mardi 31 mars 2020

Musiques du temps du confinement -6- La BO de "The Hours"


Christian, un ami suisse avait beaucoup aimé le film, notamment à cause des actrices qui y jouaient. Contrairement à lui, ce n'est pas Nicole Kidman qui a le plus retenu mon attention, ni même Meryl Streep mais la toute jeune Julianne Moore. Et son fils, si sensible, qui comprend à quel point sa mère va mal. Et craint de ne jamais la revoir lorsqu'elle le dépose chez une voisine. Et il avait amplement raison car, alors même qu'elle était enceinte de plusieurs mois, elle s'apprêtait à se suicider... avant d'y renoncer après avoir lu "Mrs Dalloway", ce livre de Virginia Woolf qui sert de fil rouge à 3 histoires de femmes.
Et des années plus tard, en faisant des recherches sur ce film, je tombe sur cet article qui se termine par : "Le temps a beau passer, les heures ont beau s'écouler, il restera toujours l'amour, la haine, la mélancolie et l'espoir. Tout ce qui fait la beauté et l'horreur de la vie."Quant aux musiques de ce film... elles sont toutes si belles, que j'ai opté pour la facilité: partager une version piano qui fait encore mieux ressortir la beauté des mélodies. 

Confinement 1 - J14

Texte rédigé en juillet 2023

Le 31 mars 2020 
Une fois de plus, aucune idée de la date de réalisation de la photo*. Probablement une bonne dizaine d'années. La seule chose certaine c'est que c'était lors de ma seconde visite du parc du Puy du Fou.
La 1ère fois j'avais été assez emballée... même si un des "spectacles" m'avait semblé assez orienté, à savoir une sorte de crypte dédiée aux martyrs chouans. Mais le parc est en Vendée et cette partie du parcours avait semble t il disparu lorsque j'y suis retournée. Sauf que la seconde fois, d'autres spectacles étaient apparus, superbes au niveau chorégraphie, mais comportant des aspects TRES orientés religion catholique que ce soit autour de la légende de St Philbert de Granlieu (apparu pour faire fuir les vilains vikings) ou dans le Colysée où lors de la course de chevaux, seul pouvait gagner le soldat romain converti au catholicisme et qui concourait avec un équipage de chevaux blancs. 
Cet oiseau figurait dans le spectacle consacré au vol des rapaces qui passaient au milieu des spectateurs, lesquels devaient rester calmes et silencieux. Impressionnant!
*
En cherchant bien sur mon PC, je pourrais la retrouver, mais je préfère me concentrer sur les souvenirs et les impressions qui ont accompagné la photo 

lundi 30 mars 2020

Confinement 1 - J13

Texte rédigé en juillet 2023

Le 30 mars 2020
C'était il y a quasi une dizaine d'années de cela, à l'occasion d'une sortie photos dans le cadre du "Voyage à Nantes" : entre le bas du parking à l'est du château de Nantes et la station de tramway avait été installé un nouveau massif de fleurs. Des plantations a priori assez classiques. Sauf que parmi les fleurs il y avait des dahlias. J'avais alors pris conscience que, pendant des années, on n'avait plus vu ce type de plantes dans les parcs et jardins publics.  
Et il en était un peu de même dans les jardins privés, par exemple celui de mes parents. Pourtant dans mes souvenirs les plus anciens, il y avait des massifs de dahlias où la petite fille que j'étais aimait se cacher, quitte à faire des détours pour éviter des toiles d'araignées. Mais des années plus tard, il me revient d'abord à l'esprit les immortelles (dont ma mère faisait des bouquet de fleurs séchées) et les zinnias et les reines marguerites de mon père que mon père arrosait chaque soir en revenant du travail. 
Alors, le retour des dahlias à Nantes (mais aussi d'autres villes alentours): la redécouverte d'une plante d'été pas trop compliquée ou choix du service des espaces verts d'anticiper le changement climatique et de désormais privilégier des plantes rustiques susceptibles de ne pas trop souffrir des restrictions d'arrosage?

