- de par sa brièveté 170 pages en gros caractères
- et parce les toutes dernières pages réservent une surprise qui s'apparente plus à une "chute" qu'à une fin.
Qu'ajouter de plus? Pas grand chose.
Que j'ai plus d'une fois souri aux aventures de ce pauvre Aristide Klobe qui, dès qu'il prépare un mauvais coup, voit celui-ci se retourner contre lui. Et puis j'ai appris un mot, celui de "coprin" ,une variété de champignon dont, d'une certaine manière, Aristide a fait ses "copains" d'Aristide. Il vont lui permettre de se venger du mauvais tour que lui a joué un "ami" qui a publié sous un autre nom, des ouvrages que lui Aristide a rédigé.
Appris un mot? Non, 2 mais ceci fera l'objet d'un billet spécifique consacré à des mots peu connus.
En résumé: Il est très bien si on doit passer deux heures à attendre quelques chose en sachant qu'à un moment ou un autre on peut être interrompu. Ne pas lui demander plus.
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