samedi 30 avril 2016

Photos signées...

à l'intérieur de la cathédrale de Carcassonne ... pardon, de l'église Saint-Nazaire au coeur de la vieille cité
Et merci à celui qui m'a offert le Panasonic FZ200 sans lequel cette photo, réalisée sans flash, n'aurait jamais été possible

vendredi 29 avril 2016

"Bride Stories" T7 de Kaoru Mori


Cette fois-ci l'un des héros du manga, Henry Smith, est arrivé en Iran où il ne croisera que brièvement celle qui est la véritable héroïne de ce volume... et encore  sans jamais la voir car elle vit dans la quartier des femmes et lorsqu'elle se rend au hammam elle est toujours voilée.
Elle, c'est la toute menue Anis dont le mari est très amoureux au point de ne pas souhaiter prendre une autre femme (il a amplement les moyens dans ce pays musulman d'entretenir plusieurs épouses)... tout en lui demandant de rester dans ses quartiers quand il reçoit des invités, dont l'un est de surcroît étranger. 
Mais voilà, Anis s'ennuie, les journées sont longues pour cette toute jeune femme dont le bébé a été confié à une nourrice. Éparpiller des pétales de roses dans l'eau des bassins, nourrir les oiseaux ou jouer avec le chat (persan bien sur) ça n'occupe qu'une brève partie de la journée. Alors sur les conseils de l'une de ses servantes , elle va se mettre à fréquenter le hammam afin d'y rencontrer d'autres femmes. Et c'est là qu'elle va faire la connaissance de la voluptueuse Shirin, mère aussi d'un jeune enfant et épouse d'un petit artisan qui va décéder quelques temps après la rencontre des deux femmes.
J'aime beaucoup le dessin de Kaoru Mori, mais là je dois avouer qu'il y a un peu trop d'eau de rose dans ce 7ème volume qui met en avant une pratique, celle des soeurs conjointes, qui a existé en Iran entre le 16 et le 19ème siècle. Oui, des femmes se mariaient entre elles! Et partaient même en voyage de noce ensemble. Sauf que là l'action se situe juste avant la guerre de 14/18 et il est hautement improbable qu'un mari, aussi libéral et amoureux soit il, ait accepté une telle chose. 
Allez, je me suis "consolée" avec de jolies scènes de hammam qui voyait la confrontation de ces deux femmes aux silhouettes très différentes. Pour le reste, c'est un peu comme la pâtisserie ou de la confiserie du moyen-orient , ça devient quand même un peu indigeste à la longue.  

jeudi 28 avril 2016

La maison de la Psalette

Balade express à Nantes dans un petit jardin tout près de la cathédrale, le jardin de la Psalette, qui tire son nom d'un hôtel particulier du même nom. Et en faisant quelques recherches sur le net, 
j'ai découvert l'origine de son nom qui n'a rien à voir avec un quelconque noble répondant au nom de "Psalette". En fait " La psallette désigne à l'origine l'école de chant attachée à la cathédrale. Elle a été fondée en 1413 par l'évêque Henri le barbu. Le mot psallette vient du latin psallere qui signifie étymologiquement « chanter les psaumes » et, au sens plus large, chanter les offices religieux."  
Le bâtiment étant quasi mitoyen avec la cathédrale, il faut d'ailleurs en longer un des murs pour accéder à la crypte de cette dernière. Tout s'explique.
A noter, qu'il y a quelques années de cela, j'ai découvert par hasard, en tendant l'oreille, que les choeurs de la cathédrale répétaient toujours au sein de salles réparties autour d'un joli cloitre attenant à cet hôtel de la fin du 15ème siècle dont deux détails (une porte et une fenêtre) illustrent le présent billet.
Un petit jardin que je ne peux donc qu'inviter à aller visiter en sortant de la cathédrale afin d'y admirer cette jolie maison riches en détails architecturaux de toute beauté.

mercredi 27 avril 2016

Moins de mots, plus de photos

Un billet dédié à Curtis et M.

Quand j'ai ouvert ce blog, c'était en partie lié au fait que j'avais commencé à beaucoup surfer sur le Net à cause d'un certain "Curtis*", un internaute qui y est présent depuis une quinzaine d'années et qui publie, entre autres choses, de superbes photos.
Le hasard a voulu que ce soit grâce à Curtis que j'ai rencontré celui qui est devenu mon compagnon, lequel est aussi passionné de photos. C'est lui qui m'a offert mon actuel appareil photo, qui m'incite à oser l'utiliser autrement qu'en mode automatique, qui m'a accompagnée pas à pas dans l'apprentissage du post-traitement des images et notamment appris comment signer celles-ci.
Voici la toute première d'entre elles, une sorte de fausse gargouille dans un angle de mur de la vieille ville de Carcassonne.
 * Curtis est un alias, son prénom officiel ne lui plaisant guère

mardi 26 avril 2016

Continuer?

La dernière publication de ce blog date d'il y a quasi 6 mois. Pendant un temps j'ai espéré rattraper mon retard. Mais plus le temps passait, plus l'envie d'écrire, en illustrant de photos personnelles ou tirée du Net faiblissait. D'une certaine manière, il est devenu une corvée. Je n'en espère plus grand chose. Notamment en matière "d'échanges". D'ailleurs la plupart des blogeurs et blogeuses connus par son intermédiaire ont eux même jeté l'éponge.
En fait, il n'y a plus grand chose de commun entre la "@nn@" des débuts, en mai 2008, celle qui écrivait, alors que tant de choses autour d'elle se mourraient (dont sa propre mère dont l'un des regrets était de ne pas avoir pu écrire) et l'actuelle, plus axée sur l'image et qui est assez bavarde sur le Net, via...Facebook grâce auquel elle a pu échanger par le biais des MP (messages personnels) voire rencontrer certains "amis".
Alors cette nuit, lors de l'une de ces insomnies qui reviennent régulièrement depuis les mois qui ont précédé la dernière maladie et la mort de mon père, en octobre dernier, il m'est apparu qu'il était temps, plus que temps que ce blog ferme ou évolue, via probablement un changement de nom et de contenu... Plus de photos et moins, beaucoup moins de texte.
Je ne ferai rien pour rattraper le temps perdu via des billets écrits rétro-activement. Parce qu'on ne rattrape jamais le temps perdu. 
Ah le nom à venir sera sans doute "éphémères" ... un double clin d'oeil, à mes vrais nom et prénom qui comportent 2 "P" comme dans le mot "papillon" mais aussi et surtout à ces "insectes" qui mettent plusieurs années avant de devenir adultes et ne vivent à la lumière qu'à peine quelques heures avant de mourir
* image tirée du Net. Auteur non identifié