Affichage des articles dont le libellé est chanson. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est chanson. Afficher tous les articles

samedi 26 octobre 2024

"Monsieur Aznavour"

Film vu le 26/10/24. 
Réaction à chaud: Un "biopic", une bonne manière d'en savoir plus sur cet auteur-compositeur-interprète que j'ai un peu zappé dans ma jeunesse (et même plus tard) au profit de chanteurs peu ou prou de la même génération et ayant le même profil (auteur compositeur interprète) comme Brel (né en 29) ou Brassens (né en 21). Et pourtant il avait un sacré répertoire.

Un peu plus de 4 mois plus tard: quelles images en reste t il?
Lui quittant la messe d'enterrement de son fils (celui qu'il avait reconnu tard, parce qu'il avait eu connaissance de son existence tard) pour aller sur scène, a priori insensible devant le reste de la famille, alors qu'il est bouleversé. Et dans la même veine, celui de l'homme pour qui le travail de chanteur prime sur tout, cette scène où, encore débutant, revenant à la maison après une série de concerts il semble à des années lumière de sa femme qui s'occupe de l'ainé de ses enfants. Et cet autre, beaucoup plus tard, où via une série de poses, a priori destinée à un magazine (Paris Match?) il affiche sa réussite. 
Du coup je me rappelle que le film*, pas toujours tendre, a été pensé de son vivant et réalisé avec sa bénédiction puis celle de sa famille. Alors même, qu'au final, le portrait de l'homme n'est pas toujours flatteur puisqu'on y voit un bosseur** pour qui la famille compte certes, mais dont on peut se demander si son art ne primait pas sur tout. 
A noter la performance de l'acteur qui a su retrouver sa gestuelle. Idem la façon dont le réalisateur fait coller certaines de ses chansons phares avec son histoire 
* noté en mars 2025: 3,2 par la presse et 4,2 par les spectateurs
** j'ai été impressionné par la multitude de petits carnets, soigneusement rangés, dans lequel il notait ses créations

jeudi 2 avril 2020

Musiques du temps du confinement -8- "Old Friends"


Difficile, très difficile était la mission de choisir, au sein du répertoire interprété par ce duo, celle que j'allais mettre en avant,tant il y en a beaucoup que j'aime. Il y avait "bridge over trouble water", "Mrs Robinsons", "Cecilia"... Mais c'est celle-ci que j'ai finalement retenue, et qui plus est non pas dans sa version retrouvailles lors du concert public à Central Park en 1981, mais l'une des 1ères interprétations, comme si tous les 2 répétaient dans une chambre d'étudiants.
Une sorte de paradoxe car il aura fallu des années avant que ce duo connaissent une renommée mondiale en 1966 car mis à part un succès d'estime en 1957 (ils enregistrent alors sous le nom de "Tom & Jerry") il faut attendre, chacun menant de front études et carrière solo (surtout pour Paul Simon)... avant de se séparer en 1970,après 4 années parsemées de fâcheries diverses.... et ne plus se retrouver que de très loin en très loin avant ce fameux concert de 1981 qui a rassemblé plus de 500 000 personnes. Un paradoxe? Quoique...Quoique... car je viens de découvrir qu'en 2003,suite à une tournée aux Etats-Unis et en Europe, ils avaient sorti un double CD-DVD intitulé "Old Friends: Live on Stage"
Non, bel &bien un paradoxe que ce choix car si ils ont rechanté ensemble dans les années 2009/2010, une chose est certaine, même si Art Garfunkel semble avoir résolu ses soucis de cordes vocales apparus en 2010, les 2 hommes qui sont nés tous 2 en 1941, ne rechanteront jamais ensemble.
Old Friends mais au final plus côté âge que réelle amitié vu les fréquentes périodes où les tensions entre eux étaient bel et bien réelles.

lundi 30 mars 2020

Musiques du temps du confinement -5- "éducation sentimentale"