Musiques du temps du confinement -5- "éducation sentimentale"


Plein de souvenirs d'adolescence avec ce disque là...et cette chanson là
Il y a d'abord cette chanson là découverte par une jeune fille lors de ce qui fût ma dernière colonie de vacances. Une très belle voix.
Et puis ça correspondait pleinement à ce que je vivais puisque c'est elle qui, alors que j'étais contente de revoir Eric, mon premier amour rencontré 2 ans auparavant lors d'une autre colonie, m'avait douchée en m'annonçant que
- fréquentant le même collège que lui, elle était "sortie" avec lui
- et que de toute manière c'était un coeur d'artichaut: une petite amie différente chaque année scolaire et une autre durant chaque été!
Dur, dur pour moi qui, en me fiant à ce que vivaient mes grandes soeurs beaucoup plus âgées, croyais que le 1er amour dure toujours.
Et quelques mois après cette colonie, il y a eu Guy-René, ce jeune homme qui fréquentait la même classe de seconde que moi. On échangeait en douce des poèmes, d'abord trouvés dans les livres puis les nôtres. Il m'a fait écouter ce disque -et bien d'autres- chez lui, sans jamais alors oser franchir le pas... car  nos parents "surveillaient". Et puis nos études respectives nous ont séparé: j'étais une littéraire et lui un scientifique, avant qu'on se retrouve en faculté. Nous avons alors enfin franchi le pas...  avant que je le quitte quelques mois plus tard car je ne supportais pas qu'il n'assume pas notre relation: lorsque nous croisions dans les rues ses amis de fac, je ne devais être qu'une simple copine du temps du lycée. Bien des années plus tard, alors que j'étais jeune mariée, je l'ai recroisé dans les rues de ma ville. On s'est reconnu mais aucun de nous n'a fait le moindre geste pour renouer, ne serait ce que le temps de boire un café ensemble.

dimanche 29 mars 2020

Musiques du temps du confinement -4- "to be by your side"


Un très beau souvenir que ce film. Mais il faut dire que bien des années auparavant (c'était durant mes années de fac) j'avais déjà beaucoup aimé "Jonathan Livingston" et puis une vingtaine d'années plus tard, "Microcosmos".
C'est aussi avec cette chanson que j'ai appris, moi qui suis si peu doué pour les langues étrangères,  comment récupérer les paroles de chanson sur le Net mais aussi comment les traduire avec l'aide de sites de traduction...  avant de découvrir, plus tard, quelques sites qui, comme "la coccinelle", utilisent Et surtout, c'est une fort belle chanson d'amour, de ceux où il faut accepter de laisser l'autre libre tout en étant côte à côte

Confinement 1 - J12

Texte rédigé en juillet 2023

Le 29 mars 2020

La photo a été faite dans l'un de ces jardins créés à la fin du 20ème siècle à Paris. Ouvert au public en 2004, il s'intitulait initialement  « jardin de la ZAC-Didot "; il porte désormais le nom de "Jardin Françoise Héritier"*. 

Je l'avais découvert par hasard en suivant une petite ruelle qui donne sur la rue Pernety et était ressortie rue Losserand. Une bien belle intuition. 
J'avais beaucoup aimé ce petit poumon vert loin de l'asphalte, des  voitures, du bruit... avec une petite partie "jardin des voisins" et sa  parcelle créée pour les enfants de l'école toute proche. C'est là que j'ai découvert ce joli hôtel à insectes.
J'y suis retournée quelques années plus tard et apprécié de voir que les arbres et arbustes avaient pris entretemps une belle ampleur.
*
philosophe féministe (1933-2017).

samedi 28 mars 2020

Confinement 1 - J11

Texte rédigé en juillet 2023

Le 28 mars 2020
Là encore je me rappelle l'endroit de la photo et à peu près la période de l'année où elle a été faite. Mais pas de l'année. L'endroit, c'était le parc de la Gaudinière, Le moment, c'était au printemps, à la saison où les fleurs de jonquilles et narcisses couvrent certaines grandes zones du parc car des milliers de bulbes de fleurs y ont été autrefois plantés. 

