jeudi 31 mai 2012

Fleurs de Mai (2)

Il y a un ou deux ans, j'avais rédigé un billet décoré avec plusieurs photos d'iris bleus, très probablement ma couleur préférée pour cette fleur. Cette année, pour changer, j'avais décidé de miser sur d'autres couleurs car je sais qu'il existe des iris bi ou tricolores, mais aussi, parmi les "monochrome"s, des jaunes, des roses, des pourpres etc... 
Sauf que cette année la météo n'a pas été très aidante pour les photographes , même amateurs. Après des jours de grisaille et de pluie, le temps a été chaud, très chaud -sans que ces jours-là je sois disponible pour photographier- avant une nouvelle vague d'humidité. Alors quand je me suis rendu dans le parc qui en contient le plus, celui du parc des expositions, beaucoup étaient abimés. Cette année priorités aux tons bruns/marron/beige avec de haut en bas et de gauche à droite: 
 
Natchez Trace... dont j'ai découvert ceci sur le net: "La Piste Natchez (Natchez Trace) était une piste de 708 km de long entre Natchez dans le Mississippi et Nashville dans le Tennessee reliant les rivières Cumberland, Tennessee et le fleuve Mississippi. Elle a été intensément utilisée par les Indiens d'Amérique et les explorateurs européens blancs comme route de transit à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe..." 
 
Speckles... qui pourrait correspondre au verbe "to speckle" qui signifie : tacheter ou moucheter. 

War Sails... que l'on pourrait traduire par "Voiles de guerre" 

Wild Ginger... qui correspond mot à mot à "gingembre sauvage", une plante fort appréciée des asiatiques qui en aiment la saveur relevée. Une épice qui, dans mon souvenir, est beaucoup plus "beige" qu'en version "fleur"

mercredi 30 mai 2012

Fleurs de Mai (1)

"Voici le mois de mai où les fleurs volent au vent (x2)
Où les fleurs volent au vent si jolie mignonne,
Où les fleurs volent au vent si mignonnement..."

Cette chanson enfantine est elle toujours de mise? Oui si j'en crois les fleurs photographiées ce week-end dans deux des parcs de Nantes: le jardin des plantes et le parc des expositions. Au menu: des pavots, des iris et... des roses.
Priorité aujourd'hui aux pavots.
Il est bien loin le temps où les seuls pavots que l'on trouvait, c'était les coquelicots dont le rouge vif tranchait si bien sur les blés.... quand ils n'envahissaient pas avec les pétales si fragiles, la moindre ruine, le moindre bord de fossé.
Désormais ils s'invitent dans les grandes villes qui non seulement ne combattent plus coute que coute leurs robes rouges mais les mettent en valeur dans les massifs en jouant avec la diversité de leurs couleurs: jaune, orangé, rose et même blanc.




Là il y aura juste, un bouton poilu qui commence à laisser entrevoir la couleur de la future robe de la fleurs,une photo qui regroupe 3 pavots, chacun à un stade de sa floraison... et tout à la fin, un pavot au sein duquel virevoltait un visiteur.

mardi 29 mai 2012

B comme ... (3)

Ce n'est pas la chanson la plus connue de Jacques Brel qui nous a donné:
- des "...diables en pierre [qui] décrochent des nuages..." dans "le plat pays"
- des marins qui "...quand ils ont bien bu, se plantent le nez au ciel, se mouchent dans les étoiles" à "Amsterdam"
- "... des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas..."  dans "Ne me quitte pas"
Et tant d'autres chansons.

Ce n'est pas la plus connue, ni forcément celle que je préfère. Mais aussi loin qu'il m'en souvienne, c'est la chanson qu'enfant j'aimais entendre, à cause de' l'histoire, du nom étrange donné à la femme aimée, de leur sort final qui renvoyait à un conte que j'avais lu, celui de Rose de la Beurrière et de Bertrand de la Mer.

lundi 28 mai 2012

Echos... (10)

Un week-end long où il fait beau, l'occasion rêvée pour faire de la photo. Malheureusement la moisson a été maigrichonne: quelques photos de pavots et une statue au jardin des plantes et quelques iris, d'autres pavots et des roses au parc floral des expositions.Parmi les roses, celle-ci: une rose rose qui porte le nom de la femme d'un ancien Président de la République (qui s'est d'ailleurs piqué les doigts avec la rose...). Une photo que j'ai eu aussitôt envie, en la faisant, de l'appeler, les "trois âges de la rose" en pensant "les trois âges de la femme". 



