C'était une belle exposition dans un musée que je ne connaissais pas et où je reviendrai car les collections permanentes valent le détour
Une belle exposition donc, mais sans aucune trace autre que celles que ma mémoire a enregistrées car sachant qu'en de tels lieux les photographies sont souvent décevantes, je comptais sur le catalogue ou, à défaut, une publication dans l'une des revues d'art qui rendent compte des grandes expositions parisiennes. Perdu! Il semblerait qu'aucune revue ne se soit intéressé à cette exposition et comme je n'avais pas du tout envie de traîner les très beau et très gros catalogue de l'exposition toute la journée, je ne l'ai pas acheté.
Qu'en ai-je au final retenu? Qu'il s'agissait d'une exposition qui via des peintures (normal vu le titre de l'exposition) mais aussi des paravents et d'autres pièces de mobilier donnait une idée de ce qu'était l'art durant les 5 siècles de la dynastie Choson (1392-1910). A noter que, d'abord inspirée de la peinture chinoise pour la représentation de
paysages, la peinture coréenne va se recentrer sur son propre environnement en intégrant des éléments clés de sa culture que sont le chamanisme et le bouddhisme .
Au fait, pourquoi est il question d'un tigre dans le titre? Parce que le tigre est l'une des figures clés de la culture coréenne. Mais on trouve aussi des créatures imaginaires, comme le dragon ou le phénix, ou bien réelles comme des poissons ou des insectes.
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