Il y a la version, enregistrée en public à Toulouse et qui a été vue sur Youtube plus d'un million de fois. Et puis il y a celle-ci qui provient des archives de l'INA, avec un son "plus jazz".
Mais les paroles, pleines d'humour, d'un chanteur blanc qui s'adresse à un grand musicien noir, restent les mêmes. Et puis il y a celles-ci, beaucoup plus sérieuses:
"...la vie, quelle histoire, c'est pas très marrant.
Qu'on l'écrive blanc sur noir ou bien noir sur blanc
On voit surtout du rouge, du rouge sang, sang, sans trêve ni repos
Qu'on soit, ma foi, noir ou blanc de peau..."
Avant que Claude Nougaro finisse sur une pirouette qui rejoint d'une certaine manière le billet d'hier:
"Armstrong, un jour, tôt ou tard, on n'est que des os (...)
Au-delà de nos oripeaux, noir et blanc sont ressemblants comme deux gouttes d'eau"
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