Ce titre, je croyais que c'était une sculpture de Camille Claudel (qui ne comporte en réalité que deux femmes: elle même jeune qui implore à genoux Rodin âgé qui s'éloigne avec son épouse).  En réalité c'est un tableau de Gustave Klimt dont on ne voit bien souvent que la partie de droite, celle de la jeune femme qui entoure tendrement la petite fille. Sans doute parce que nous avons encore beaucoup de mal à accepter toute représentation de la vieillesse et peut-être encore plus lorsqu'il s'agit d'un nu féminin. 



dimanche 27 mai 2012

B comme ... (2)

Une chanson un peu dans la lignée de cette autre que j'aime aussi beaucoup "les passantes", même si Georges Brassens m'en a composé que la mélodie.
Impossible de savoir pourquoi celle-ci me plait autant, peut-être parce que quelque part elle renvoie à une chanson d'enfance, elle aussi très mélancolique: "à la claire fontaine". Je viens d'ailleurs de découvrir que dans celle-ci, ce n'est pas une demoiselle qui se baigne et se retrouve seule pour avoir refusé d'accepter les fleurs offertes par son ami, mais un homme qui a perdu sa belle pour avoir refusé de lui offrir un bouton de rose.

Pour revenir à la chanson de Georges Brassens, qui oserait aujourd'hui utiliser dans une chanson ce mot rare qu'est celui de "pampre"? Mais il est vrai que les jeunes filles d'aujourd'hui n'ont plus besoin d'aller se baigner nues en espérant qu'il fasse grand vent.

samedi 26 mai 2012

Vroum, vroum... (2)

Le hasard a voulu que je croise ce jour deux voitures mythiques... du moins pour ceux ou celles qui ont plus de 40ans!

La 1ère, c'était une CV de 1981. Je vous rassure tout de suite, j'aurais été incapable de dater le véhicule s'il n'y avais eu à l'arrière une petite affichette signalant qu'elle était à vendre. Ah les 2 CV! L'increvable voiture des "bonnes soeurs" et de tant étudiants plus ou moins fauchés des années 70. Avec elle, en hiver, il fallait partir bien couvert vu la faible isolation offerte par la capote. Et les jours de pluie on s'estimait heureux quand un malveillant n'avait pas percé celle-ci au couteau!

La seconde, ça a été la grande concurrente de la 2 CV, la 4L, la voiture qui m'a permis de rencontrer le père de mes enfants. Il conduisait alors une antiquité (si, si!) du début des années 60 qui n'avait que 3 vitesses. Je ne l'ai conduite qu'une fois en étant morte de trouille car ce jour-là je n'avais pas mon permis sur moi. Et comme par hasard, on a du s'arrêter à un "Stop" avec les gendarmes juste en face de nous. Moi qui avait appris à conduire avec un levier de vitesse au plancher, j'ai du effectuer un démarrage en côte avec un levier de vitesse au tableau de bord... Suées garanties! 


Ce fut la seule et unique fois donc où je l'ai conduite car peu de temps après mes parents m'ont offert MA voiture. Une Renault 5* à deux portes qui était plus ou moins rose métallisé (même si sa couleur officielle c'était "perle"). Moins d'un an après la naissance du premier enfant elle sera remplacée par notre 1ère familiale: une Renault 21 blanche, beaucoup plus confortable à laquelle succédera à la naissance de n°3 un Renault Espace.

Je serai alors loin, très loin de la 1ère voiture de mon père dont je me souvienne: une Panhard avec laquelle, de loin en loin, il emmenait la petite famille à la mer, les jours de grande marée, pour ramasser de coques. Les moteurs étaient beaucoup plus simples que maintenant, avec beaucoup moins d'électronique. C'est d'ailleurs ce qui a sauvé mon père le jour où ma grande soeur a perdu la clé de la voiture alors que nous étions à la plage, à plus d'une heure de route de chez nous. Il serait en effet désormais impossible de faire démarrer sa voiture comme il le fit ce jour-là: en crochetant le contact grâce à une épingle à cheveux de mes soeurs!
* Photo tirée de https://en.wikipedia.org/wiki/Renault_5

vendredi 25 mai 2012

B comme ... (1)

Point commun entre les chansons qui feront l'objet des prochains billets: des chanteurs et chanteuses des années 60/70 dont le nom de scène commençait par un "B"

1ère retenue, une femme, qui a beaucoup fait rêver mon 1er ami: Barbara, surtout après qu'il ait assisté à un concert où elle avait chanté pour les spectateurs assis au 1er rang: "Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous"!
C'est dans le disque du même nom que figure la chanson qui suit. Elle n'est pas forcément celle que je préfère d'elle car il y a aussi "Pierre", "l'aigle noir", "Göttingen", "Dis quand reviendras-tu" etc... Mais je l'aime beaucoup.
En l'écoutant je ne peux m'empêcher à tous les hommes amoureux, qu'ils aient on non rencontré la femme (brune) de leurs rêves.

