lundi 2 novembre 2015

Retour sur images (3) ...le château des ducs de Bretagne (vu de l'extérieur)




Retour en centre ville avec quelques images du château, tel qu'on peut le voir lorsqu'on passe à pied ou en tramway le long de la rive sud des douves. Il y a les très connues et très ouvragées fenêtres du corps du bâtiment principal... mais aussi sur les tours qui permettent de relier entre eux d'autres bâtiments. A noter que les cheminées, à la délicate décoration en brique, valent aussi la peine qu'on laisse le regard s'y attarder un peu.

dimanche 1 novembre 2015

Retour sur images (2) ... La butte Ste Anne (la suite)

En ce dimanche, pas de référence aux rituels du 1er novembre, j'ai récemment trop fréquenté les cimetières... mais un nouveau retour sur quelques images réalisées à la butte Ste Anne avec, dans la mesure du possible, quelques bribes d'informations autour de ces photos
Au début de la balade (lorsqu'on part des quais vers les hauteurs de la butte) on croise à mi hauteur un groupe de deux statues avec un petit garçon en tenue de marin qui, assis devant lui regarde une homme barbu qui porte lui une vareuse de marin (à moins que ça ne soit une blouse russe) qui fait le point avec un sextant. L'enfant, c'est Jules Verne et il imagine celui qui deviendra l'un de ses héros les plus fameux: le capitaine Némo
Un peu plus haut, lorsqu'on suit l'axe principal, arrive sur la droite une rue grâce à laquelle on accède au planétarium. Présentement ce n'est pas lui qui intéresse mais un ensemble de deux fresques qui renvoie à un épisode assez peu connu de l'histoire de Nantes et des Etats-Unis. En effet à la fin du XVIII le quartier de Chantenay a accueilli quelques milliers d'Acadiens, auparavant installés sur les rives du St Laurent, d'où les avaient chassés les Anglais.
Plus ici: http://www.patrimoine.paysdelaloire.fr/patrimoine/detail-notices/IM44008698/
Et pour finir, il y a ce groupe de statues de Paul Auban qui a représenté un jeune homme (nu) au dessus duquel se penche une femme en colère laquelle tend le poing vers la Loire. De fait, l'oeuvre, renvoie aux nombreuses morts liées au grand fleuve, que ce soit par naufrage, enlisement dans les sables mouvants ou noyade (volontaire ou non). Lors d'un précédent billet, il avait été signalé que ce groupe, dans son agencement, a une quasi copie érigée elle sur un monument aux morts. Et cette fois-ci, une mère rageuse se tient au dessus du corps sans vie d'un jeune soldat.