Sauf que cette année là, je me souviens y être arrivée trop tard, la quasi totalité des fleurs étaient fanées. Ma déception était grande car je gardais le souvenir ébloui d'y être allée dans les années 80. Je gardais en mémoire une photo où ma belle-mère et moi étions, avec nos gros manteaux d'hiver (car ce jour là il ne faisait pas vraiment un temps de printemps) devant des carrés de pelouse piquetés de milliers de tâches jaunes. 
Alors, faute de fleurs jaunes, on s'était (avec le photographe qui m'accompagnait) "vengés" en photographiant plein de fleurs de camélias - même si la collection est loin d'être aussi riche que celle du jardin des plantes- et un des cygnes alors en pleine toilette, avec de jolies gouttes d'eau accrochées à son plumage. 

Musiques du temps du confinement -3- Klaus Nomi dans "cold song"


Je ne sais comment j'ai découvert ce morceau. Mais il m'avait fort impressionnée. Et encore plus quand j'avais connu l'histoire de l'interprète et les paroles de cette "chanson".
Par contre je me souviens fort bien de la soirée chez des amis où j'ai fait découvrir cette musique au père de mes enfants, alors grand amateur de Jazz, grâce à la maîtresse de maison, une professeure de musique qui possédait l'un des CD de Klaus Nomi.

vendredi 27 mars 2020

Musiques du temps du confinement -2- "Gymnopédies"


Avec ces musiques, c'est le souvenir des soirs où je m'endormais après avoir écouté et ré-écouté ces mélodies sur mon petit magnétophone à cassettes.
Impossible de me rappeler si je les avais enregistrées après les avoir entendues à la radio ou après avoir emprunté l'un des disques de la discothèque de la Maison de la Culture de Rennes (où je vivais alors).

Confinement 1 - J11

Texte rédigé en juillet 2023

Le 27 mars 2020
Cette image là, si je ne me rappelle pas de l'année où elle a été réalisée, je me souviens fort bien du lieu et de son contexte.


Le lieu: c'était dans le petit jardin du passage Ste Croix, à Nantes.
Le contexte: c'était une oeuvre peinte exposée dans le cadre du Voyage à Nantes* qui se tient chaque année durant l'été. En m'agenouillant pour être près du sol, j'avais profité d'un parterre fleuri pour offrir un "avant-plan" au martin pêcheur..   
* Il faudrait que je retrouve la catalogue de cette année là pour pouvoir en créditer l'auteur

jeudi 26 mars 2020

Confinement 1 - J10

Texte rédigé en juillet 2023

Le 26 mars 2020
Cette photo là je me rappelle fort bien de l'endroit où elle a été faite : à l'abbaye de St Félix de Monceau (34)*... et de la date: en mai 2015!
Et la photo m'avait renvoyé des années en arrière, lorsque je voyais ce type de papillon dans le jardin de mes parents. Du moins les années où ils ne traitaient pas trop leurs jeunes plans de carotte que la chenille de ce papillon affectionne particulièrement, au grand dam des jardiniers.                         

J'avais découvert le site via un photographe amateur du Sud qui y avait bossé avec un modèle. Il avait fallu un peu insister pour qu'il me donne le nom, une discrétion un peu ridicule de sa part s'agissant d'un monument historique ouvert au public. 
J'avais apprécié l'abbaye, tout en haut d'une colline d'où l'on voyait très loin. L'avantage de l'avoir visité hors saison, c'est que j'étais quasi seule ... l'inconvénient, c'est que je n'avais pas pu entrer dans la partie centrale de l'abbaye, à savoir l'église. 
*https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-F%C3%A9lix-de-Montceau

Musiques du temps du confinement -1- "messe pour le temps présent"

Vivre confiner, c'est aussi essayer de fuir l'ambiance anxiogène, notamment celle liée aux nouvelles diffusées par certaines chaînes d'information: tant de nouveaux cas,tant de personnesen réanimation, tant de décès... en écoutant de la musique et des chansons que l'on aime

Je me rappelle assez bien la 1ère fois où j'ai entendu cette musique, j'étais allée avec une amie assister à un spectacle de danse de fin d'année. Et parmi les chorégraphies, il y en avait une sur cette musique...

mercredi 25 mars 2020

Confinement 1 -J9

Texte rédigé en juillet 2023

Le 25 mars 2020

Bien difficile, non impossible de me rappeler où ce nénuphar a été photographié: dans le bassin du jardin des plantes de Nantes? dans celui du jardin de la Rochelle ... ou dans le très grand bassin du parc de la tête d'or qui en contient des dizaines de variétés:
- de toutes les couleurs en allant du blanc au rose soutenu en passant par les roses et les jaunes
- certaines n'ayant qu'un rang de pétales et d'autres beaucoup plus nombreux, comme ici.