A noter que si la chanson est souvent rattachée à Barbara, c'est Georges Moustaki qui est l'auteur de la mélodie et de ces très jolis vers:
"...J'ai habillé la dame brune dans mes pensées
D'un morceau de voile de brume et de rosée.
J'ai fait son lit contre ma peau pour qu'elle soit bien,
Bien à l'abri et bien au chaud contre mes mains..."

jeudi 24 mai 2012

Musiques du festival de Cannes (5)

Encore une musique qui m'a fait craquer... au point d'acheter le double CD juste à cause de CE morceau.
Et que l'actrice principale est belle. Et ses robes... Qu'est ce que je regrette ma silhouette européenne qui m'interdit ce genre de tenues!
J'ai aussi acquis le DVD, mais j'ai peur de revoir ce film qui m'avait plu tout en me laissant perplexe.

mercredi 23 mai 2012

Musiques du festival de Cannes (4)

C'est Microcosmos, sorti en 1996, que j'ai découvert le travail de Bruno Coulais, dont j'ai aussi beaucoup apprécié les B.O.F. de "Himalaya, l'enfance d'un chef" et "Le peuple migrateur".
Certains morceaux m'ont d'ailleurs très surprise, comment cette voix féminine qui, sur une mélodie plutôt "opéra", accompagne la lente et longue scène d'amour torride entre ... deux escargots!

mardi 22 mai 2012

A Lyon, le "bouchon des filles"

C'est avec son père que n°3 avait testé son premier et unique "bouchon" lyonnais. Un bouchon qui ne l'avait pas emballée du tout. Elle qui apprécie la "rosette" avait été dès le début du repas refroidie par l'assiette d'une bonne vingtaine de tranches amenée avec une énorme motte de beurre, un seau de pain... et pas le moindre cornichon. 
Alors la veille de repartir sur Nantes avec armes et bagages, j'ai été très surprise quand elle m'a reparlé de ce bouchon que m'avait suggéré Verveine lors de mon précédent séjour. Et j'ai dit oui. Et là 1ère bonne surprise: il se situait dans la rue où habitait n°3, mais au 20 de la rue du Sergent Blandan! Seconde bonne surprise, il était ouvert et il restait de la place. Troisième bonne surprise: miam, miam...


Pour 25€ (non compris le petit verre de rouge qui a accompagné le repas) nous nous sommes régalées d'un repas dans l'esprit des bouchons du siècle dernier, mais en beaucoup plus léger, même si j'ai eu un peu peur quand j'ai vu arriver les entrées. Et oui, 3 pots qui contenaient chacun deux bonnes portions de salades: du saucisson chaud pistaché sur lit de salade, des lentilles aux petits légumes, du céleri rémoulade aux noix.
Derrière elle a opté pour une steak sauce au st Marcellin et moi un tajine de porc (oui je sais en principe il n'existe pas de tajine au porc!) aux pruneaux et carottes (et juste ce qu'il faut de sauce et de semoule). 
Puis, juste avant le fromage, il y a eu une petite pause avec une verrine de purée de carotte au cumin. Après j'ai fait découvrir à n°3 ce qu'était la cervelle de canut. Et elle a beaucoup aimé la fraîcheur légèrement ailée de cette préparation. Si, si!
Et pour finir: une glace à la praline pour elle (rien à voir avec l'étouffante tartre à la praline du précédent bouchon!) et un soufflé glacé à la Chartreuse pour moi.

Deux regrets: 
- même installée dans un petit coin, c'est un peu bruyant. Mais je crois que c'est de règle dans les bouchons où on trouve souvent de grandes tablées.
- n°3 va sans doute s'installer durant la prochaine année universitaire ailleurs que dans le 1er, il faudra donc bouger un peu quand j'irai la voir. Mais bon, l'adresse vaut le détour.

lundi 21 mai 2012

Lyon-Nantes

ça y est, les derniers examens sont finis et il convient maintenant pour la jeune étudiante de songer à revenir au bercail pour passer l'été dans un lieu autrement plus vaste et confortable que son petit 16m² très sombre du vieux Lyon.
Avec une question: par où passer?
Il y a le trajet le plus rapide (6h58) ... mais aussi le plus long en kilomètres car il fait redescendre par... St-Etienne... et aussi le plus cher car il n'y a quasiment que de l'autoroute



Et il y a le trajet le plus court mais qui est plus long en temps (9h20) car il prend les petits chemins plus ou moins sinueux où le 90 est de mise.



