Là encore, une petite bizarrerie. On reconnait dans les images qui défilent 3 des femmes qui, pendant un temps, l'ont inspiré: Marie Laurencin, Louise (Lou) de Coligny-Châtillon et Madeleine Pagès. Il manque cependant la première et la dernière des inspiratrices: Annie Playden, la nurse anglaise qui finit par partir aux Etats-Unis et Jacqueline Kolb, la "jolie rousse" avec laquelle il se mariât au printemps 1918.
2 commentaires:
Non bien que Léo Ferré j'adore
J'ai beau la ré-écouter, je n'apprécie guère sa manière de lire ses poèmes. Mais il est vrai que, sauf à de très rares exception, je n'aime pas entendre "lire" des poèmes à haute voix.
Et puis là Guillaume Apollinaire a une voix... très 1ère moitié du XXème siècle avec laquelle je n'accroche pas. Mais reste à savoir jusqu'à quel point les appareils de l'époque reproduisaient fidèlement les sons
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