Deux choses caractérisent leurs livres (ou du moins les deux premiers lus d'elles):
- Avec elles, l'action avance doucement, pas de courses poursuites échevelée ou de bagarres sanglantes. Ainsi dans le livre qui inaugure la série, les victimes meurent elles d'une piqure "d'abeille", explication la plus plausible trouvée par la police en cette fin de XIXème siècle pour expliquer les morts brutales qui se succèdent durant l'exposition universelle de Paris.
- La seconde caractéristique des ouvrages rédigés par ces Dames a trait à leur souci du détail vrai. On peut être assuré de la véracité de la description des lieux, des habitudes des héros, des détails de la vie quotidienne, des titres des livres mentionnés... Dans le présent volume on apprend ainsi, dans la postface, que le prix d'une entrée à l'exposition universelle était de 5 francs (soit 100 sous)... ce qui excluait de fait les ouvriers dont le salaire journalier moyen était à l'époque de 4,80 francs pour 14 heures de travail.
- Avec elles, l'action avance doucement, pas de courses poursuites échevelée ou de bagarres sanglantes. Ainsi dans le livre qui inaugure la série, les victimes meurent elles d'une piqure "d'abeille", explication la plus plausible trouvée par la police en cette fin de XIXème siècle pour expliquer les morts brutales qui se succèdent durant l'exposition universelle de Paris.
- La seconde caractéristique des ouvrages rédigés par ces Dames a trait à leur souci du détail vrai. On peut être assuré de la véracité de la description des lieux, des habitudes des héros, des détails de la vie quotidienne, des titres des livres mentionnés... Dans le présent volume on apprend ainsi, dans la postface, que le prix d'une entrée à l'exposition universelle était de 5 francs (soit 100 sous)... ce qui excluait de fait les ouvriers dont le salaire journalier moyen était à l'époque de 4,80 francs pour 14 heures de travail.
Et pour inciter à lire l'ouvrage, cette anecdote: le criminel est démasqué le jour même où M. Gustave Eiffel remet une dotation aux parents de la petite fille née sur la Tour et à qui ces derniers, sans doute dotés d'un bon sens commercial, ont donné le prénom de Augusta-Effeline
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