Alors???
Alors, étant seule cette fois-ci à conduire puisque la gente demoiselle n'a pas encore deux ans de permis et ne peut donc se mettre au volant d'une voiture de location*, ça pourrait bien être un mixte avec
- du rapide au départ de Lyon car je garde un très mauvais souvenir de la traversée du Massif Central où la pauv' pitite Clio avait souffert l'an dernier dans les fortes pentes... et là on passerait plus au nord de ce massif, par Mâcon et Moulins
- du rapide en retrouvant le trajet autoroutier à partir de Montluçon

Mais le GPS que l'on m'a offert en mars dernier pour ma fête fournira peut-être une autre solution.
Réponse jeudi en cours de journée et d'ici là le blog - qui a pourtant beaucoup de retard dans la publication des billets- est "fermé"
* Et oui, j'ai eu pitié de la Clio essence qui avec ses 190 000kms commence à se faire vieille pour envisager une longue randonnée de 1 500kms en deux jours alors ce sera train à l'aller et voiture au retour

dimanche 20 mai 2012

Musiques du festival de Cannes (3)

Un film que je n'ai pas vu à sa sortie (en 1993) car à l'époque la jeune mère de famille que j'étais sortait peu, mais plus tard, à la télévision et sur DVD. Et entretemps j'avais acheté la bande originale et découvert qu'il était composé la musique de plusieurs des films de Peter Greenaway et de "Bienvenue à Gattaca"

Le présent billet a aussi été l'occasion de découvrir le titre anglais du film: "the Promise". Et des promesses il y en aura plusieurs dans le film: promesse du mari de revenir plus tard chercher le piano, du futur amant de lui "échanger" le piano, petit bout par petit bout contre des "faveurs", de l'héroïne à son mari pour ne plus revoir son amant, de l'amant pour quitter sa propriété en emmenant avec lui l'héroïne et son piano.

samedi 19 mai 2012

Musiques du festival de Cannes (2)


Un film de 1976 que je n'ai pas vu non plus à sa sortie, à cause de mes réticences à aller voir des films de Scorcese que je trouvais trop violentes.
Je viens juste de découvrir que la musique a été écrite par Bernard Herrmann que l'on connait plus pour sa longue collaboration avec Hitchcock. Cette musique fut la dernière sur laquelle il travailla avant sa mort. Le film lui est d'ailleurs dédié.

vendredi 18 mai 2012

Musiques du festival de Cannes (1)

Le festival de Cannes a débuté il y a quelques jours, l'occasion pour moi dont la discothèque contient pas mal de musiques de films de re-écouter un certain nombre de musiques popularisées par des films présentés, voire récompensés à Cannes.
1er film retenu: "le 3ème homme", sorti en 1949, dont j'avais complètement oublié à quel point le réalisateur (Carol Reed) avait opté pour des cadrages penchés. A l'image de cette époque où beaucoup de certitudes ont basculé? Tout comme le héros qui découvre que son ami est devenu un salaud qu'il finira par "trahir"

jeudi 17 mai 2012

Histoires de "petites" robes d'été

Les récents rangements ont fait remonter en surface d'anciennes robes d'été* pour lesquelles, compte tenu des kilos qui se sont accumulés depuis quelques temps, il a fallu clairement décider: je garde ou je donne?... 
Peu de choses ont été gardées, sans doute parce que pour un certain nombre d'entre elles il y avait trop de souvenirs qui s'y rattachaient, ceux du temps où nous étions un couple avec 3 enfants. 

Exit la robe noire portée (de mémoire) une seule fois, il y a des années de cela, avec une étole rouge carmin, lors d'une sortie au restaurant. 
Après, j'ai renoncé pour ne pas le mettre mal à l'aise car si j'aimais m'habiller pour sortir, tel n'était pas ou plus son cas. Nos tenues auraient été trop dépareillées entre une femme "trop" habillée et un homme "trop" décontracté avec l'une de ces chemises à carreaux moins british que rustique qu'il affectionnait. Ces évolutions de goûts auraient du m'alerter mais bien souvent on ne veut pas voir. 

Exit l'ensemble robe + veste beige porté pour la 1ère fois lors du mariage d'un neveu. 
Le beige ne convient pas à la brune à peau claire que je suis. Mais à l'époque j'essayais de m'accorder avec la gamme chromatique de ses vêtements et il appréciait le marron, une couleur dont je ne raffole pas, même éclairé avec du vert clair ou de l'orange. En plus, sur la photo de mariage, parce que je souhaitais que les mariés soient au milieu et qu'il y avait 4 couples, nous y sommes chacun à une extrémité de la photo. Enfin, cette photo est devenue très triste malgré les sourires de tous car mis à part le couple de mariés, les autres couples -la mère et les deux tantes du marié- ne sont plus de mise. Deux décès prématurés (un beau-frère et la mère du marié) et un divorce (le mien) sont passés par là. 

Exit la robe verte pistache, une teinte qui ne me va guère mais j'avais craqué à l'époque à cause de sa forme: près du corps elle finissait en s'évasant avec de jolis godets qui dansaient joliment sur les jambes à chaque pas. 
Je l'ai beaucoup portée notamment sur une photo prise lors des dernières vacances communes. La plus jeune de mes enfants est à côté de moi et lui quelques pas en arrière... une image anticipée de la situation qui prévaudrait quelques mois plus tard? Mais nous l'ignorions tous. 

