jeudi 19 novembre 2009

"l'insoutenable légèreté de l'être"

Ce titre, qui avait d'abord frappé mon imagination à cause de son côté poétique, c'est celui d'un film de Philip Kaufman, sorti en 1988. Il m'avait beaucoup plu avec cette histoire qui, du temps du printemps de Prague et des années qui ont suivi, met en scène Tomas (Daniel Day-Lewis) et Tereza (Juliette Binoche).

Alors j'avais acheté le livre dont il est inspiré, un livre de Milan Kundera, beaucoup plus complexe que le film lequel était, finalement, assez réducteur.

J'y avais alors trouvé, dans le chapitre 9 de la première partie intitulée "la légèreté et la pesanteur", environ une page et demi consacrée à un mot de trois syllabes riche de sens différents selon qu'on l'utilise avec sa racine latine ou une autre.

Ce texte, un peu long, je le recopierai un autre jour à taper. En attendant, juste une question, quel est-il? Question facile pour qui a le livre dans sa bibliothèque. Mais pour les autres quel pourrait-il bien être?
Réponse demain.

4 commentaires:

verveinecitron a dit…

Je ne sais plus, je ne sais pas... Ca ne me dit même rien du tout et j'ai la flemme d'aller chercher dans ma bibliothèque.
Mais je me dis que je devrais peut-être relire ce livre, 15 ans plus tard... Avec une autre lecture, sans doute, que celle de mes 20 ans.

arlette a dit…

"Le moi unique" de chaque femme (itou pour les hommes je pense)
Merveille de replonger dans cette lecture ... je vais même reprendre dès le début , car ilya bien longtemps (1985) le livre est sorti chez Gallimard en 84 et depuis ..tant de choses ont changé!!ou c'est moi qui comprends différemment comme le fait remarquer Verveinecitron
Merci Amie pour ce livre entre'ouvert

maria-d a dit…

un mot superbe : "compassion"...

et un livre magnifique à lire et relire

@nn@ L. a dit…

* Un peu débordé ces temps-ci "le chat" :-/
Mais ce n'est pas grave Verveinecitron car Maria-D vous donne aujourd'hui la réponse ... et moi d'ici à minuit, je vais essayer de recopier ce texte.

* Ce livre, Arlette, j'ai du le lire il y a une dizaine d'années, à cause de cette d'histoire d'amour un peu particulière entre Tomas et Téréza mais j'en avais aussi retenu cette page.
Bien des années plus tard, je m'aperçois que les quelques passages que je relis au hasard me parlent tout autrement
Le propre des grands livres: pouvoir être lu et relu sans qu'on les épuise.

* Et ce n'est pas vous qui ne contredirez Maria-D En plus je suis quasi certaine que vous n'avez même pas eu besoin d'ouvrir votre exemplaire pour deviner de quel mot il s'agissait.