Plein de souvenirs d'adolescence avec ce disque là...et cette chanson là
Il y a d'abord cette chanson là découverte par une jeune fille lors de ce qui fût ma dernière colonie de vacances. Une très belle voix.
Et puis ça correspondait pleinement à ce que je vivais puisque c'est elle qui, alors que j'étais contente de revoir Eric, mon premier amour rencontré 2 ans auparavant lors d'une autre colonie, m'avait douchée en m'annonçant que
- fréquentant le même collège que lui, elle était "sortie" avec lui
- et que de toute manière c'était un coeur d'artichaut: une petite amie différente chaque année scolaire et une autre durant chaque été!
Dur, dur pour moi qui, en me fiant à ce que vivaient mes grandes soeurs beaucoup plus âgées, croyais que le 1er amour dure toujours.
Et quelques mois après cette colonie, il y a eu Guy-René, ce jeune homme qui fréquentait la même classe de seconde que moi. On échangeait en douce des poèmes, d'abord trouvés dans les livres puis les nôtres. Il m'a fait écouter ce disque -et bien d'autres- chez lui, sans jamais alors oser franchir le pas... car  nos parents "surveillaient". Et puis nos études respectives nous ont séparé: j'étais une littéraire et lui un scientifique, avant qu'on se retrouve en faculté. Nous avons alors enfin franchi le pas...  avant que je le quitte quelques mois plus tard car je ne supportais pas qu'il n'assume pas notre relation: lorsque nous croisions dans les rues ses amis de fac, je ne devais être qu'une simple copine du temps du lycée. Bien des années plus tard, alors que j'étais jeune mariée, je l'ai recroisé dans les rues de ma ville. On s'est reconnu mais aucun de nous n'a fait le moindre geste pour renouer, ne serait ce que le temps de boire un café ensemble.

dimanche 7 juillet 2019

Le père de la Bossa Nova est parti jouer de la musique bien loin du Brésil


ça restera sans doute la chanson la plus connue de João Gilberto... et c'est vrai qu'il est difficile, en matière de BossaNova, de faire mieux que dans sa version avec Stan Getz
https://youtu.be/j8VPmtyLqSY

Mais il y a eu aussi cette chanson là, beaucoup plus mélancolique, un peu à l'image de la fin de sa vie et de certains hommages, parfois dits du bout des lèvres, de certains jazzmens actuels qui oublient un peu vite l'apport qu'il a eu 

https://youtu.be/So718wk426c
Alors j'ai très envie d'en donner les paroles, moi qui ne parle pas un mot de portugais
ó privilegiados têm ouvido igual ao seu
Seuls les privilégiés ont une oreille comme la tienne
Eu possuo apenas o que Deus me deu
Je possède seulement ce que Dieu m'a donné
Se você insiste em classificar
Si tu insistes pour classifier
Meu comportamento de anti-musical
Mon comportement comme antimusical
Eu mesmo mentindo devo argumentar
Moi-même dois mentir en soutenant
Que isto é bossa-nova, isto é muito natural
Que cela est la bossa-nova, ce qui est très naturel
O que você não sabe nem sequer pressente
Que tu ne sais pas, ni même ne pressens
É que os desafinados também têm um coração
Que ceux qui jouent faux ont tout de même un cœur
Fotografei você na minha Roleiflex
J'ai pris une photo de toi avec ma Rolleiflex
Revelou-se a sua enorme ingratidão
Qui a révélé ton énorme ingratitude
Só não poderá falar assim do meu amor
Tu ne peux parler ainsi de mon amour
Este é o maior que você pode encontrar, viu ?
C'est le plus grand que tu puisses rencontrer , vois-tu ?
Você com sua música esqueceu o principal
Toi avec ta musique tu as oublié le principal
Que no peito dos desafinados
Que dans la poitrine de ceux qui jouent faux
No fundo do peito bate calado
Au fond de leur poitrine bat silencieusement
Que no peito dos desafinados,
Au fond de la poitrine de ceux qui chantent faux
Também bate um coração
Bat quand même un cœur

