Parce que c'est dimanche, alors même que sur cette place où se croisent voitures et traways est souvent bruyante, le chant des oiseaux n'a aucun mal à monter juqu'aux fenêtres ouvertes.
Comment sera-t-elle quand nous irons la voir?
J'aimerais tellement que ses visiteurs d'aujourd'hui et des très rares jours à venir, en la quittant, ne gardent d'elle que la même impression de sérénité, certes un peu triste, mais comment pourrait-il en être autrement, que celle qui émane de cette photo de Edouard Boubat.
2 commentaires:
Comme quoi... il ne pleut pas toujours sur Nantes...
Boubat "un corespondant de paix" disait Prévert
Belle fin de journée à vous
Bonsoir M,
Non, il ne pleut pas toujours sur Nantes, enfin pas forcément plus qu'aiileurs... ainsi que je l'avais signalé le 23 mai
http://un-chat-passant-parmi-les-livres.blogspot.com/2008/05/il-ne-pleut-pas-sur-nantes-enfin-pas.html
Autrement, je connaissais cette phrase mais j'ignorais qu'elle était de Prévert.
Edouard Boubat, ce photographe "humaniste" que j"aime beaucoup, j'en parlerai très certainement un jour...
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