Si le hall relatif à la danse était fort décevant, celui consacré à la poésie était superbe, notamment par rapport à la diversité des ambiances créées.
Ainsi avec ce simple banc sur lequel était déposé un bouquet de roses, comment ne pas penser à Ronsard. Ou mieux, car lors de la seconde visite les fleurs commençaient à se flétrir, à du Bellay qui dans "les regrets" avait écrit: "rose, elle a duré ce que durent les roses, l'espace d'un matin"
Il y avait aussi un hommage à Saint Exupéry et un autre à Nelson Mandela
Autre hommage, celui rendu à 3 grands de la chanson française, via les dessins les représentants et une ambiance digne de celle qui devait régner lors de l'enregistrement de la mythique interview qui réunissait Brel, Ferré et Brassens*. Ce dernier aura d'ailleurs au sein de ce même hall un stand entier à lui seul consacré. Avec des verres, des bouteilles de vin et des roses... Comment ne pas penser à la chanson "la claire fontaine" où, avec des pétales de roses, il imaginait de confectionner un cotillon pour une jolie demoiselle dont les vêtements s'étaient envolés, emportés par le vent?
* la fumée des cigarettes en moins...
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