lundi 21 juillet 2014

Exposition "Orient-Express" à l'Institut du Monde Arabe (suite)

La partie la plus intéressante de l'exposition, c'était la visite des wagons reconstitués tels qu'ils ont pu circuler entre Londres (ou Paris) et Istanbul aux alentours de 1930.
Seuls ceux relatifs au salon et à la salle à manger pouvait être photographiés. En effet l'espace était trop exigu dans celui consacré aux chambres, pardon aux cabines, qui avaient été décorées dans le style de certains personnages célèbres (réels ou fictifs) les ayant empruntés. 

Parmi les personnages réels: Mata Hari ou Lawrence d'Arabie et parmi les fictifs: James Bond (rappelez-vous, "Bons baisers de Russie") et Samuel Ratchett. Ce dernier nom ne vous dit rien, c'est un peu normal puisqu'il s'agit de la victime qui se fait assassiner dans le livre (et le film) "le crime de l'Orient-Express". 
Dans la cabine de James, on trouve donc... un smoking et dans celle de la victime... un grande mare de sang bien rouge qui n'en finit pas de sécher.
Ce ne sont pas les cabines de nuit qui m'ont le plus intéressée (même si les surprenants lavabos bilingues escamotables ont retenu mon attention) mais les espaces consacrés aux activité de jour. 
  1. Là on ne pouvait qu'admirer le soin apporté aux reconstitutions qui allaient bien au delà de la seule présence de vaisselle ou de couverts de l'époque mais intégraient plein de petits objets qui ont ou auraient pu appartenir aux voyageurs célèbres l'ayant emprunté. Mention spéciale doit être faite du grand salon, là où on peut notamment admirer l'un des multiples panneaux en acajou décoré de nacre de style art déco . C'est celui là même dans lequel Sydmet Lumet à tourné son adaptation de roman de Agatha Christie. Le genre de chose qui vous donne envie de relire le livre et surtout de revoir le film (qui comporte en outre une sacrée brochette d'acteurs connus).

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