mardi 24 mars 2020

Confinement 1 -J8

Texte rédigé en juillet 2023

Le 24 mars 2020

Il est des photos qui, lorsqu'on les revoient, génèrent des sentiments mitigés.
Il y a tout d'abord cette question angoissante: où diable a t elle été prise, à Rennes, dans le jardin des parents? à Paris dans le jardin des plantes, à Bouguenais, sur le site de la Roche Ballue? Mais il y a aussi une grande satisfaction à revoir cette photo, au final intemporelle, celle d'un cerisier en fleurs: une image typique du printemps. Quoique, au printemps il y a aussi les poiriers et les amandiers qui ont des fleurs blanches, celles de pêchers, des prunus ... étant roses... et celles des pommiers roses et blanches. 
Et il y a 2 souvenirs qui me reviennent:
- le très grand cerisier du jardin de mes parents, celui qui surplombait le petit bâtiment qui abritait des clapiers et le poulailler. J'étais trop craintive pour oser dépasser la 1ère grosse ramification, sauf lorsque je voulais m'installer sur le toit d'où l'on voyait les champs à perte de vue. Lorsque la floraison touchait à sa fin, j'avais les jours de grand vent, me mettre sous les branches et laisser pleuvoir sur moi des milliers de pétales blancs. 
-la balade faite durant une pause déjeuner, le long de ce que j'appelais la  route des fleurs, c'est sous ce nom qu'elle figurait sur un carte IGN. Il y avait de très nombreux vergers de cerisiers. Hélas je ne la retrouve pas. Le seul indice qui me revient à l'esprit, c'est que j'avais déjeuné dans la voiture , à proximité du Manoir de Agnès Sorel... que je n'ai jamais visité durant les 5 années passées en Seine Maritime. 

Confinement 1 -J7

Texte rédigé en juillet 2023
Le 24 mars 2020

C'était à Gérone, le jour où, plutôt que d'arpenter une nouvelle fois les ruelles, dont on apprendra plus tard que leurs  pittoresques escaliers, ont servi de cadre à des scènes de "Games of Throne", avec mon compagnon on était monté sur les remparts que l'on avait remontés du sud bers le nord. Une superbe manière de découvrir autrement la ville, à hauteur de goélands.

lundi 23 mars 2020

Confinement 1 -J6

Texte rédigé en juin 2023

Le 23 mars 2020

Il faisait beau et très chaud lorsqu'on a visité ce jour là la ville de la Bisbal (Catalogne) qui est réputée pour ses nombreuses boutiques consacrées à la céramique. Si j'en ai photographié un certain nombre, c'est surtout cette rose qui a retenu mon attention tant était beau le dégradé de couleurs sur ses pétales. 
Un seul regret, la fleur était située dans un jardin clos par une grille, impossible donc de vérifier si elle sentait aussi bon que je la trouvais belle. 

dimanche 22 mars 2020

Confinement 1 -J5

Texte rédigé en juin 2023

 Le 22 mars 2020


Cette libellule (ou demoiselle*, je ne sais plus) a pris la pose dans le parc naturel d'Aiguamolls (Espagne). Pour pouvoir l'immortaliser sur la rembarde en bois où elle s'était installée pour prendre le soleil, il a fallu approcher très doucement (en évitant de lui faire de l'ombre) avant de monter là encore très doucement l'appareil photo à hauteur de visage et viser en faisant bien attention... à ne pas couper une partie de son long appendice caudal.
C'est en pareil cas que j'ai envie de saluer très bas les photographes animaliers, capables de rester tapis pendant des heures dans un abri camouflé et celaquelle que soit la météo. 
*Les demoiselles sont aussi nommées zygoptères ou agrions. Leur identification se fait lorsqu’elles sont posées : leurs ailes sont jointes lorsqu’elles sont posées. Les libellules sont généralement plus grosses que les demoiselles. L’identification se fait également au repos : leurs quatre ailes sont alors étalées de chaque côté de leur corps. 