Exit l'ensemble robe et veste en cotonnade qu'il avait achetés quelques jours après l'annonce de mon souhait de divorcer.
Une tentative pour faire oublier que j'avais acquis la certitude que je n'étais plus à ses yeux que la mère de nos enfants et que nous étions un couple qui ne communiquait plus? La preuve: l'ensemble était bleu marine, une couleur que je ne portais plus depuis près de 25 ans alors que quelques semaines auparavant j'avais acheté une robe rouge carmin ainsi qu'une veste et une jupe avec des fleurs dans un dégradé de tons rouge et rose.
 

* Les présentes photos proviennent du Net et non de ma garde-robe

mercredi 16 mai 2012

"Gringos Locos" de Yann et Schwartz

Découverte l'automne dernier en pré-publication dans la revue "l'immanquable" je n'avais pas prévu de l'acheter. Certes, l'histoire est pleine d'humour et le dessin est fidèle à la ligne claire, ce qui est la moindre des choses quand on sait à quel point les auteurs se sont inspirés de faits réels (même si.... voir plus loin). Mais l'amatrice de Bourgeon ou de Loisel que je suis n'avait pas accroché plus que cela. 
Et puis j'ai été informée qu'il y avait comme un problème par rapport à la mise en vente, initialement prévue en janvier, avant d'être différée de plusieurs mois.

L'histoire: c'est le récit du voyage aux Etats-Unis de 3 grands de la bande dessinée belge (Jigé, Morris et Franquin) qui, en 1948, espéraient se faire engager... aux studios Walt Disney avant de partir vivre au Mexique. 
Sauf que les héritiers de deux des dessinateurs concerné n'ont pas apprécié le regard porté sur les héros par le scénariste: un Jigé bigot qui se balade en "marcel" avec un mouchoir à carreaux sur la tête, un Morris qui passe pas mal de temps à boireet sortir les personnes de sexe féminin et un Franquin amoureux transi de la femme de Jigé et surtout qu'un rien déprime. 

Moralité: il faut lire la BD en gardant à l'esprit l'avertissement au lecteur que l'éditeur a fini par ajouter dans l'ouvrage ainsi qu'un cahier d'une dizaine de page où les héritiers des personnes concernées donnent leur version des faits. Dans l’avertissement il est écrit ""... bien qu'inspiré de figures ayant existé, les personnages principaux de cette histoire doivent avant tout à la libre interprétation des narrateurs..."
Pas sur par contre que l'éditeur ait envie d'imprimer la tome 2 des aventures du trio...

mardi 15 mai 2012

Vroum, vroum...(1)

Autant le reconnaître dès le départ, les voitures, c'est pas mon truc. Pour moi, une voiture, c'est un volant (pour les manœuvres) et 4 roues (en croisant les doigts pour ne pas avoir de crevaison qui oblige à sortir la notice pour retrouver la roue de secours, le cric... et tout ce qui va avec).

Et si aujourd'hui je m'y intéresse, c'est parce que la mienne, une Clio essence de 2001 a vaillamment franchi hier le cap de 190 000 kms et que mon fiston m'a conseillé d'opter, lorsque le moment sera vraiment venu de la changer, pour une hybride. Une hybride? Un modèle essence/gaz comme celle qui existait au boulot et dont personne ne voulait se servir? Non, je pense qu'il se référait à celle utilisée par un certain François pour remonter, sous des trombes d'eau, les Champs-Élysées. 


Petite occasion pour faire le tour des voitures présidentielles. 
LA référence, celle dont je me souviens, c'est celle du grand Charles: la mythique DS noire qui a ensuite figuré dans le parc automobile de tant de Préfectures. 
 
Par contre je ne garde aucun souvenir des voitures choisies par ses successeurs: des Citroëns pour Pompidou, Giscard d'Estaing et Chirac... une Renault pour Mitterrand. 

Comment ça j'oublie quelqu'un? Ben oui. Et alors!

lundi 14 mai 2012

Quelques fleurs du parc de Procé à Nantes

Le parc de Procé a 100 ans!
Et oui, c'est en 1912 que Paul Bellamy, alors maire de Nantes, pressentant que l'urbanisation de la commune risquait de s'étendre bien au delà de ce qui était alors ses limites, a décidé de faire acquérir un parc privé qui était implanté à sa périphérie: le parc de Procé (du nom de celui ayant initialement acquis le domaine)

Quelques animations durant le week-end: jeux d'enfants tels qu'ils pouvaient exister au début du siècle dernier, promenades en calèche au sein du parc, balades de personnages habillés comme au 19ème siècle... dont il ne sera présenté aucune trace photographique compte tenu du nombre impressionnant de visiteurs. Et cela alors même que dans ce parc, contrairement à celui du jardin des plantes, on a le droit de marcher, de s'assoir, de s'allonger sur les pelouses.


