Quand, comme la lumière engloutie par les nuages,
la nuit répandue dans le ciel,
les liens avec ceux qui nous sont chers se distendent
se fondent dans le silence,
que faire?
Que faire face à cette obscurité, ce silence...
Que faire face à la douleur qui les accompagne:
essayer d'oublier?
6 commentaires:
il n'y a pas d'oubli possible
mais un fol espoir chevillé au coeur
Belle journée , Amie, à travers les nuées un peu de ciel bleu
Après tant de temps, tant de silence(s) je doute fort qu'il reste le moindre espoir Arlette
Apprendre à renoncer est douloureux mais au bout au moins on peut espérer l'oubli tandis que les espoir déçus...
Des ciels beaux comme des anges qui, eux, savent de quoi l'avenir sera fait... Et nous, nous ne savons pas et c'est peut-être mieux ainsi... Bonnes pensées, @nn@!
Gene
Des anges bien gris Gene...
Peut-être parce qu'ils savent
Peut-être parce qu'ils deviennent alors comme les nuages où ils se cachent: trop plein de pluie.
Il me semble que nous pouvons au mieux "apprivoiser nos souffrances" en espérant leur trouver, par je ne sais encore quelle alchimie, un sens acceptable.
"apprivoiser nos souffrances"
"leur trouver (...) un sens acceptable"
écrivez-vous Michel. C'est à a fois très tentant parce que effectivement, objectivement, c'est sans nul doute le plus "souhaitable"
... Sauf qu'il y a cette petite voix qui murmure "Chassez le naturel..." Auquel cas peut-on dire qu'il soit possible d'apprivoiser quoi que ce soit? Mais on peut au moins essayer d'y croire (sourire)
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