samedi 21 mars 2020

Confinement 1 -J4

Texte rédigé en juin 2023

Le 21 mars 2020
Ma fleur préférée: l'Iris

Celui-ci a très probablement été photographié au parc floral de la Beaujoire, à l'époque où j'essayais d'y aller chaque année au moment où ils étaient en fleur*. J'avais commencé par ceux qui étaient dans les tons bleus. Puis j'vais découvert que chaque iris avait non seulement sa couleur, mais aussi son odeur. J'y ai passé des heures.  
*Désormais, le grand carré près de la fontaine en bas, près de l'Erdre, ne contient plus que de la pelouse. Déjà j'avais remarqué que la zone avait beaucoup souffert lors du Covid où les jardiniers étaient restés chez eux. Mais en y réfléchissant bien les choses avaient commencé à se dégrader lorsque la ville de Nantes avait banni l'usage des produits phytosanitaires. Une bonne idée pour la planète... et une mauvaise pour les amateurs d'iris dont une plante les rhizomes ne supportent pas d'être noyés sous la végétation. 

vendredi 20 mars 2020

Confinement 1 - J3

Texte rédigé en juin 2023

Le 20 mars 2020

Cet adorable petit rouge-gorge est... espagnol. Ou plus exactement catalan car il a été photographié lors de ma 1ère visite au parc naturel "Aiguamolls de l'Emporrdà". 
Il semblait attendre les visiteurs qui sortaient de l'une des cabanes d'observation situées le long d'un parcours où l'on peut observer cigognes, hérons, canards, poules d'eau ... et beaucoup d'autres oiseaux migrateurs. On a été nombreux à le photographier ce jour là car il n'était pas du tout farouche. 
Les visiteurs les plus courageux montent dans de grandes tours d'observations d'où la vue porte loin puisqu'on aperçoit la mer. On surplombe aussi les prairies cernées d'étiers et entourées de haies où déambulent des troupeaux de vaches locales (de celles qui participent à certaines manifestations tauromachiques) ou des chevaux ... que faute de connaître leur race je qualifierai de "camarguais" 

jeudi 19 mars 2020

Confinement 1 - J2

Texte rédigé en juin 2023

le 19 mars 2020

De mémoire (il faudrait pour en être certaine, retrouver les "exifs" de la photo mais j'ai la flemme) ce  papillon qui prenait le soleil sur une feuille de camélia a été immortalisé au parc de la Gaudinière. Encore lui.
Un endroit actuellement doublement inaccessible, d'abord parce que au delà de la limite des 1km mais aussi parce que les parcs et jardins publics de Nantes sont tous fermés. Et pour ceux et celles qui vivent en appartement, notamment en centre ville où l'environnement est parfois TRES minéral, ça risque de vite devenir très pénible, quelle que soit la météo. 

mercredi 18 mars 2020

Confinement 1 - J1

Texte rédigé* en juin 2023

Le 18 mars 2020

Hier à midi, jour de la St Patrick, le jour de ma fête dans la vraie vie, il a commencé ce "confinement" (censé durer juste un mois, mais j'en doute) dont on nous menaçait depuis plusieurs semaines. Pour m'aérer un peu, ainsi que mes contacts sur FB**, j'ai décidé de publier chaque jour une image réalisée au delà du périmètre de 1km qui nous est imposé pour nos déplacements.

Là c'est la petite rivière du Cens, au niveau haut du Parc de la Gaudinière qui, plus loin, en fait au niveau des facultés, se jette dans l'Erdre. Même si il n'y en a aucun sur la photo, les canards adorent cette partie de la rivière qui tient alors à la fois de la piscine ou de la mare et où ils sont assurés de ne pas être dérangés par les visiteurs du parc. Je pense surtout aux enfants qui peuvent parfois être TRES turbulents.

* Ayant appris récemment que Blogger fermerait au 31/12/2023 pour ceux ne l'ayant pas activé depuis plus de 2 ans (information que j'ai peut-être confondue avec la fermeture, bel et bien effective de Skyblog le 22 juin...) mais aussi pour d'autres raisons que j'évoquerai peut-être un jour, j'ai décidé de "réveiller" ce blog qui m'a autrefois été fort utile. 

** FB = Facebook, pardon désormais on dit Meta