mercredi 10 avril 2019

Retour d'exposition: "Doisneau & la musique" à la Cité de la Musique



Doisneau et la musique, j'en étais restée à ses photos avec Maurice Bacquet. Et j'avais tort!
On peut en voir un certain nombre de ces photos, avec notamment quasi une salle entière réservée à cette collaboration qui a duré des années, les 2 compères ayant pas mal bourlingué, en France comme aux USA pour réaliser certains clichés. Au point qu'il n'est pas évident d'en sélectionner pour illustrer leur travail en commun! Une moins connue peut-être?
Mais j'ai découvert d'autres aspects du travail de Doisneau. Par exemple, ses clichés plus anciens, juste après la seconde guerre mondiale, de ceux qui le rattachent à 100% au courant de la "photographie humaniste", lorsqu'il arpentait aussi bien les quartiers populaires (n'hésitant pas à suivre plusieurs jours d'affilée un duo composé d'une chanteuse assez bien en chair qu'accompagnait à l'accordéon une jeune et mince jeune femme vers laquelle tous les regards se tournaient) que les personnalités montantes à la demande de la revue Vogue.
Et puis j'ai oublié l'amitié qui a uni Doisneau et Prévert...  Prévert le poète, dont certains textes ont été mis en musique. Ce qui permet de visualiser un certain nombre de photos sur la thématique: "un parolier &un compositeur de musique à la recherche du succès" ... qui se fait attendre et est illustrée par des photos d'interprètes très connus. Par exemple Bourvil ou Montand (mais aussi d'autres) tous très naturels sur la photo car, par la magie du Rolleiflex qui se porte à hauteur de nombril et tandis que le photographe ne les regardent, ils ne pensent pas poser.
Et surtout, j'ai découvert que Doisneau a aussi immortalisé la jeune génération qui avait l'âge d'être ses enfants comme ... par ordre alphabétique: Higelin, Renaud, les Rita Mitsouko...dont il aréalisé les pochettes de disques

samedi 25 juillet 2015

Histoires d'oiseaux

Extrait tiré de "La fille de la femme araignée" de Anne Hillerman
Il faut imaginer le lieutenant Leaphorn, mortellement blessé, sur un lit d'hôpital avec à ses côtés, un ancien collègue, Jim Chee qui a longtemps hésité à rester dans la police car il souhaitait suivre les pas de son oncle et devenir un hataalii* et sa femme, Bernie Manuelito, elle aussi policière.
"Chee commença à psalmodier, d'abord tout bas. le Chant de l'oiseau bleu, celui qui, traditionnellement accueille le lever du jour, celui que les mères enseignent à leurs très jeunes enfants. Bernie chanta également, surprise que sa voix s'associe à ce chant. Ni l'un ni l'autre ne se préoccupaient qu'on puisse les entendre"
à défaut d'avoir trouvé ce chant sur le net...

* Hataalii, ni medecine-ma, ni shaman, il est le dépositaire de procédures destinées à libérer un malade au moyen de prières, chants associées à des peinture de sable. Cette libération est plus que symbolique que médicale car elle vise à aider le malade à retrouver une sérénité morale, seule à même de lui permettre de retrouver le horzo (harmonie avec l'univers)

samedi 18 juillet 2015

Tous pareils au final

Ce dessin, quand je l'ai vu sur le Net, il m'a tout de suite plu, notamment parce qu'il me rappelait cette phrase tirée d'une chanson de Claude Nougaro:
"Au delà de nos oripeaux, Noir et Blanc sont ressemblants comme deux gouttes d'eau"
La chanson c'est  "Armstrong" http://dai.ly/x4cdek
Sortie en 1968, c'est une adaptation de "Go Down Moses", un gospel inspiré comme il se doit de la Bible. Un titre qui figure sur l'album de Louis Armstrong, "The Good Book"
Point d'ode à Dieu chez Nougaro mais un hommage à Louis Armstrong et avant de lancer une pique finale aux racistes en tout genre
"...Armstrong, un jour, tôt ou tard, on n'est que des os...
Est ce que les tiens seront noirs ? Ce serait rigolo
Allez Louis, alléluia !
Au delà de nos oripeaux, 
Noir et Blanc sont ressemblants comme deux gouttes d'eau"

