Autre photographe italien coup de coeur, mais dans une moindre mesure, même si je suis revenue avec plus de clichés de lui que du photographe dont il a été question hier: Piergiorgio Branzi.
La quasi totalité des images qui illustrent le présent billet ont été réalisées dans les années 50, lorsque son travail se situait dans la lignée de celui de Cartier-Bresson. Mais déjà alors il y avait ce regard bien particulier sur les personnes qu'il photographie qui fait que désormais il figure parmi les grands photographes "humanistes" que sont Robert Doisneau & Willy Ronis.
Pour en savoir plus sur lui:
https://it.wikipedia.org/wiki/Piergiorgio_Branzi
ou bien encore
http://www.italianways.com/photographing-the-essential-interview-with-piergiorgio-branzi/
Oui, un article, très bref en italien et une interview en anglais et rien en français car il semble bien qu'il ait peu attiré l'attention de nos ressortissants. Grâce donc soit rendue au festival de la Photo de La Gacilly d'avoir permis de connaître son travail.
Voici, dans l'ordre de leur apparition, le nom des oeuvres présentées:
- le petit horloger
- le sellier de Grenade
- la maison du scaphandrier
- le studio photo ambulant
- le cavalier de la Mancha
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