Cela faisait 6 ans que je n'y étais pas venue.
Pour peu que l'on veuille bien s'éloigner des boutiques à touristes installées tout en bas, force est de reconnaître que le Mont Saint Michel est toujours aussi beau, aussi "magique" par l'ambiance qu'il dégage, dedans et dehors, laquelle magie doit en partie au tour de force qu'a représenté la construction de cette abbaye autrefois entourée par l'eau...
... et dont j'espère qu'il en sera un jour de nouveau ainsi.
Un regret du bas: que le fort vent froid et le temps limité n'aient pas permis de faire à pied le tour du mont.Un autre regard qui reste à avoir... un autre jour, j'espère.
4 commentaires:
Je trouve la juxtaposition de ces deux photos très intéressantes... Je me demande ce qu'une tête japonaise peut penser en vivant quelques heures là-bas...
Belle soirée @nn@!
Il y avait des maquettes pour montrer les étapes entre deux, mais je n'ai gardé volontairement que la 1ère et la dernière
Asaki est atypique. Elle est née en Angleterre où son père a passé 6 ans pour son travail. C'est lui qui a incité sa fille a, comme lui, apprendre le français auprès d'une française mariée à un Japonais. Elle est inscrite dans un lycée dirigé par la congrégation du Sacré-Coeur. La famille comporte 3 enfants (alors qu'il n'y a souvent qu'un enfant par foyer). Les parents sont protestants alors que la plupart des japonais sont shintoïstes. Et dernier détail pour sourire un peu, ses parents apprécient beaucoup le fromage -même les bleus- accompagnés d'un verre de vin...
Plus sérieusement, le Mont St Michel, où elle a lui a croisé beaucoup de ses compatriotes, lui a beaucoup plu au delà de la simple prouesse technique...
Très imtéressante cette jeune fille! Ja' moi même beaucoup fréquenté une Japonaise qui avait décidé de traiter du sujet suivant en philo " L'irrationnalité chez Descartes"... Elle aimait le Cognac, le munster,... Bref, très ouverte à notre culture!
Belle soirée @nn@!
Gene
Asaki a hérité de ses parents le goût du fromage. Du coup quand on a fait le marché je lui ai acheté un petit cocktail: camembert, cantal (jeune, un peu tôt pour du salers) et roquefort... mais je l'ai dissuadée de ramener au Japon le premier et le dernier dont les parfums fort éloignés du n°5 de Chanel risqueraient quand même de laisser de sacrés effluves dans ses bagages.
Quant aux idées, j'y vais doucement car sa pratique de la langue française reste assez succincte, ainsi hier on a eu un mal de chien à expliquer cette expression utilisée notamment par les jeunes " ...'n'importe quoi!"
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