vendredi 10 juillet 2015

Omar Sharif a rejoint le Docteur Jivago

Sa carrière a vraiment commencé alors qu'il avait 30 ans et a interprété en 1962 l'un des personnages de Lawrence d'Arabie. Autre moment mémorable, "le docteur Jivago" dont, bien que ne l'ayant vu qu'une fois, il y a bien des années de cela, je garde en mémoire les quelques plans où Youri Jivago, le héros qu'il interprète, meurt. Rappelez vous: "Lors d'un trajet dans le tramway, il aperçoit une femme dans la rue qui ressemble fortement à Lara. Il sort du tramway pour l'interpeller, mais ne parvient pas à crier assez fort ; il meurt d'une crise cardiaque en pleine rue."
Alors oui, forcément, même si c'est Julie Christie qui apparaît sur le photo, je ne pouvais pas faire autrement que passer LA chanson du film 
Un film que je ne suis pas sure d'avoir envie de revoir vu les derniers commentaires (plutôt ironiques, le danger quand on revoit des films qui ont eu beaucoup de succès 40 ou 50 ans auparavant) que j'ai pu lire le concernant. 


De même j'oublierai le joueur flambeur qui avait demandé à se faire interdire de casino ou, pire, le présentateur du générique du journal des courses ("le cheval, c'est mon dada!")
Par contre j'ai une petite tendresse pour le petit rôle d'espion égyptien qu'il interprétait avec beaucoup d'humour en 1976 dans le film "Quand la Panthère rose s'emmêle"Et puis un regret, n'avoir jamais vu "Monsieur Ibrahim et les fleurs du coran"

lundi 9 février 2015

"La Famille Bélier" de Eric Lartigau

La bande annonce m'avait bien fait rire avec notamment la scène, pas forcément toute en finesse, où la jeune fille sert de traducteur à ses parents sourds-muets chez le médecin qui ne pratique pas lui la langue des signes. Alors j'avais eu envie de voir la totalité du film, d'autant qu'il y avait à l'affiche Karin Viard dont j'ai souvent apprécié les prestations*.
Bilan: un film sympa sur une idée dont j'apprendrai ensuite qu'elle a déjà été utilisée au cinéma, à savoir la difficulté pour un enfant entendant né dans une famille de sourds-muets de se lancer dans une carrière musicale. 
Quelques points faibles: comme cette petite tendance un peu trop larmoyante de certaines séquences, avoir confié 2 rôles de sourds à des entendants, le "Happy End" du générique final avec toute une série de photos prises à Paris et qui laissent sous-entendre que tout va aller très bien lorsque Laura sera partie et que plein de couples se sont formés pour la vie (NB: Laura et son frère sont adolescents)
Quelques trucs qui ne collent pas: comme ce professeur de musique très atypique qui s'exprime et se comporte d'une manière** qui lui causerait très probablement de sérieux soucis dans l'éducation nationale, sa découverte très tardive du handicap des parents de Laura, ou son choix d'une chanson très sensuelle, très adulte ("Je vais t'aimer" de Sardou) pour de jeunes adolescents 
Quelques bonnes voire très bonnes idées: avoir trouvé quelques chansons de Michel Sardou pour coller à l'histoire***, avoir préféré situer l'action dans un département rural (la Mayenne) plutôt que dans une grande ville, montrer un couple d'agriculteurs cultivés, très amoureux l'un de l'autre et dont la femme est sexy, montrer l'interprétation du duo lors du concert de fin d'année du côté des parents qui voient, mais n'entendent rien, et ne comprennent pas les réactions des gens.

* Par exemple dans "Hauts les coeurs!", " La tête de Maman" et "Lulu femme nue"
** Exemple quand il montre à Laura comment se placer pour chanter en posant ses mains sur elle, le genre de chose que peut faire un professeur de chant exerçant dans une école de musique ou à titre libéral, mais pas celui qui enseigne à des collégiens ou lycéens
*** coup de coeur pour l'interprétation de "Je vole" où lors de l'audition afin d'intégrer les choeurs de Radio-France, la jeune fille chante tout en traduisant en même temps pour ses parents installés tout au fond de la salle