Pas de photos? Oui, pas de photos des animations mais il aurait été dommage de ne pas profiter du beau temps pour immortaliser les fleurs de saison: les rhododendrons et les iris.
La plante la plus connue du parc est cependant un superbe tulipier implanté près du manoir en bas du parc. Et pour ceux que la botanique intéresse peu, il reste les statues:
- celles qui se reflètent dans un petit bassin à l'ouest du parc et proviennent d'une ancienne poissonnerie située jusqu'en 1939 sur l'île Feydeau de Nantes
- celles qui proviennent de l'ancienne place du Trocadéro de Paris
et dont il sera question une autre fois

dimanche 13 mai 2012

... Comme un petit coquelicot de ...

Même si les fréquentes giboulées font plus penser à une météo du mois de mars qu'à celle d'une presque mi mai, les coquelicots sont au rendez-vous. Avec eux, comment ne pas penser au petit coquelicot de Mouloudji. Un "petit coquelicot" dont il existe plusieurs versions sur le net et qui sera l'occasion d'apprendre plusieurs choses:
- que l'auteur des paroles de cette chanson enregistrée en 1951 n'est ni Mouloudji ni Francis Lemarque comme j'ai pu le lire mais... Raymond Asso (qui a écrit notamment pour Edith Piaf, les Frères Jacques...)
- que la musique a été composée par Claude Valéry
- que Mouloudji avait un prénom: Marcel 


"Le myosotis, et puis la rose,
Ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !
Mais pour aimer les coqu'licots
Et n'aimer qu'ça... faut être idiot !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà :
Quand j't'aurai dit, tu comprendras !
La premièr' fois que je l'ai vue,
Elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu d'un champ de blé.
Et sous le corsag' blanc,
Là où battait son coeur,
Le soleil, gentiment,
Faisait vivre une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.

C'est très curieux comm' tes yeux brillent

En te rapp'lant la jolie fille !
Ils brill'nt si fort qu'c'est un peu trop
Pour expliquer... les coqu'licots !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà
Quand je l'ai prise dans mes bras,
Elle m'a donné son beau sourire,
Et puis après, sans rien nous dire,
Dans la lumière de l'été
On s'est aimé ! ... on s'est aimé !
Et j'ai tant appuyé
Mes lèvres sur son coeur,
Qu'à la plac' du baiser
Y avait comm' une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.

Ça n'est rien d'autr' qu'un' aventure

Ta p'tit' histoire, et je te jure
Qu'ell' ne mérit' pas un sanglot
Ni cett' passion... des coqu'licots !
Attends la fin ! tu comprendras :
Un autr' l'aimait qu'ell' n'aimait pas !
Et le lend'main, quand j'lai revue,
Elle dormait, à moitié nue,
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu du champ de blé.
Mais, sur le corsag' blanc,
Juste à la plac' du coeur,
Y avait trois goutt's de sang
Qui faisaient comm' un' fleur :
Comm' un p'tit coqu'licot, mon âme !
Un tout p'tit coqu'licot."

samedi 12 mai 2012

4 ans plus tard... perplexité

12 mai 2008, c'était l'ouverture de ce blog. Un blog ouvert un peu pour compenser le manque de communication avec certaines personnes. Qui l'ont lu, un peu puisqu'elles m'en ont parlé voire rédigé un commentaire de manière anonyme,  avant de passer à "autre chose". 
Grâce à lui il y a eu un certain nombre de "rencontres" qui sont restées à ce jour, à deux exceptions près virtuelles... Et parmi ces liens, beaucoup sont devenus de plus en plus tenus avec le temps. La faute sans doute au contenu qui aurait besoin d'évoluer, de se recentrer sur certaines thématiques, tout comme cela a été le cas des blogs que je visitais à son ouverture.
A ce jour je ne suis plus certaine que de deux choses: 
- ce sont les images, les photos et non les textes qui attirent les visiteurs qui passent et repartent aussi vite
- l'inspiration me fait de plus en plus défaut.
Alors... alors perplexe je suis et d'ici à la fin du mois, s'il y a des billets, ils paraîtront de façon bizarre avec des billets qui se glisseront au milieu d'autres. A l'exemple de celui-ci, daté du 12 qui en réalité a été rédigé et publié après celui daté du 13. Après... je ne sais pas.

Pour la petite histoire, ce visage est celui de l'une des statues placées en haut du Parc de Procé. Elles figuraient autrefois sur la place du Trocadéro à Paris. Celle-ci, avec sa couronne de blé, représente probablement l'Agriculture, les 3 autres étant consacrées à la Forêt, à la Botanique et à la Sculpture.

vendredi 11 mai 2012

Panne de courant!

