De ce peu d'appétence pour la matière laquelle s'est concrétisé par un très quelconque 8/20 le jour du bac, je garde cependant une certaine fascination pour les sujets qui tombent chaque année en me posant à chaque fois la question: quel sujet aurais-je choisi? La réponse figure en gras
Série L (littéraire)
- "Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?"
- "L'homme est-il condamné à se faire des illusions sur lui-même ?"
Série S (scientifique)
- "La culture dénature-t-elle l'homme ?"
- "Peut-on avoir raison contre les faits ?"
Série ES (économique et social)
- "La liberté est-elle menacée par l'égalité ?"
- "L'art est-il moins nécessaire que la science ?"
4 commentaires:
Et bien, je ne suis pas prêt de me réconcilier avec la philosophie...
Mais non Marwan, ceci est une approche négative. Il faut au contraire se réjouir d'avoir le bac en poche et être désormais dispensé de ce genre d'épreuve.
PS: si Cailloublanc nous lit elle sera très déçue car la philo est une matière qu'elle apprécie beaucoup
Je n'ai jamais fait de philosophie à l'école (niveau trop bas) mais ce que j'en sais depuis est que chacun a sa philosophie plus ou moins conforme au dictact scolaire. Quant au raisonnement c'est comme un labyrinthe, on part sur une voie, cul de sac on fait demi tour, on prend une autre voie ... etc.....
Il suffit d'avoir la pensée libre et sans "à priori)
Saviez-vous Caphadock que certains envisageaient que les enfants puisent avoir un enseignement en philosophie dès le primaire tout comme dans d'autres pays où cette matière est enseignée avant la classe de terminale.
En fait en France nous faisons une fixation (moi la 1ère) sur cette matière plus que toute autre mise sur un piédestal. Si je comprends qu'elle soit importante pour les littéraires, il serait bon qu'il soit aussi fait état des sujets donnés dans les matières clés des autres séries: les maths pour les bac S et l'économie pour les ES
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