dimanche 8 février 2015

"Il faut que je m'en aille..." de Graeme Allwright


Cette chanson, c'est la toute dernière de celle dont nous a gratifié hier soir ce grand et mince Monsieur de 88 ans* à l'issue d'un long rappel qui ne comportait pas moins de 7 titres avec: "Suzanne", "Petites boites", "Jusqu'à la ceinture..." "Petit garçon", "Sacré bouteille" et donc "Il faut que je m'en aille"
Pour pas si longtemps que cela d'ailleurs car il revient en mars, dans une plus petite salle d'une autre commune du département, toujours en lien avec une association locale, celle d'Ingénieurs Sans Frontières** et Baoback.association***. Mais entre-temps il aura donné d'autres concerts et il en donnera d'autres aussi ensuite, aussi bien en France (départements 57, 69...) qu'en Suisse.
Un sacré bonhomme donc qui aura beaucoup contribué à faire connaître les autres car " il écrit assez peu, préférant « se glisser dans les mots d'un autre » quand il ressent que le message est commun, qu'il est inutile de chercher d'autres mots pour le faire passer, mais son œuvre est cependant d'une force singulière par la force de transmission d'une pensée nourrie de mystique, de voyages, de luttes et de rencontres" Parmi ces rencontres de musiciens de Madagascar dont est originaire le contrebassiste qui l'accompagne et l'assiste beaucoup, il faut dire que, pour Graeme l'âge est là (dans la posture, la manière de se déplacer, mais pas de chanter) et qu'il n'est évident de tenir durant un concert qui aura duré près de 2h30 sans la moindre interruption. Alors bravo Monsieur!
* Un grand et mince Monsieur... non un Monsieur qui a gardé une silhouette de grand et mince "jeune" homme plus militant encore que certains ne le seront jamais

jeudi 25 septembre 2014

10 chansons... et beaucoup d'oublis (2)

Et qu'en est il pour les titres en langue anglaise?
En gardant comme cela a été jusqu'ici le cas, le classement par ordre alphabétique il y avait:
Aaron avec "Little Love", les Beatles avec "Yesterday", Ennya avec "The memory of the trees" et Simon & Garfunkel pour "Bridge over trouble water" 
Les 3 premiers titres ayant déjà été mentionnés ici (à des dates dont je ne me rappelle plus) de manière certaine, c'est le titre du dernier groupe qui illustrera le présent billet. En plus il contient une très belle image sur l'amitié, découverte il y a 40 ans de cela.

mercredi 24 septembre 2014

10 chansons... et beaucoup d'oublis (1)

Sur FaceBook, la règle du jeu était simple, quand quelqu'un vous avait désigné(e) il fallait écrire sur son mur le nom de 10 chansons qui vous avait marqué, à une époque ou à une autre, et en priant 10 amis de faire de même. Oui je sais, une sorte de chaîne comme il en circule tant et auxquelles en général je ne participe pas. Mais cette fois-ci l'exercice me semblait intéressant. Sauf que...
1ère constat (et difficulté en ce qui me concernait): les personnes participantes, bien que francophones,  mentionnaient principalement des chansons en anglais, ce qui en soit est assez révélateur. Or ma "discothèque" contient principalement de la chanson française! Du coup j'ai opté pour la formule: 6 en "français" et 4 en "anglais"
Seconde difficulté: lesdites chansons seraient elles sur youtube? La réponse a été "Ouiiii" Parfois même en plusieurs versions de plus ou moins bonne qualité, selon que celui ou celle qui l'avait déposé avait repris les archives parfois en mauvais état d'une émission télévision ou créé un montage vidéo avec le son d'un CD récent.
Ceci précisé, quid de mes choix pour la langue française? Sachant qu'ont déjà été mentionnés sur ce blog: Barbara: pour "Pierre"*, Georges Brassens pour "Dans l'eau de la Claire fontaine" (le 27 mai 2012) , Jacques Brel pour "Les marquises"*, Jean Ferrat pour "Je vous aime"* et Maxime Leforestier pour : "la rouille"*, il ne restait de partageable ici même qu'une chanson d'une personne déjà citée ici, Anne Sylvestre, avec "Sorcières"* et "Que vous êtes beaux"*. Et cette fois ci j'ai opté pour un autre thème, qui sous une forme ou une autre revient à plusieurs reprises dans son répertoire et pourrait aussi s'appliquer à ce blog: "Ecrire pour ne pas mourir"

* date non retrouvée à ce jour