Il faisait beau et après avoir lu un certain nombre de pages du livre en cours, j'avais décidé de surfer. Et là: panique, le PC ne démarre pas! Un essai, deux essais, trois essais (pas Bretonne pour rien la Dame) Rien! Rebelote en rebranchant l'alimentation électrique côté PC et côté mur car il commence à y avoir du jeu côté PC et certaines prises de l'appartement se font vieilles. Toujours rien! 
Et puis "Tilt": le voyant lumineux de l'adaptateur ne passe pas au vert! C'est lui le fautif. Pourtant hier soir il n'y avait pas de souci? Et puis nouveau "Tilt": n'y aurait il pas une panne d'électricité? Bingo! Et en plus elle concerne tout l'immeuble car le plafonnier de la cage d'escalier reste éteint et l'ascenseur ne bouge pas quand on l'appelle. 

Que faire?

 1ère idée: du ménage car il y en a besoin avec les poils du chat qui volètent dans l'appartement. Sauf que la seule manière efficace de les disparaître c'est de passer l'aspirateur... qui fonctionne à l'électricité! 
2ème idée: une lessive ou du repassage. Sauf qu'à chaque fois les appareils fonctionnent... à l'électricité! 
3ème idée: laver la vaisselle qui s'empile. Sauf que le chauffe-eau en mode "production d'eau chaude " suppose une évacuation forcée des gaz de combustion mise en route grâce à une impulsion... qui fonctionne à l'électricité! 
4ème idée: traiter le courrier en retard. Sauf que je devais y joindre des photocopies et que l'imprinante/scan/photocopieur... fonctionne à l'électricité. 
5ème idée: aller récupérer dans la voiture des cartons pleins de souvenirs et les descendre au sous-sol de l'immeuble. Sauf que je ne me voyais guère faire le trajet jusqu'à ma cave avec une lampe torche coincée entre les dents. 
6ème idée: partir faire des courses remplir le frigo qui commence à être vide. Sauf que rien ne garantissait que le courant serait revenu et que je n'avais aucune envie de monter 8 étages avec deux lourds cabas. 


 Finalement j'ai opté pour quelques menus travaux de couture à la main avant de trier de vieux papiers tout en méditant sur le fait que dans notre vie quotidienne actuelle, beaucoup d'activités sont finalement conditionnées par la fée électricité .

mercredi 9 mai 2012

"Les jambes des femmes...

"... sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie". Ainsi parle Bertrand Morane/ Charles Denner/ François Truffaut dans"l'homme qui aimait les femmes".

Cet hommage à la gente féminine* me trottait dans la tête alors que, allant à un rendez-vous, je foulais le trottoir nantais en appréciant qu'enfin la douceur soit revenue. J'avais pu laisser dans les tiroirs les bas, profitant ainsi au maximum de l'air qui glissait le long de mes jambes. Une caresse presque aussi douce que celle du chat quand il vient me frôler pour chiner croquettes ou caresses.

Et oui, après avoir porté pendant des années presque exclusivement des pantalons, depuis maintenant un peu plus de 6 ans, ces derniers sont quasiment absents de ma garde-robe. Je sais, c'est moins pratique ou confortable... Quoique...quoique...

Avec une robe, pour peu qu'avec l'âge on ait pris quelques rondeurs, on est beaucoup moins serrée (sauf à opter pour une robe fourreau ou une jupe droite). Plus de risque d'avoir le bouton qui saute ou la fermeture qui lâche. Et quand le tissu est blanc, fin, voire très fin, aucune obligation de devoir opter pour le micro string pas confortable du tout ou la culotte de mémère. 

Et puis comme il y a bien longtemps que, pour cause de genoux qui ressemblent plus aux articulations des percherons qu'à celles des purs-sang, j'ai renoncé aux jupes et robes courtes, le risque est limité d'être indécente lorsque je suis assise ou que je me penche un peu sans plier les genoux.

Reste durant les mois d'été le problème du vent,"le vent fripon" cher à Georges Brassens. Mais là encore, il suffit d'une longueur raisonnable de tissu, notamment quand le tissu est léger, voire aérien... Et de se méfier des bouches de métro. Et oui, j'ai largement passé l'âge de Marylin dans "7 ans de réflexion"

* Au moins le 3ème de François Truffaut si l'on y  ajoute les échanges de Charles Denner (déjà lui) avec la 1ère victime de "la mariée était en noir" qui a enregistré le bruit des bas de sa fiancé lorsqu'elle croise et décroise les jambes et les confidences de Jean-Louis Trintignant qui, dans "Vivement dimanche!" déclarer adorer se poster derrière le soupirail de sa boutique pour regarder les jambes des passantes

mardi 8 mai 2012

Lever de soleil sur la Loire

Parmi les images stockées sur mon PC figurent un grand nombre de levers et de couchers de soleil. Il faut dire que depuis septembre 2006 je vis dans des logements qui se prêtent bien à ce genre de photos. Dans le studio qui donnait plein est, j'avais même projeté de photographier le maximum de levers afin de suivre la course du soleil de jour en jour.


