samedi 2 juillet 2011

à Paris: décors peints & mosaïques

Les images qui suivent ont été réalisées à l'occasion de deux balades, l'une dans la partie nord du quartier du Marais (celle qui est située au nord-ouest de la place des Vosges) et l'autre dans celui du boulevard St Germain. Bien souvent je n'ai hélas pas gardé trace du lieu exact où les photos ont été prises (... mais peut-être qu'avec google map...)

Les deux premières photos illustrent ce qui me semble une nouvelle tendance, le retour à la mode des devantures peintes, que ce soit sous forme de tableaux colorés et qui renvoient à l'activité du commerçant ou, comme dans les deux exemples joints, via des décors dorés peints sur fond noir.

A noter que lorsque j'ai réalisé l'image qui suit, (désolée j'ai oublié le nom de la rue) j'ai béni le "guide" qui passant à ce moment là au pas de course avec son troupeau de touristes m'a permis de remarquer un détail amusant: le propriétaire des lieux a transformé une lettre de l'enseigne afin de signaler le changement de destination de sa boutique.

Ce qui m'a encore plus incité à immortaliser l'un des détails de cette façade réalisée toute en mosaïques. Le genre de devanture comme on n'en rencontre plus guère. Et pourtant que celle ci est belle! Je n'ose imaginer le nombre d'heures que l'artisan qui l'a réalisée a du y passer. Existe t il encore beaucoup d'artisans, non d'artistes, à même de concevoir ce genre de tableau? De mémoire, un certain nombre d'entre eux venaient d'Italie

En fait c'est cette devanture qui m'a incitée à rédiger le présent billet en y adjoignant deux autres décors réalisés en céramique.

Le cheval rouge décorait le mur extérieur , non pas d'une boucherie chevaline mais d'une boutique d'accessoires de mode. Elle est située rue du Roi de Sicile...
Par contre le pilier de bar qui rend hommage à un grand affichiste est situé dans le quartier St germain. Mais l'hommage à l'affichiste, ce n'est que lorsque j'ai traité la photo avant de la déposer que je l'ai aperçu, en bénissant cette fois-ci le hasard qui m'avait fait cadrer un peu large.

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