lundi 22 mars 2010

Quelques heures de lecture

Ci-après, quelques trouvailles ou retrouvailles du week-end dernier.

"La source et la sonde" ce sont des retrouvailles puisque je l'avais lu initialement en pré-publication, il y a bien longtemps de cela.
Cyann a, comme bien souvent les héroïnes de Bourgeon, un fichu caractère inversement proportionnel à ses formes. Mais de livre en livre elle apprendra l'humanité. Oui, le cycle en comprend 4 (non compté le hors série). Ne me reste plus qu'à acheter les 3 volumes suivants, histoire de mieux comprendre son évolution car la suite de l'histoire je ne la connais que via les séances où j'ai feuilleté les BD debout dans les rayons.
Là le tome 1 vient de ressortir chez 12bis qui offre une particularité aux ouvrages parus chez lui dans lui. Mais laquelle?

Lulu je l'attendais depuis des mois en patientant via la lecture du blog de Etienne Davodeau. J'y ai découvert un homme qui ne vit pas très loin de chez moi puisqu'il réside dans les Mauges: un ligérien donc.
Autant l'avouer, si j'ai attendu une petite semaine pour l'acheter, c'est une BD que j'ai lue sur un parking, dans la voiture, afin de savoir ce qui était vraiment arrivé à Lulu après qu'elle soit partie en stop. J'avais très peur pour elle car je gardais le souvenir qu'à la fin du volume 1, il y avait une morte dans la maison de Lulu où ses amis s'étaient rassemblés pour essayer de comprendre ce qui avait bien pu se passer.
Lulu, un graphisme dont je ne raffole mais mais une palette chromatique qui ne plait, un dégradé d'ocres et de bleu (même si ce sont des couleurs que je ne porte pas) qu'il partage avec le 3ème auteur qui réalise lui aussi ses BD à partir d'aquarelles.

Cette fois-ci, Ferrandez est parti d'un texte de Camus, une nouvelle, où les héros parlent peu. Et pourtant, même avec juste des dessins, cela ne pose aucun problème de comprendre tout ce qui est "dit".
Ferrandez dont il faudra que j'achète les dix volumes des "carnets d'Orient". Les dix? Non, les 9 car en bonne logique j'ai commencé par acheter le dernier volume, paru l'an dernier, celui qui clôt l'histoire de cette famille de Français venue en Algérie au début du 19ème siècle et dont Ferrandez a raconté l'histoire pendant 22 ans.
Une histoire, même si le point de départ est la fascination exercée par lui par les dessins réalisés par Delacroix, qui est un peu la sienne puisque Jacques Ferrandez est né à Alger en 1955.

Aucun commentaire: