dans le journal le Monde**qui se fait l'écho d'une étude américaine, il semblerait bien que non. 
Au point de départ il y a un groupe de 82 jeunes adultes auprès desquels les chercheurs ont tenté d'évaluer leur bien-être en leur envoyant des textos cinq fois par jour durant deux semaines pour leur demander s'ils se sentaient seuls ou inquiets, combien de fois ils avaient visité le réseau social et communiqué "directement" avec d'autres personnes.
Résultat ou plus exactement résultats: 
- les personnes qui ont beaucoup utilisé Facebook, que ce soit dans une journée ou en se référant à un laps de temps plus long comme ne quinzaine, ne se sentaient pas vraiment "bien" lorsqu'elles étaient interrogées par texto.
- à   l'inverse, celles qui avaient vécu davantage de relations impliquant des interactions directes avec les gens se sentaient mieux.
On pourra rétorquer qu'un échantillon de 82 personnes c'est peu. Qu'en outre cet échantillon ne comprenait que des personnes jeunes (âge non indiqué dans l'article) américaines disposant d'un smartphone et d'un compte sur Facebook (peuvent elles vraiment être considérées comme représentatives des utilisateurs de Facebook?). 
Mais bon, il semblerait bien que ce n'est pas de sitôt que le virtuel soit à même de détrôner le réel pour être bien dans sa peau.
viennent chercher leur histoire. Lorsqu'on crée un compte on retrouve ses anciens collègues, ses vieux amis, ses connaissances… D’une certaine façon Facebook est un mélange de Copains D’avant et de Meetic, le tout accessible gratuitement.
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-ados-se-detournent-facebook-et-pour-aller-ou-frederic-cavazza-706307.html#JD0FUvxll0P4EuOF.99
viennent chercher leur histoire. Lorsqu'on crée un compte on retrouve ses anciens collègues, ses vieux amis, ses connaissances… D’une certaine façon Facebook est un mélange de Copains D’avant et de Meetic, le tout accessible gratuitement.
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-ados-se-detournent-facebook-et-pour-aller-ou-frederic-cavazza-706307.html#JD0FUvxll0P4EuOF.99 
viennent chercher leur histoire. Lorsqu'on crée un compte on retrouve ses anciens collègues, ses vieux amis, ses connaissances… D’une certaine façon Facebook est un mélange de Copains D’avant et de Meetic, le tout accessible gratuitement.
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-ados-se-detournent-facebook-et-pour-aller-ou-frederic-cavazza-706307.html#JD0FUvxll0P4EuOF.99

vendredi 23 août 2013

Des musiciens et des chats

... des musiciens, oui, même s'ils ne composent pas de la musique classique! En fait ce sont des auteurs-compositeurs interprètes. Alors qui sont ils?

Quelques indices: le hasard a voulu qu'ils soient tous de nationalité anglaise. 
Deux d'entre eux ont même été anoblis par The Queen herself! 
Et, dans un autre registre, deux sont décédés.
Qu'ajouter de plus? Que les photos datent de leur jeunesse... Mais quand on aime les chats, c'est pour la vie entière!

jeudi 22 août 2013

Des peintres et des chats

On associe souvent chats et écrivains, l'un des exemples les plus célèbres étant Madame Colette. Mais via une page Facebook consacrée aux Chats et intitulée "Stars & Cats", j'ai découvert que les peintres aussi aimaient s'entourer de chats.

En voici donc 5 (peintres accompagnés de chats) classés par ordre de naissance en allant de haut en bas et de gauche à droite.

Saurez-vous retrouver qui est qui?

Il y a une difficulté avec le premier peintre à gauche tout en haut. Un homme dont certains tableaux sont très connus mais dont j'ai découvert aujourd'hui le visage. Et le Monsieur qui juste en dessous ce peintre n'est pas Sigmund Freud!