Enfant, c'est du brouillard qui accompagnait bien souvent les visites au cimetière dont je me rappelle.
Un cimetière dont je revenais souvent frigorifiée, ce qui me faisait d'autant plus apprécier la soupe de citrouille. Une citrouille sur laquelle mes soeurs et moi avions bien souvent gravé notre prénom en cachette de nos parents qui trouvaient que nous gravions trop profond ce qui favorisait le pourrissement de la courge.
C'était du temps où il n'y avait qu'une seule variété de citrouille dans les jardins car il ne serait jamais venu à l'idée des parents de cultiver des coloquintes pour le seul plaisir d'en avoir une petite corbeille de toutes forme et de toutes couleurs.
C'était bien avant que la mode d'Halloween ne débarque en Europe.
Au début, quand les enfants étaient petits, je trouvais ça amusant, notamment parce que c'était ensemble que nous creusions une pour le plaisir ensuite d'y déposer des petites bougies avant de la déposer sur le seuil de la maison pour accueillir les chineurs de bonbons... ou leurs ami(e)s venus se faire une petite soirée avec un film d'horreur.
Après... après c'est devenu tellement commercial que ce qui était un jeu a perdu tout son charme.
Et le temps est revenu de fréquenter les cimetières, non plus pour accompagner, un peu par obligation, les parents, mais pour rendre hommage à ceux et celles partis parfois bien trop tôt
Un cimetière dont je revenais souvent frigorifiée, ce qui me faisait d'autant plus apprécier la soupe de citrouille. Une citrouille sur laquelle mes soeurs et moi avions bien souvent gravé notre prénom en cachette de nos parents qui trouvaient que nous gravions trop profond ce qui favorisait le pourrissement de la courge.
C'était du temps où il n'y avait qu'une seule variété de citrouille dans les jardins car il ne serait jamais venu à l'idée des parents de cultiver des coloquintes pour le seul plaisir d'en avoir une petite corbeille de toutes forme et de toutes couleurs.
C'était bien avant que la mode d'Halloween ne débarque en Europe.
Au début, quand les enfants étaient petits, je trouvais ça amusant, notamment parce que c'était ensemble que nous creusions une pour le plaisir ensuite d'y déposer des petites bougies avant de la déposer sur le seuil de la maison pour accueillir les chineurs de bonbons... ou leurs ami(e)s venus se faire une petite soirée avec un film d'horreur.
Après... après c'est devenu tellement commercial que ce qui était un jeu a perdu tout son charme.
Et le temps est revenu de fréquenter les cimetières, non plus pour accompagner, un peu par obligation, les parents, mais pour rendre hommage à ceux et celles partis parfois bien trop tôt
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