Projet non mené à terme pour cause de déménagement,mais reconduit dans le logement suivant, un T3 disposant de fenêtres au nord et au sud, en ciblant cette fois-là les couchers de soleil. Le temps a passé. Il s'est avéré qu'un tel projet était difficile à mettre en oeuvre car il aurait supposé pas mal de disponibilité pour se poster au même endroit, jour après jour (mais à des horaires variant au fil des saisons, or je dors désormais rarement dans le T3) afin de photographier l'horizon durant les quelques minutes durant lesquelles le soleil disparaît. Et puis j'oublie un facteur essentiel: la météo! Parce que certains soirs, il n'est pas du tout évident de voir le soleil derrière la couche de nuages!



Moralité: j'ai renoncé, jusqu'à nouvel ordre, à ce projet et quand je suis au T3, je ne photographie plus guère les levers ou couchers de soleil, sauf quand ils présentent un intérêt particulier, par exemple quand le ciel et les nuages prennent des couleurs un peu atypiques, comme ce matin du 22 septembre 2008 où il s'est écoulé 11 minutes entre la 1ère et la dernière photo.

lundi 7 mai 2012

Le jardin des plantes de Nantes par une nuit d'octobre

Ménage intensif dans les fichiers photos depuis quelques jours: l'occasion d'en mettre un certain nombre à la poubelle mais aussi de retrouver trace de certains événements comme une étrange manifestation intitulée "des jardins en lumière" qui a eu lieu à Nantes pendant 3 jours, ou plus exactement 3 soirs, au tout début d'octobre 2008. Plus d'information sur ces "soirées" via le lien ci-après. 

Qu'en dire? Que les photos qui suivent sont toutes complètement ratées. Et c'était inévitable avec un appareil photo classique SANS l'avoir réglé auparavant en position "images de nuit" et SANS "monopode". Mais j'ai conservé, pour le plaisir, certaines de ces images qui rendent fort mal la magie de cette balade nocturne dans un parc plongé dans la quasi obscurité.
Les sens sont sollicités différemment.
Tout d'abord, les sons prenaient un tout autre relief. Il y avait le murmure des conversations à voix basse des personnes que l'on devinait dans la nuit sans les voir, ou si peu. S'y ajoutait le bruissement des feuilles dans les arbres car début octobre, les arbres n'avaient pas perdu tout leur feuillage. De loin en loin un cri d'oiseau dérangé dans son sommeil. Il y avait aussi le chuchotis des fontaines. Et, en fin de parcours, tout en haut de la colline artificielle qui domine le parc, un groupe de musiciens utilisant des instruments traditionnels a même gratifié les visiteurs de mélodies improvisées. 
Très vite durant la balade, c'est le toucher qui a été appelé en renfort. Pas celui des mains, non, celui des pieds! En effet le cheminement faisait emprunter différents types d'allées auxquelles on ne fait pas attention en temps normal. Et là, en n'ayant pour repère que de petits lumignons destinés à éviter que les visiteurs ne quittent le circuit dument balisé, il a fallu ouvrir les yeux que l'on a... sous la plante des pieds: apprendre à marcher sans avoir peur en reconnaissant l'allée en goudron, celle en sable, en terre... voire l'herbe. 
Enfin, tout comme lors de la visite de nuit du parc oriental du Maulévrier, l'odorat aussi a été régulièrement mis à contribution via différentes senteurs d'encens.  
J'allais oublier ce sens qui pour la plupart d'entre nous est celui dont nous nous servons le plus sans en avoir conscience: la vue! Cette visite de nuit, une fois habituée à la faible luminosité résiduelle et aux éclairages additionnels de faible intensité, a obligé à regarder autrement le parc ou plus exactement certains éléments du parc. Je pense notamment à certains arbres dont les branchages avaient été particulièrement mis en valeur. 

En résumé: si un jour cette manifestation se renouvelle, je ne manquerai pas d'y retourner car c'est vraiment une expérience passionnante que de visiter un parc que l'on croit bien connaître de nuit, il prend alors un tout autre relief. En fait, le temps de la balade, on a l'impression d'une plongée dans un autre monde.

dimanche 6 mai 2012

Un peu de couleur...











... après des mois (certains penseront 5 années) de grisaille?

vendredi 4 mai 2012

Lumières sur la Loire


La poursuite du tri des vieilles photographies a permis de remonter en surface ces deux images toutes deux réalisées le même jour, le 9 février... 2008.
La première a été réalisée de la fenêtre de ma chambre, peu de temps avant de partir travailler et la suivante à la fin d'une promenade que j'avais effectuée durant l'après-midi, entre le pont Willy Brandt et celui de Bellevue.