Après plusieurs jours d'absence il revient.Entretemps, sous un ciel qui, alors que l'été vient de commencer, a hésité plus d'une fois entre pluvieux ou très nuageux, il a déambulé dans les rues de Paris, pris plein de photos qu'il va falloir maintenant transférer, trier, retravailler...
Bien sur, dans beaucoup endroits comme l'exposition consacrée aux frères Caillebotte ou le Musée d'Orsay, les photos étaient interdites. Heureusement il restait la solution d'acheter des livres... enfin dans la mesure où la valise (et la carte bancaire ) pouvait les accepter.
Plus dès que possible
En conclusion, un petit clin d'oeil avec cette photo prise le dernier jour. L'horloge ci-jointe figurait dans la devanture de la maison d'édition "la dilettante" qui est située rue Racine, dans le 6ème arrondissement.
2 commentaires:
C'est le problème des expo temporaire photos interdites pour vendre la brochure à un prix plus que majoré. C'est de l'anticulture, une machine à fric.
Cela ne concerne pas que les expos temporaires Caphadock, mais la plupart pour ne pas écrire la totalité des Musées.
Si je le conçois fort bien pour les peintures et encore plus les pastels ou fusains qui risqueraient fort de se dégrader, je suis plus perplexe avec les sculptures ou lorsque la personne utilise un APN qui n'a pas besoin d'utiliser un flash.
Mais il est probable qu'il y a aussi un intérêt financier qui s'y ajoute.
Cela dit, il est très difficile de photographier certaines oeuvres très connues vu le nombre d'éléments (autres visiteur, reflets etc...) qui parasitent souvent l'image
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